Keynes Neutralité De La Monnaie

Monnaie et financement 09/09/10 Chapitre 1 : Introduction à la notion de monnaie Définition de la monnaie Qu’est ce que la monnaie ? La monnaie à remplacé dans un premier temps le troc C’est un moyen de paiement qui est accepté par une communauté. La monnaie peut prendre plusieurs formes (papier, bétail, …). Toute les monnaie ont un point commun, elles servent toutes à échanger, c’est un bien d’échange. La monnaie va avoir des fonctions bien définit, ce qui fait la monnaie c’est

La monnaie est perçue comme neutre par certains, influente sur l'économie pour d’autres. avoir une influence sur Certains considèrent en effet que la monnaie peut l’emploi et la production. Les classiques et les monétaristes : la neutralité de la monnaie Selon les classiques et les néoclassiques, la monnaie n’a pas d’influence sur l’économie réelle. Il n’y donc pas de relation entre la sphère réelle et la sphère monétaire. La monnaie détermine le niveau général des prix : c’est la théorie quantitative

macroéconomie étudie le fonctionnement des économies nationales. Deux grandes théories s’affrontent au sein de la macroéconomie : • Dynamique de la croissance • Economie à court terme, question du chômage Grand théoricien de la macroéconomie = Keynes Préoccupations de keynésiens : • Comment faire baisser le chômage ? • Réflexion sur les salaires • Lien salaire / chômage • Productivité Méthode Elaborer des modèles (= simplification de la réalité) pour mieux comprendre

contrepartie monétaire des opérations réelles. - le SF a un rôle fondamental sur l'activité éco. Sans SF l'activité éco est limitée. - le prêt à intérêt est la base du système éco. 1. La finance directe. 1.1. Le circuit « court » de la monnaie. Mécanisme d'ajustement qui privilégie les financements des marchés de capitaux. La finance directe est le circuit court de la finance, elle correspond au mécanisme de cession direct de titres primaires par les agents qui ont un besoin de financement

un même bien selon les individus. Elle est fonction de l’intensité des besoins de chacun. La valeur d’échange quant à elle résulte de la confrontation des estimations d’un offreur et d’un demandeur sur un marché donné. Le prix est l’expression en monnaie de la valeur d’échange. Au moyen âge Saint Thomas D’Aquin (1225-1274) va concilier morale et raison en soutenant que la propriété privée est un moindre mal à condition d’appliquer le juste prix et le juste salaire. Il écrit dans son traité de théologie

libérale des classiques 9 B) L’analyse classique 11 1. Division du travail 11 2. Valeurs et prix 11 3. Salaires, profits et rente 12 4. Eléments de richesse d’une nation 13 5. Théorie de l'état stationnaire 13 6. Loi des débouchés 13 7. Neutralité de la monnaie 14 8. La répartition 15 C) L’essor du capitalisme européen de 1830 à 1914 16 2. Les théories marxistes 17 A) Les concepts fondamentaux de la problématique marxiste 17 b) L’analyse des crises 17 1. Les théories de l’exploitation et la

économique = Socialisme système centralisé / communiste. IV. Courant Keynesien : John Maynard Keynes (1883-1946). - L’équilibre de plein emploi permanent est impossible. - Nécessité d’intervention de l’Etat (budgétaire) pour résorber le chômage.  Pour favoriser la croissance, il faut agir sur le niveau des investissements - Libre marché = grande instabilité. - Refus de la neutralité de la monnaie. Conclusion :  Père de la macroéconomie  Opposé aux néoclassiques V. Courant monétariste

Smith et David Ricardo. Dans Théorie générale de l'emploi, de l'intérêt et de la monnaie, paru en 1936, John Meynard Keynes « range » aux côtés de Ricardo et Mill tous les auteurs formant à partir de la fin du 19° siècle le courrant appelé habituellement néoclassique. Or ces derniers relient la valeur des marchandises à leur utilité et c'est pourquoi nous retiendrons ici l'approche de Marx plutôt que celle de Keynes, ce qui nous permettra de distinguer nettement le courrant classique du courrant

monétarisation croissante des économies : « Utilisation de la monnaie » Cas contraire : Sa première contribution à la pensée économique : C’est la théorie quantitatif de la monnaie. Dans cette théorie il va essayer de rapprocher le prix de l’or et la quantité de monnaie la plus proche qui circule dans l’économie. Il va essayer de mettre en relation l’augmentation des marchandises et de billets , le prix de l’or et la quantité de monnaie en circulation et de la même manière mettre en relation l’augmentation

Baptiste Say stipule l’impossibilité des crises de production dans la mesure où tout produit sert de débouché à un autre produit. Cette analyse part du postulat que la monnaie n’est qu’un intermédiaire des échanges, elle n’exerce d’influence que sur le niveau des prix et non sur les prix relatifs. Une telle conception neutraliste de la monnaie a longtemps imprégné l’ensemble d’un courant monétariste dit traditionnel. Cependant l’établissement, dans le cadre de la reconstruction d’après-guerre, des grandes