Keynes Neutralité De La Monnaie

Comportement des consommateurs a-t-il été durablement modifié ? I. L’EPARGNE, DE LA PERSPECTIVE CLASSIQUE A LA « REVOLUTION » KEYNESIENNE Classiques : La C utilise les ressources dans le présent et l’S accroît le potentiel de consommation de demain Keynes : L’S est un gaspillage des ressources présentes qui ne peut qu’accentuer les déséquilibres économiques futurs, tandis que la C présente est un gage de C future A. Deux visions opposées de l’ajustement épargne-investissement 1. La loi de SAY, théorie

importante après la Grande Dépression de 1929. Le krach boursier s’étend sur le continent européen en 2008, après avoir débuté aux Etats-Unis en 2007. La France n’entrera en récession qu’en 2009. La réponse à cette crise a suivi massivement l’approche de Keynes, qui disait lui-même: "Les hommes d’action qui se croient parfaitement affranchis des influences doctrinales sont d’ordinaire les esclaves de quelque économiste passé". Le but est de résoudre le problème de la dette publique accumulée depuis la crise

Monnaie, Banque, Finance I Chapitre 2 CHAPITRE 2 : L’ANALYSE DE LA DEMANDE DE MONNAIE On suppose un marché de la monnaie où s’expriment une demande et une offre dans une perspective économique (lien avec micro). Pourquoi les agents économiques détiennent-ils une part plus ou moins grande de leur richesse sous forme de monnaie ? Quels sont les variables essentielles qui font que les agents détiennent de la monnaie ? Section 1 : Le concept de demande de monnaie C’est une grandeur quantitative qui

système économique. * Il y a 5 catégories d’explications des cycles : théories monétaires pures (Cassel, Hawtrey), théories du surinvestissement (Marx, Hayek, Aftalion), théories de la sous-consommation (Malthus, Sismondi), théories psychologiques (Keynes avant la Théorie générale) et les théories des cycles agricoles (Jevons) * Pour BOCCARA (marxiste) les cycles KONDRATIEV correspondent à un processus d’accumulation/dévalorisation du capital selon la loi de la baisse tendancielle du taux de profit

Chapitre introductif : Le concept de la monnaie Introduction : Un peu d’histoire La monnaie est un phénomène extrêmement ancien, très antérieur à la révolution industrielle, qui ramène à l’antiquité. Repère historique : les plus anciennes pièces trouvées (première forme monétaire) remontent au 7ème siècle avant JC. La monnaie est un phénomène anthropologique. La monnaie n’est pas apparue pour les besoins de l’économie de marché. Enseignement de l’histoire et de l’anthropologie : même en considérant

l’individu. C’est pourquoi l’économie s’interroge sur l’accumulation des richesses qui parfois est encouragée par l’Etat. Le point de départ est le besoin économique qui se définie comme un manque comblé par la consommation donc la production de B & S. Keynes différencie 2 catégories de besoins: Ceux qui possèdent un caractère absolue quelque soit la situation de l’individu (besoin primaire) Ceux qui ont un caractère relatif et que l’on éprouve au contact des autres Il y a une grande différence entre

fermée. I :Quels sont les facteurs qui expliquent le niveau de la consommation et de l’investissement ? Keynes se demande ce qui détermine le niveau de l’emploi. L’originalité de sa pensée est de faire dépendre le niveau de production et donc de l’emploi du montant de la demande globale. La fonction de consommation : Y= revenu C= consommation _Les hypothèses keynésiennes. Keynes établit une relation entre consommation globale et le revenu réel, cette relation repose sur la loi psychologique

consommation. En outre, la stabilité des prix permet aux ménages d’anticiper de manière plus juste les dépenses de consommation future. Ainsi, ces derniers réduisent leur épargne de précaution ce qui limite les effets de « la trappe à monnaie » développée par Keynes. De plus, une meilleure anticipation contribue à une meilleure gestion du rythme des dépenses. En effet, la stabilité des prix ne conduit pas à repousser indéfiniment un achat comme cela peut se produire dans le cadre d’une déflation.

a connu croissance grâce à ses excédents. C. Les mercantilistes et la monnaie et les tx d‘intérêts J. Bodin, Réponse aux paradoxes de Monsieur de Malestroy touchant le fait des monnaies et de l'enrichissement de toute chose (1568) Etablit la première relation quantitatuve entre la M & les prix: hausse M en circulation → hausse des prix. Relation quantitative monnaie/prix,, théorie quantitative de la monnaie, en lien ac la chereté des choses L’abondance d’or/argent est respon de l’augm

Doctrines Economiques Contemporaines M Vincent DUWICQUET Année Universitaire 2012 - 2013 Table des matières Section I. 1. Keynes et les Classiques ...................................................................................................... 3 Epargne, Investissement et Marché des Fonds Prêtables........................................................... 3 1) La vision classique ...........................................................................................