Keynésianisme

celui de la valeur du travail à laquelle ils substituent la valeur « utilité ». L'utilité se mesure à la marge (W.S JEVONS, Léon, WALRAS, Vilfrédo PARETO). Elle naît donc de la « révolution marginaliste » dans les années 1870. Elle forme avec le keynésianisme l'essentiel de l'économie « orthodoxe » qui domine l'enseignement et la pratique universitaire de la discipline économique depuis le début du XXe siècle. Le terme marginalisme vient du fait que cette école a été la première à utiliser l'utilité

liberté du choix, Friedman cherche à démontrer la supériorité du libéralisme économique sur les autres systèmes économiques. Milton Friedman initia une pensée économique d'inspiration libérale dont les prescriptions s'opposent de front à celle du keynésianisme. En réponse à la fonction de consommation keynésienne, il développa la théorie du revenu permanent. Avec cette théorie et l'introduction du taux de chômage naturel, Friedman remet en cause le bien fondé des politiques de relance qui, pour lui,

aux pays du Sud dans le besoin (post crise de la dette) : Ouverture des frontières/ Privatiser/ diminuer les dépenses de l’état. 3. Libéralisme et Keynésianisme Crise de 1929 : c’était une crise de surproduction (O>D), les mesures libérales ne fonctionnaient pas. Keynes révolutionna les théories économiques en 1930. Libéralisme Keynésianisme Crise-> jouent sur l’offre, la réduisent, ferment les usines-> baisse du pouvoir d’achat-> intensification de la crise. Théorie du ruissellement :

courant marxiste. MO3: Présenter le courant keynésien. EVALUER | TITRE : LES COURANTS DE PENSEES ECONOMIQUES APRES LE 18 è SIECLE. 1. Le libéralisme 2. Le marxisme 3. Le keynésianisme | PREAMBULE MOTIVANT | DUREE : 5 min | Professeur : Bonjour !Elèves : Bonjour madame !Professeur : la semaine dernière, nous avons vu les courants de pensée économique avant le 18è siècle. Quels sont ces courants ?Elève : le mercantilisme

dure environ 25ans, puis elle est brisée par une période de crise (ex : celle de 1929) entrainant la dépression qui conduit les démocraties occidentales à rompent avec le libéralisme et à pratiquer le keynésianisme (de John Maynard Keynes) en faisant intervenir l’Etat dans l’économie. Le keynésianisme consiste à ce que l’Etat doit d’abord s’endetter pour aider financièrement les plus démunis et augmenter les salaires publics et ainsi relancer la consommation, puis l’Etat récupère l’argent de l’endettement

réduction de dépense ou d'épargne. Sommaire [masquer] 1 Histoire de l'économie 1.1 Découpage classique 1.1.1 L'économie de l'antiquité à nos jours 1.1.2 L'économie politique classique 1.1.3 Le marxisme 1.1.4 L'économie néoclassique 1.1.5 Le keynésianisme 1.1.6 L'école de Chicago 1.1.7 Autres approches de science économique 1.1.8 L'administration du patrimoine des entreprises 2 Les analyses de l'économie 2.1 La microéconomie 2.2 La macroéconomie 2.3 La gestion 3 Les secteurs économiques

des libéraux, des oppositions politiques sont apparues et la montée de nouveaux partis n'ont fait qu'aggraver la situation incertaine du libéralisme. Le Keynésianisme remet en cause la capacité des libéraux de prendre en compte l'irrationalité des agents économiques et l'absence d'un Etat catalyseur. Et contrairement au libéralisme, le keynésianisme prône une relance par la consommation, l'investissement et la création monétaire par la dévaluation. Après l'échec de Hoover aux Etats Unis qui déclare

fait des interdépendances. Les fluctuations se transmettent plus rapidement. Toutefois tous les pays ne sont pas touchés de la même façon. B – Le renouveau des politiques économiques : ( Keynésianisme ( libéralisme ) La persistance de la crise va pousser à la remise en cause du keynésianisme. Après l’Europe, R-U, d’autres pays industrialisés vont venir progressivement et à différents degrés à des politiques libérales. On met en place plusieurs mesures : ( Baisse des dépenses publiques

Gouvernement et État et les fourmis Banque centrale et Autorités | |monétaires, opposition qui se cristallise autour des débats entre monétarisme et keynésianisme. | |Ce clivage peut être poussé plus loin en présentant le monétarisme et l'Autorité monétaire comme une politique de droite, et le | |keynésianisme et l'Autorité budgétaire, fondateur des politiques interventionnistes de l'État, comme une politique de gauche. Autant | |de questions qui sont

Pareto - Ecole de Cambridge : Jevons, Pigou, Marshall - Ecole de Vienne : Boëhm Bawerk, Von Mises, Hayek. Les contemporains: les néo libéraux. - Les monétaristes : Friedmann, reprend la théorie quantitative, attaque l’inflation, face au keynésianisme. Il préconise des politiques monétaires restrictives. - Les théoriciens de l’offre : Arthur LAFFER, G. Gilder (risque de faire carrière dans l’assistanat). Ils préconisent des mesures pour stimuler l’offre plutôt que la demande. Il va être à