Kim Jong-un

Jeux olympiques de Séoul en 1988 jusqu'à la rencontre historique, en juin 2000, entre le leader de la Corée du Nord, Kim Jong-il, et le président de la Corée du Sud, Kim Dae-jung, dont l'action déterminante en faveur d'une ouverture pacifique des échanges allait être couronnée en octobre 2000 par le prix Nobel de la Paix. En ce début du troisième millénaire, où la politique de Kim Dae-jung est parvenue à faire s'entrouvrir le "rideau de bambou" qui sépare le Nord et le Sud, la péninsule coréenne

parallèle : au Sud, la République de Corée, proaméricaine, dirigée par Syngman Rhee, au Nord, la République populaire de Corée, pro soviétique, dirigée par Kim Il-sung. 1 L’espoir des Coréens de fonder leur propre gouvernement fut mis à l’écart. Quelques temps plus tard l'URSS supprima les nationalistes dans le Nord et apporta son soutien à Kim il Sung, un communiste qui avait mené un combat anti-japonais. Dans le Sud, le mouvement de gauche opposé à plusieurs mouvements nationalistes de droite

réduits à néant par l’«influence» — l'occupation — des États-Unis au sud et celle de l'Union soviétique au Nord. Puis les deux grandes puissances utilisèrent leur présence militaire pour imposer des gouvernements amis. L'URSS apporta son soutien à Kim il Sung. Dans le Sud, les États-Unis à Li Sungman. Dès lors, l'armée soviétique et l'armée américaine se retirèrent temporairement des deux moitiés de pays qu'elles occupaient et laissèrent face à face les deux États. Le 25 juin 1950, les forces nord-coréennes

officielle d'autonomie du Juche développée par le président Kim Il-sung. Après sa mort en 1994, Kim Jong-Il, son fils, lui a succédé à la tête de l’État mais non en tant que Président de la République, cette fonction étant restée « éternellement » rattachée à la personne de Kim Il-sung. Après la dislocation de l'URSS et une série de catastrophes naturelles, la Corée du Nord a subi une famine faisant de 900 000 à deux millions de morts. Kim Jong-Il adopte alors la politique du Songun ou « l'armée d'abord

Corée du Nord Un intranet ultra-contrôlé a été créé, mais son accès est restreint. Le réseau est utilisé par Kim Jong-il etquelques rares hauts dirigeants pour leur plaisir personnel et pour répandre la propagande du régime à l'étranger. Seul lueur d'espoir : le marché noir des communications à la frontière avec la Chine. La Corée du Nord est littéralement coupée du monde et Internet ne fait pas exception. Le réseau international n'est accessible qu'à une faible minorité : quelques membres haut

passible du camp de redressement ou d’exécution. Le culte de la personnalité est porté à son paroxysme : Kim Il-Sung, le fondateur et le premier président de la république de Corée du nord est surnommé le " Président éternel ". Après sa mort, son fils, Kim Jong-Il, le succède et devient le leader incontesté appelé le " Dirigeant bien aimé ". Mais il meurt le 17 décembre 2011 et son troisième fils, Kim Jong-Un prend sa place de dirigeant le 28 décembre 2011 et devient le " leader suprême du parti et de l'armée "

la Corée du sud est constituée d’une zone démilitarisée qui s’avère en réalité très militarisée. La République populaire démocratique de Corée est un Etat socialiste souverain dirigé par Kim Il-sung. Le dictateur impose une politique d’indépendance. Le Web est un outil de propagande au service du régime de Kim Jong-il. Le système politique de la Corée du nord dissuade les habitants d’utiliser internet. En effet, le prix moyen d’une heure de connexion dans un cybercafé : environ 6 euros alors que leur

frontière. Tokyo est également à portée des missiles nord-coréens. Cependant, les dirigeants nord-coréens voulant avant tout se maintenir au pouvoir, ils n’ont pas intérêt à la guerre. Faut-il espérer un changement avec la disparition de Kim Jong-Il ? Son fils Kim Jong-Un que l’on présentait depuis peu comme son successeur potentiel, a été désigné pour le remplacer. Encore jeune et relativement nouveau dans le paysage politique, sa légitimité interne est faible. Le pouvoir est sans doute exercé de façon

où la famille KIM règne depuis sa fondation. C‘est Kim II-Sung qui prit le pouvoir de la Corée du nord dès son début. Cependant il la transforma en une dictature où un seul parti a été autorisé, “le parti du travail”. Il adopta l'idéologie juche (qui reprend des idées communistes et qui détermine le destin de chaque citoyen) en mars 1967 . Elle deviendra une espèce de “religion d'État “ par la suite. Kim Il -Sung décède cependant en 1994. Lors de ses funérailles, son fils (Kim Jung-Il )fut

moins connoté politiquement, comparativement à Korea qui a une connotation politique en lien avec les États-Unis). Histoire [modifier] Article détaillé : Histoire de la Corée du Nord. Au lendemain de la capitulation japonaise le 15 août 1945, Kim Il-sung, qui avait dirigé l'armée révolutionnaire populaire coréenne (ARPC) dans la résistance coréenne à l'occupation japonaise, s'impose comme le principal dirigeant du pays en tant que secrétaire général du Parti du travail de Corée, issu de la fusion