Kremlin de Moscou

américaine elle-même31. L’objectif du plan Marshall, toutefois, n’était pas uniquement économique. Le gouvernement fédéral américain à Washington avait compris que la détresse des populations européennes faisait le jeu des partis marxistes alignés sur Moscou. En France et en Italienotamment, plus d’un quart de l’électorat votait communiste. Dès lors, l’injection de capitaux américains était le complément économique de la doctrine du containment : endiguer l’influence soviétique par la création d’un espace

Turquie. But : encercler l’URSS. o L’URSS assujettit le bloc communiste Les PC des 6 démocraties populaires (Bulgarie, Roumanie, Hongrie, Pologne, RFA) sont soumis au Kremlin (pays indépendants mais sous contrôle soviétique). - sur le plan économique : réaction à l’OECE : le CAEM (Conseil d’assistance économique mutuelle ou COMECON) créé en 1949. - Sur le plan militaire : suite à la rentée de la RFA dans l’OTAN en

constitue tout de même un moyen de transport avantageux pour permettre aux marchandises de traverser au plus vite les grandes distances. Les principaux aéroports internationaux se situent à Moscou (Sheremetyevo, Domededovo et Vnukovo), Saint-Pétersbourg, Ekaterinbourg et à Novossibirsk. La capitale de la Russie est Moscou, qui, avec plus de 13,5 millions d’habitants, regroupe plus de 9% de la population et réalise plus de 25% du PIB du pays. En tant que plus grande ville d’Europe, elle est en 2012 la

en collaborant avec la Mafia, ce qui frustra Kennedy. En juillet 1961, Cuba signifie son appartenance au « bloc socialiste ». Le 4 septembre 1962, le pays conclut un accord d’assistance militaire avec l’Union soviétique et, une semaine plus tard, Moscou déclare que toute attaque contre Cuba provoquerait une riposte nucléaire. Le Congrès américain pour sa part vote le 3 octobre une résolution qui met en demeure contre toute « action subversive dans l’hémisphère occidental ». Kennedy interdit cependant

Wassily KANDINSKY, peintre russe né en 1866, a écrit dans un livre de souvenirs: « comme le final puissant d'un orchestre gigantesque, Moscou résonne; le rose, le jaune, le vert pistache, le blanc, le bleu, le rouge flamboyant des maisons et des églises y chantent leur partition avec l'herbe d'un vert incroyable...la neige...l'enceinte des murs rouges du Kremlin... » Sensation de Rimbaud Par les soirs bleus d'été, j'irai dans les sentiers, Picoté par les blés, fouler l'herbe menue : Rêveur

missiles, ainsi  l'URSS recule et fait retirer ses navires. Elle promet également d'enlever toutes ses installations. En contrepartie, les États-Unis s'engagent à ne pas attaquer Cuba. Un « téléphone rouge » reliant directement la Maison Blanche au Kremlin fut instauré après la crise afin de pouvoir établir une négociation directe entre les deux président des deux superpuissances et éviter qu'une nouvelle crise de ce style se reproduise. La résolution de cette crise ouvrit la voie à une nouvelle période

régime de Castro. La CIA va ainsi les aider de manière logistique , en 1961 : c’est l’épisode de la baie des cochons. Cette opération est un échec total. Les Usa vont alors mettre un embargo sur Cuba. A partir de 1961 , Fidel Castro va se rapprocher de Moscou. Les soviétiques installent des fusées nucléaires ( longues portées ) à Cuba pour prévenir une attaque américaine. A partir de 1962, les USA sont à portée de tir de missiles soviétiques. Les USA au hasard d’un espionnage aérien vont s’apercevoir

négociation difficile entre USA et URSS sur le sort de l’Allemagne (application des traités de paix). L’administration commune des territoires est impossible et les négociations échouent. Texte p.37-38 : secrétaire d’Etat américain spécialiste de Moscou. Télégramme à l’administration américaine en février 46 : fixe la politique américaine qui va conduire à la mise en place de la guerre froide. Les USA ne cherchent plus de compromis avec l’URSS, d’autant plus qu’il y a eu des guerres civiles en 1945-1947

automne 1939 ou libérés, ou assassinés, soit restés en URSS, déportés ou suivant d’autres destinées. Le général Sikorski, chef du gouvernement polonais réfugié à Londres, prit l’avion pour Moscou dans l’intention de s’entretenir personnellement avec Staline, le 3 décembre 1941, les deux hommes se rencontrèrent au Kremlin. « où sont ces hommes? Demanda Sikorski avec insistance. - Ils se sont enfuis, répondit Staline.-Où donc ont-ils pu s’enfuir? Interrogea le général Anders qui était également présent à

44257b3d0021fbf9!OpenDocument 2 Voir notamment de nombreux ouvrages de la Fondation « Mission libérale » centrés sur « la diffusion des valeurs libérales dans la société russe », par exemple KLYAMKINE I.M. (dir.), Posle Imperii / Après l’Empire, Moscou, Fondation « Mission libérale », 2007, 224 p. 3 Certains experts nationaux pointent le « déficit de la planification stratégique » dans la Russie actuelle, voir par exemple l’intervention de Fedor Loukianov, rédacteur en chef du journal « La Russie