Kremlin

nationale. Si ce dernier est mort sous le réveil du nationalisme en Europe de l’est, il renait aujourd’hui de ses cendres, dans des formes nouvelles, mais pas marginales, tel le national-bolchévisme en Russie. Et si Sergei Markov, idéologiste du Kremlin compare la situation politique actuelle de la Russie avec l’Allemagne qui à vu monter Hitler au pouvoir, le pire est à craindre d’une telle fusion. Bibliographie : Consulté le 5/11/2011 : http://marxisme.over-blog.com/article-10879809.html Consulté

CHAPITRE 1 : DE LA 1ère DETENTE A LA CONFIRMATION DE LA DIVISION DE L’EUROPE – DE 1953 à 1962 Intro Mort de Staline, le 4 mars 1953. Mais la stratégie totale du Kremlin garde pour objectif final la victoire du communisme dans le monde. Il y avait les post-staliniens, et les anti-staliniens, les premiers ayant vaincu les seconds. L’URSS est entrée dans une phase post-autocratique : - Le parti a continué de commander à l’Etat - L’Etat a continué à commander à l’économie et à

tous les moyens qui existent si ce n’est les négociations avec Moscou. Etant donnée que les théologiens ne voient en les soviétiques qu’une volonté d’étendre le communisme et que l’US ne pourrait devenir des partenaires de négociation que lorsque le Kremlin aurait renoncé à son idéologie. -l’école psychiatrique : les dirigeants soviétiques ne diffèrent pas tellement des américains dans leur désir de paix. Ils adoptent un comportement intransigeant en partie parce que les EU leurs ont donné un sentiment

mutuel par l’arme nucléaire entraîne un apaisement des tensions : la « Détente » règne désormais sur les relations entre les deux blocs. Exemple concret : mise en place du « Téléphone rouge » en 1963 entre la Maison blanche à Washington D. C. et le Kremlin à Moscou. III De 1962 à 1975 : la Détente ou l’apogée de l’ordre bipolaire 1 – Une nouvelle situation internationale  EUA affaiblis (« repli américain ») par la guerre du Vietnam (1965 – 1973 – « Conflit « périphérique » de la GF), le scandale

Russie et des russophones à l'extérieur de la Russie". "Il est normal également que la communauté internationale veuille garantir l'intégrité, la souveraineté et l'indépendance de la Géorgie". (Entretien avec son homologue Dmitri Medvedev au Kremlin, mardi 11 août) {text:soft-page-break} *Président de la Géorgie:* Depuis que la Russie a envahi la Géorgie en août, la communauté internationale semble buter sur la question de l'événement déclencheur : l'armée géorgienne a-t-elle agi de manière

En 1956, Khrouchtchev condamna, lors du 20ème congrès du parti communiste, les crimes de Staline et le culte de la personnalité qui lui avait été témoigné. Son corps fut retiré en 1961 du mausolée de Lénine ; Il repose désormais au pied du mur du Kremlin.

(édification du mur de Berlin et crise de Cuba). A la fin de la crise de Cuba, les 2 puissances prennent consciences des risques qu'elles encourent. Le traité de Moscou (1963), qui interdit les essais nucléaires, est signé. La Maison Blanche et le Kremlin établissent également une ligne directe entre eux : "le téléphone rouge". Au début des années '70 (1972-74), les 2 nations négocient (malgré la guerre du Vietnam). Ce rapprochement soviéto-américain, cette "détente", est favorisée par la rupture de

répression s’accentue parallèlement à l’aggravation des tendances paranoïaques de Staline, hanté par la crainte des complots. La manifestation la plus célèbre de cette crainte est la répression du « complot des blouses blanches ». Les médecins du Kremlin sont accusés d’avoir organisé l’assassinat de Staline. Cet exemple illustre également le virage antisémite prit par le système → doc 3 page 89 Le fondement du modèle : le stalinisme Gorbatchev lança une politique de restructuration

(Glasnost et Perestroïka), montre à quel point le pouvoir central soviétique s'était fragilisé. Le complot échoue en grande partie grâce à l'intervention de Boris Eltsine et des réformistes qui ont ainsi renforcé leur poids dans la lutte de pouvoirs au sein du Kremlin. Au cours de l'automne 1991, les républiques constituantes de l'URSS proclament, l'une après l'autre, leur indépendance sans que le président soviétique Mikhaïl Gorbatchev ait la capacité ou la volonté de s'y opposer. Le 25 décembre 1991, Gorbatchev

les idéaux : c’est la Realpolitik ou politique réaliste. Reprise du dialogue Afin d’éviter l’apocalypse, la détente est avant tout diplomatique. Elle se traduit par la mise en place en 1963 du « téléphone rouge » reliant la maison Blanche au Kremlin, et par la multiplication des rencontres au sommet. En Europe, l’Ostpolitik de Willy Brandt permet d’établir des relations officielles entre la RDA et la RFA en 1972. Durant la période, les deux grands sont des adversaires – partenaires. Ils signent