Krim Belkacem

du 1er novembre est fixée pour le déclenchement d’actions armées sur l’ensemble du territoire national, divisé en six zones. (3 responsables au Caire Ben Bella - Aït Ahmed - Khider + 5 Algérie Ben Boulaîd (Aurès) Didouche (Nord Constantinois) Belkacem Krim (Kabylie) Bitat (Algérois) Larbi Ben M’hidi (Oranie). Mohammed Boudiaf devait coordonner l’ensemble) L’Algérie de 1954 à 1956 Etat des lieux 8 449 300 musulmans (89%) 20 à 25 % de berbérophones montagnes et Sahara le reste des arabophones 984 000

terme un marché très important (call centers, voix sur IP, SMS gateway, diffusion et contenu, internet mobile sous forme de clé usb…) Contacts utiles Ministère de la Poste et des Technologies de l’Information et de la Communication 4, bd Krim Belkacem – Alger Tél : +213 (0)21 71 12 20 Site internet: www.postelecom.dz Autorité de Régulation de la Poste et des - 3 - L e s e ct eu r de s tél éc ommuni ca tio ns en Al g éri e – 25/02/2009 – © MINEIE - DGTPE

secret rassemblant vingt dirigeants du FLN est donc réuni dans la Soummam (Kabylie). Il est décidé, à cette occasion, de réorganiser les forces armées en créant une Armée de libération nationale (ALN), dotée d’un état-major unique, qui est confié à Krim Belkacem. En septembre 1956, l’ALN intensifie la guérilla en zone urbaine et dans Alger même ; des bombes sont posées dans les cafés et les lieux publics, augmentant fortement le nombre de victimes françaises civiles. Face à la multiplication des attentats

L’indépendance du Laos et du Cambodge est acquise en même temps. Le 1er novembre 1954, une série d’attentats organisés par le FLN ouvre la guerre d’indépendance. Le FLN a été créé le 10 octobre 1954. Ses fondateurs sont Belkacem Krim (1922-1970) Mohamed Boudiaf (1919-1992) Ahmed Ben Bella né en1916 et Hocine Aït Ahmed né en 1926. Le FLN n’est pas au début le seul mouvement indépendantiste (il y a aussi le mouvement de Messali Hadj) mais, peu à peu, il finit par s’imposer

de libération nationale. « Groupe des six », chefs du FLN. Photo prise juste avant le déclenchement des hostilités le 1er novembre 1954. Debout, de gauche à droite : Rabah Bitat, Mostefa Ben Boulaïd, Didouche Mourad et Mohamed Boudiaf.Assis : Krim Belkacem à gauche, et Larbi Ben M'Hidi à droite. En 1954, l’Algérie compte approximativement huit millions d'autochtones et un peu plus d'un million de « Français d'Algérie » (Pieds-Noirs et Juifs d'Algérie naturalisés). La lutte pour l'égalité des

en Algérie. Le FLN apparut pour engager une lutte de libération nationale contre la « France coloniale », présente depuis 1830 sur le sol algérien, et pour la création d'un État algérien démocratique et populaire. Il est dirigé par six chefs : Krim Belkacem, Mostefa Ben Boulaïd, Larbi Ben M'Hidi, Mohamed Boudiaf, Rabah Bitat et Didouche Mourad. Par la suite, le mouvement s'organise et, en 1958, le FLN forme un gouvernement provisoire, le GPRA. C'est avec le GPRA que la France négocie en 1962 les accords

lÿordre. Personne nÿa encore entendu parler des six membres qui pilotent de lÿintérieur les attentats de la Toussaint revendiqués par une organisation intitulée Front de Libération Nationale (FLN): Larbi Ben MÿHidi, Didouche Mourad, Rabah Bitat, Krim Belkacem, Mohamed Boudiaf, Mostefa Ben Boulaïd. Ils sont tous issus de familles de notables déclassées socialement par le colonisateur. Le FLN est représenté à lÿextérieur par Hocine Aït Ahmed, Ahmed Ben Bella et Mohamed Khider. Tous ces hommes sont issus

participe au congrès de Tripoli où un différend l'oppose au Gouvernement provisoire de la République algérienne (GRPA). Après les accords d'Évian, il critique en effet la légitimité du gouvernement provisoire et se heurte à Mohamed Boudiaf et Krim Belkacem. Il rentre à Alger et, le 27 septembre 1962, est désigné président du Conseil. Ben Bella a pour objectif de construire un socialisme typiquement algérien (liens avec Cuba et la France à la fois) tout en épurant le parti, l'armée et l'administration

1945. Toutefois, l'autorité du dirigeant du MTLD est contestée par ceux, dont Hocine Aït Ahmed et Ahmed Ben Bella, qui préconisent l'action immédiate pour relancer le mouvement. En octobre 1954, neuf personnalités – parmi lesquelles Aït Ahmed, Krim Belkacem, Ben Bella, Mohammed Boudiaf, qui traverseront toute la guerre – fondent le Front de libération nationale (FLN), le dotent d'une Armée de libération nationale (ALN), et fixent l'insurrection pour la Toussaint 1954. La guerre Une dimension

initiateurs du mvt espéraient_). Une organisation, jusque là inconnue, revendique ttes les opérations militaires: le Front de Libération Nationale, FLN. (_Elle est dirigée de l'intérieur par 6 hommes: Larbi Ben M'Hidi, Didouche Mourad, Rabah Bitat, Krim Belkacem, Mohamed Boudiaf, Mostefa Ben Boulaïd.)_ Le C.R.U.A , Comité Révolutionnaire pour l’Unité et l’Action rédige et approuve « la proclamation historique du 1er novembre » en même temps que la naissance du FLN. Répression: en quelques jours,