Kyoto

émissions sont censées diminuer, devant normalement rendre plus rares ces droits à polluer, et donc les rendre plus chers. La motivation grandit alors pour les entreprises de faire en sorte d'émettre moins de CO2. Avec la ratification du traité de Kyoto, l'ensemble des pays européens s'est engagé à diminuer de façon significatives ses émissions. Ce procédé est censé représenter la solution, vu qu'il concernerait la moitié environ des émetteurs de gaz carbonique. Pourtant, cela ne fonctionne pas

émissions totales mondiales. • En 1997, une grande partie des états ont ratifié le protocole de Kyoto qui prend les des taux d'émissions de gaz a effet de serre de 1990 comme base pour baisser ces taux d'émissions. En 2012, les Etats Unis et la Chine sont les plus gros pollueurs; la Chine a multiplié ses émissions par 4 (elle est passée de 5 à 20%). On voit donc que globalement le protocole de Kyoto n'a malheuresement pas été respecté. doc 5 p139 Les pays developpés représente 42% des émissions

sévissent à l’échelle d’une région ou d’un pays, ce phénomène fait peser sur la planète une menace globale. Après le temps de la prise de conscience, l’adoption de la Convention-cadre sur le changement climatique à Rio en 1992, puis du protocole de Kyoto en 1997, marque le début d’une nouvelle phase qui est celle d'une politique concertée entre les États qui devait se concrétiser lors du sommet de Copenhague en 2009. Cette politique ne va pas sans heurts car elle remet en cause les choix de développement

Grand public 8 b. Communauté scientifique 11 II. Politiques mises en oeuvre 11 a. Quelles options? 13 b. Politiques concernant le réchauffement climatique 13 • Vision générale 14 • Mécanismes du protocole de Kyoto 17 • Bilan 2012 19 III. Perspectives 19 a. Politiques actuelles 21 b. Perspectives démographiques 24 c. Perspectives énergétiques 27 d. Perspectives climatiques 29 Conclusion 30 Bibliographie

mobilisé autant de personnes (50 000 personnes dont 115 chefs d’État, 21 000 observateurs - ONG environnementales, secteurs privés – et 5 000 journalistes. L’ « Accord de Copenhague » apporte donc une nouvelle troisième voie depuis les accords de Kyoto. Comment va-t-elle réussir à s’articuler ? I. Les échecs de Copenhague : des mesures à prendre pour la suite des négociations internationales sur le climat Un accord qui n’en est pas vraiment un : manque de consensus et des propositions

Halte à la croissance ! » commandé par le club de Rome. 1987 : publication du rapport Brundtland. 1992 : Sommet de la Terre de Rio de Janeiro organisé par l'ONU : adoption de l'Agenda 21. 1997 : Sommet de Kyoto sur le changement climatique, réuni à l'initiative de l'ONU : adoption du protocole de Kyoto, traité international visant à la réduction des émissions de gaz à effet de serre. 2002 : Sommet de la Terre de Johannesburg. D'après Y. Veyret et P. Arnould, Atlas des développements 2009 : Sommet de

œuvre par les pouvoirs publics pour réduire les émissions de gaz à effet de serre et lutter contre le réchauffement climatique. Ses trois instruments économiques sont la taxation, la réglementation et les marchés de quotas d’émission. Le protocole de Kyoto est le premier accord à définir les objectifs de la politique climatique à l’échelle mondiale. La politique climatique repose sur trois outils présentant des avantages dont les limites les rendent complémentaires Les Politiques climatiques reposent-elles

inciter les consommateurs à se porter acquéreur de voitures considérées comme plus propres, tout en espérant arriver à un bilan neutre en lançant parallèlement un malus pour les véhicules émettant plus de 161g/km de CO2. Le protocole de Kyoto: Le protocole de Kyoto est un traité entré en vigueur en 2005 qui vise à lutter contre le changement climatique en réduisant les émissions de dioxyde de carbone ( gaz à effet de serre ). Il a été accepté par 172 pays à ce jour, à l'exception des Etats-Unis. Ces

serre industriels incluent les hydrofluorocarbones ou CFC, les hydrocarbures perfluorés ou PFC et les hexafluorures de soufre ou SF6 ; ces gaz sont également responsables de l’attaque de la couche d’ozone. Ce sont les 6 gaz visés par le protocole de Kyoto. Chacun de ces gaz possède un pouvoir de réchauffement global (ou PRG) comparé au dioxyde de carbone et une durée de séjour dans l’atmosphère. 3 -En quoi l’homme participe-t-il à cet accroissement ? Les principaux gaz à effet de serre sont d’origine

entrée au sein des décisions mondiale, la force économique de l’Europe, va peut-être faire pencher la balance, afin de permettre une avancé importante pour la mise en place des futurs accords mondiaux. Il a pour but de remplacer le protocole de Kyoto qui prend fin en 2012 qui stipulé de réduire les émissions de co2 de 21% par rapport a l’année 1990. Les émissions de gaz à effet de serre sont une conséquence du réchauffement climatique. Plus de 193 pays se sont réunis, à Copenhague pour essayer