L Adieux Du Vieillard Diderot

XVIIIème siècle                                       Voyage autour du monde de Bougainville                                      Supplément au Voyage de Bougainville de Diderot                                       Les Chansons Madécasses de Parny SOMMAIRE Introduction PARTIE I Présentation des trois textes : Bougainville, Diderot et Parny   PARTIE II Comparaison des trois visions  A- Description du comportement des Insulaires B- Description du comportement des Européens C- Le point de vue des

CYRANO DE BERGERAC (1619-1655) L’autre monde ou les Etats et Empires de la Lune (v.1650) Déshumanisation : l’Homme est barbare s’il se comporte comme une bête, il est sadique DIDEROT (1713-1784) Supplément au Voyage de Bougainville (1778) Chapitre II, « Les adieux du vieillard » L’Homme est barbare s’il commet des actes d’esclavage, de la décolonisation, blâme des Européen et éloge des Tahitien. ROUSSEAU (1712-1778) Le barbare est celui qui se croit supérieur

Registres Comment les Philosophes des Lumières cherchent-ils à la fois à instruire et à critiquer pour faire évoluer la société ? 1. Fontenelle, Entretiens sur la pluralité des mondes, p. 248-249 Lectures analytiques 2. Diderot, Supplément au voyage de Bougainville, « Les adieux du vieillard » (texte polycopié) 3. Montesquieu, Lettres persanes, extrait de la lettre XXIV (texte polycopié) 4. Voltaire, Candide, chapitre 3, (texte polycopié) Synthèses Lecture cursive complémentaire : œuvre intégrale Activités

lecteur se sent aussi menacer, et la révolte de l’auteur contre la guerre est adhérer par le lecteur. Dernièrement, les adieux du vieillard dans le Supplément au voyage de Bougainville de Diderot fait prendre conscience au lecteur la condition humaine, et la population telle qu’elle est vue d’un œil étranger. Le lecteur se remettre donc en question, pour enfin adhérer à la vision de Diderot. En conclusion, la littérature sous forme de révolte permet de transmettre ses idées au lecteur, permet de lui faire

liberté et languis en service, (...) Je n'aime point la cour et me faut courtiser... » - Joachim du Bellay * « Nous ne voulons point troquer ce que tu appelles notre ignorance contre tes inutiles lumières. » - Diderot, Supplément au voyage de Bougainville, chapitre II (Les adieux du vieillard). * « Ton bras est invaincu mais non pas invincible. » - Pierre Corneille * « À vaincre sans péril, on triomphe sans gloire. » - Pierre Corneille * « Je vis, je meurs; je me brûle et me noie. » - Louise

des marques de sincérité telle que « […] un livre de bonne foi… » ; « je veux qu’on m’y voie en ma façon simple, naturelle et ordinaire, sans contention et artifice : car c’est moi que je peins », des apostrophes « lecteur » tout en les rejetant «  Adieu ». Il précise dans son extrait les destinataires « Je l’ai voué à la commodité particulière de mes parents et amis » L’argumentation est dite indirecte ou implicite, lorsqu’elle cherche à convaincre ou à faire réfléchir le lecteur mais de manière

suggèrent " à tous " et " à ceux " qui ne s'adressent à toute l'humanité. Puis il adresse un adieu à la vie, à la nature, empreint de mélancolie : le mot " adieu ", répété trois fois semble montrer comment le résistant prolonge la séparation en s'adressant à chaque élément qu'il a pu chérir. On y retrouve aussi la tristesse et la douleur à l’idée de quitter la vie " que le cœur me fend ". Dans cet adieu apparaît certes la tristesse de Manouchian mais aussi sa sérénité face à la mort « Bonheur

de largumentation thse, argument, exple, les connecteurs logiques) 3 Anthropologie structurale II, C. Lvi-Strauss, 1952 (argumentation par dduction, texte convaincant mais prsence dlments de persuasion) 4 Supplment au voyage de Bougainville, Diderot, 1796 (la persuasion et ses procds rhtoriques, plaidoyer/rquisitoire, le polmique, les Lumires) Documents complmentaires Etude de la publicit Benetton, manuel p.469 (dcouverte de la squence, largumentation dans limage, rflexion sur le racisme) 2me

| | | | | |4° Supplément au voyage de Bougainville, Diderot, 1796 (la persuasion et ses procédés rhétoriques, | | |plaidoyer/réquisitoire, le polémique, les Lumières) | | |

saute de plus en plus près. J’ai peur. J’ai le vertige. Et je m’arrête exprès. Un effroyable drôle m’a jeté un regard Aigu, puis a passé, mauvais comme un poignard. Seigneur, rien n’a changé depuis que vous n’êtes plus Roi. Blaise Cendrars Adieu ! L’amour est libre il n’est jamais soumis au sort O Lou le mien est plus fort encor que la mort Un cœur le mien te suit dans ton voyage au Nord Lettres Envoie aussi des lettres ma chérie On aime en recevoir dans notre artillerie Une par jour au