L Affirmation De La Puissance De L Eglise En Europe Au Xieme Xiiième Siecle

Corrigé de la composition :La puissance de l’Église en Europe du XIème au XIIIème siècle 1ère étape : analyser le sujet, en approfondissant Église = institution, organisation qui encadre les croyants, clergé séculier/régulier, dirigée par le pape, intermédiaire entre fidèles et D, qui dit les guider vers le salut Puissance = pouvoir, influence → idée d'Eglise qui agit dans plusieurs domaines → pouvoir spirituel : dogme, salut, sacrements, omniprésence → pouvoir social : assistance, charité, définition

SOCIETES ET CULTURES DE L’EUROPE MEDIEVALE DU XIème AU XIIIème SIECLE Introduction Š L’apogée de l’Europe au Moyen-Age ? Doc. pages 90-91 : « L’Europe au XIIIème siècle » • Au Moyen-Age, l’Europe se définit par l’ensemble des terres chrétiennes (ou chrétienté). Il existe, déjà à partir du milieu du XIème siècle, deux Eglises chrétiennes : - celle d’Occident, que l’on appellera à partir du XVIème siècle l’Eglise catholique, et dont le cœur se trouve à Rome, où siège le Pape (chef de l’Eglise

médiévaleMr Franck MERCIER « Le beau XIIIème siècle », c’est ce siècle qui connaît une bonne stabilité économique, un essor démographique, dans une période pacifique, qui verra s’affirmer la plus puissante des monarchies de l’Europe chrétienne. Un terrain propice pour installer durablement la papauté à travers un cadre et une hiérarchie dans une société médiévale en plein développement. Le schisme a permis d’instaurer l’idée d’une Église plus moderne déjà au XIIIème siècle. Cela évidemment, n’a pas pu se

aurait changé avec la réforme romaine, dont l'efficacité aurait été immédiate. Depuis les années 1970, on insiste beaucoup plus sur la continuité avec les temps carolingiens, ce qui amène à ne pas voir l'Église du Xème et de la première moitié du XIème siècle comme un âge noir et à considérer la réforme grégorienne comme la fille de la réforme carolingienne, comme un moment où ce qui s'était préparé auparavant a été cristallisé relativement rapidement : il n'y a rien de radicalement neuf avec la réforme

au sein de la pop° : les normands au N, les sarazins au S, les Hongrois en Europe Centrale. Cependant, si les invasions affaiblissent les carolingiens, elles ne sont pas les seules responsables de sa disparition. Il y a aussi des problemes internes, trop vaste, sous-administré et victime de la faiblesse des souverains. 10eme siecle : siecle difficile mais consideré comme un « siecle de fer et de plomb ». Le 10eme siecle est important car la carte de l’Europe se redessine et on voit de nouvelles

sa circonscription. Les diocèses sont fractionnés en archidiaconés dirigés par des archidiacres. Ils sont fractionnés en doyennés, ellesmêmes fractionnées en paroisses. Théoriquement, les évêques restent élus par le clergé et par le peuple de leur église, mais en pratique, leur nomination est contrôlée par le pouvoir royal ou impérial. Charlemagne s'est même octroyé le droit de refuser ou d'agréer certains candidats. En échange de sa fidélité à l'empereur, l'évêque recevait une gratification sous

la seule langue “littéraire” en France. C’est la langue des hommes de l’Eglise, des hommes cultivés, des “clercs”. Dés le Vè siècle, à partir du latin reproduit et déformé par les Gaulois, enrichi des apports germaniques, naît un langage mixte, appelé le “roman”, qui deviendra l’ancien français du XIème au XIVème s., puis le moyen français aux XIVème et XVème siècles. En 813, au Concile de Tours, les évêques recommandent aux clercs de ne plus prêcher en latin, mais en langue romane pour mieux

la chute de l’empire romain d’occident sous le cours des invasions barbares Au IVème siècle L’empire romain est si vaste qu’il est devenu extrêmement a un seul empereur de le dirigé, il décide alors de le divisé en une partie orientale et occidentale (à l’ouest et à l’est des Balkans). Dont partie donc les capitales sont respectivement : Rome pour l’Occident et Constantinople pour l’Orient A la fin du 5ème siècle la partie ouest s’écroule tandis que la partie orientale continu d’exister, l’un des

INTRODUCTION HISTORIQUE AU DROIT Y. Durelle-Marc 2007-2008 TITRE 1 : LES ROYAUTES MEROVINGIENNES ET CAROLINGIENNES (Vème – Xème siècle) Point de départ : 476, fin de l’empire romain d’occident. Effondrement de l’empire romain et crise culturelle, et encore affaires externes (invasions barbares). Rome laisse cependant de nombreuses traces : au niveau administratif et militaire. Les invasions barbares sont longues, les peuples de l’est sont intégrés : les valeurs sont conservées, et des éléments

la fin de la republique...................................10 §3 - L’état du droit des debuts de l’empire à la codification justinienne..............12 PARTIE I : L’ANCIEN DROIT (VEME-XVIIIEME SIECLES) ..................................................16 CHAPITRE 1 : LE DROIT DU HAUT MOYEN-AGE (VEME-XEME SIECLES) ...........................17 Section I. De la chute de rome aux Merovingiens : droit romain, droits germaniques ...........................................................................