L Amour Est Il Un Moyen En Vue Du Bien Ou Une Fin En Soi

prince de Clèves aime sans limite, de manière absolu la princesse ; la princesse désire sans limite le duc de Nemours, et par amour elle y renonce pour garder l’amour intact. Monsieur de Nemours  incarne l’expérience (de la vie, de l’amour), la maturité, le désir. Il incarne l’attrait (il attire Mlle de Chartres) et la peur (Mlle de Chartres a peur de lui). Cette amour est voué à l’échec : le désir, s’il est accompli, n’existe plus. L’entourage des personnages principaux : Les opposants :

Marianne : Acte 1, Scène 1 Introduction : Musset, auteur romantique du XIXème lance sa pièce en faisant rentrer les personnages directement pour qu’ils se présentent eux-mêmes deux par deux. Problématique : En quoi cette scène anticipe-t-elle la fin ? I Les visages du romantisme 1) La présentation antithétique de deux amis : - Au physique = couleurs des habits - Au moral Octave joyeux / Coelio mélancolique 2) Les conceptions de l’existence chez l’un et chez l’autre : - Octave

connu sur le plan académique comme « grand écrivain anglais ». IV. Résumé du film « Orgueil et Préjudice » est tiré d’après le roman de Jane Austen. Dans l’Angleterre de la fin du 18ème siècle, les cinq sœurs Bennet- et parmi elles la très volontaire Elizabeth et la jeune Lydia-ont été élevées par leur mère en vue de servir un seul dessein dans l’existence : se trouver un mari. Quand un riche célibataire élit résidence dans une demeure du voisinage, les Bennet se réjouissent : nul ne doute

constituée par l’église et les prêtres jésuites. C’était également impossible pour les jeunes ambitieux d’une classe sociale inférieure de faire une ascension sociale par leurs propres mérites, car les valeurs de titres et de l’argent regnaient. Le seul moyen de faire une carrière était de rentrer à l’église ou à l’armée. Le pouvoir a été repris par la noblesse et les cléricaux dont l’aspiration peut être caractérisée par la conservation des faits et le désir d’un retour à l’Ancien Régime. Des intrigues

aussi de profonds changements. · Plutôt que sur des caractères fixes, sa comédie se concentre sur des sentiments changeants (le plus souvent par rapport à la naissance d’un amour ou à un changement de destinataire de cet amour) · La comédie devient donc plus intime et moins sociale : la société n’est plus au centre, même si bien sûr elle reste présente en tant que contexte des intrigues sentimentales : différence de rang social entre Dorante et Araminte, procès entre Araminte et le conte, statut de

« Le groupe s’éparpillerait s’il n’y avait quelqu’un pour avoir bien soin de lui. Ainsi le corps de l’homme, comme n’importe quel animal, se désagrégerait s’il n’y avait dans ce corps une certaine force directrice appliquée au bien commun de ses membres ». Cette citation tirée de l’œuvre de Thomas d’Aquin ; « Regime principum » , datant du XIIIème siècle, représente l’importance du rôle de la famille dans la société monarchique. Les hommes sont antérieurs

dans lequel se trouvent les hommes, abstraction faite de tout pouvoir et de toute loi), les hommes sont gouvernés par le seul instinct de conservation ; ils sont égaux puisqu’ils ont les mêmes désirs, les mêmes droits sur toutes choses, les mêmes moyens d’y parvenir. Cette égalité naturelle se transforme naturellement en rivalité, de sorte que l’état de nature, c’est l’état de la « guerre de tous contre tous ». L’homme est ainsi « un loup pour l’homme ». C’est, en définitive, l’angoisse de la mort

était en chemin pour rompre avec lui. Suite à cette vision, prise dans une longue réflexion sur le désespoir qui l’étreint, elle décide de manquer son rendez-vous pour se livrer à ses pensées. C’est ainsi qu’elle fait part de sa théorie de l’Immense Amour : elle le compare à une baignade dans l’eau froide dont il faut sortir à temps pour ne pas s’en accommoder. Elle réfléchit ensuite à sa propension à toujours quitter sans nostalgie les personnes qui l’entourent : l’absence de sa mère et le départ prématuré

Sans difficulté » p88) L.A. n°3 (Acte III, scène 6) : les aveux comiques de Lisette et Arlequin (de « Sachons de quoi il s'agit » p122 à « la coiffeuse de Madame » p125) L.A. n°4 (Acte III, scène 8) : le dénouement (de « Laissez-moi » p133 à la fin de la scène p136) Documents complémentaires : • Mise en scène de Jean Liermier (2008 – Théâtre de Carouge). Vous pouvez accéder à quelques extraits, ainsi qu'à un interview du metteur en scène, à l'adresse suivante : http://www.tv5.org/TV5

difficulté » p88) • L.A. n°3 (Acte III, scène 6) : les aveux comiques de Lisette et Arlequin (de « Sachons de quoi il s'agit » p122 à « la coiffeuse de Madame » p125) • L.A. n°4 (Acte III, scène 8) : le dénouement (de « Laissez-moi » p133 à la fin de la scène p136) Documents complémentaires : • Mise en scène de Jean Liermier (2008 – Théâtre de Carouge). Vous pouvez accéder à quelques extraits, ainsi qu'à un interview du metteur en scène, à l'adresse suivante : http://www.tv5.org/TV5Site/pu