L Amour Rend Heureux

Corneille. Dans « Le Cid », Rodrigue, fils de Don Diègue et Chimène, fille de Don Gomès, sont amants heureux qui vont s'unir par les liens du mariage. Mais, dans un argument entre leurs pères, à cause du choix de gouverneur pour le prince, Don Gomès insulte Don Diègue et le rend déshonoré. Comme Don Diègue ne peut pas se venger lui-même à cause de son âge, il demande à son fils, malgré son amour pour Chimène, de prendre sa vengeance et Rodrigue tue Don Gomès en choisissant l’honneur de son père.

facile (Épicure) et les pessimistes, pour qui il est difficile (Rousseau), voire impossible (Pascal, Schopenhauer, Freud). D'autres, comme Kant, opposent la recherche du bonheur et la réalisation de la loi morale : on ne peut pas chercher à être heureux en suivant la loi morale ; néanmoins, on ne peut pas parler d'une condamnation de la recherche du bonheur. Nietzsche, lui, la critique comme une fuite devant le tragique de la réalité, lui préférant l'expérience de la joie. Épicure (IIIe siècle

vie pensent que le bonheur est un état idéal et qu’il faut amplifier ses désirs pour être heureux. (hédonisme) En observant ces deux points de vue, on se rend bien compte qu’il faut distinguer certains types de désirs : on montrera donc dans un premier temps que certains désirs sont la source de nos malheurs mais il faudra tout de même se demander si ce n’est pas en acceptant de désirer qu’on peut être heureux.            Une des visions souvent étudiée du désir est donc celle qui décrit le désir

femme de Polyeucte Pauline, et de Dieu. Néarque demande de faire un choix à Polyeucte, de ne pas écouter se femmes qui a vu en rêve celui-ci mourir, et donc de ne pas « s’atendrir » mais , d’écouter Dieux. Il lui dit que c’est Dieu qui veut le premier amour et les premiers honneurs. ( Qu’il doit aimé Dieu avant Pauline ) Nous apprenons que Polyeucte n’est pas encore chrétien. • Pauline supplie a Polyeucte de ne pas sortir car elle a peur qu’il meurt. Pauline (qui est romaine) explique que les Dieux

par nature adaptés à nos différents appétits, à nos passions et à nos affections particulières. De sorte que si l’amour de nous-mêmes nous préoccupe totalement au point de ne laisser place à aucun autre principe, il est absolument impossible d’être heureux ni de jouir d’une quelconque satisfaction ; car le bonheur consiste dans la gratification des passions particulières, ce qui suppose qu’on ait de telles passions. Ce n’est donc pas l’amour de nous-mêmes qui fait que telle ou telle chose constitue

Victor Hugo (1802-1885) Hernani, II-4 (1830) Introduction Pour le proscrit Hernani, personnage éponyme du drame publié par Hugo en 1830, et pour Doña Sol, c’est l’heure du choix. Leur amour illégitime est connu : ils sont traqués. Dans un dialogue animé et contradictoire, chacun des amants s’emploie à convaincre l’autre d’accepter sa décision : fuir ensemble pour Doña Sol ; se séparer pour Hernani. Il s’agira de voir comment, plus que les principes proclamés par la Préface de

c'est améliorer la vie; faites les hommes heureux, vous les faites meilleurs. V. Hugo 4. Amer savoir celui qu'on tire du voyage! Ch. Baudelaire 5. Attacher trop d'importance aux connaissances livresques est aussi faux que de les sous-estimer. J. K. Nyerere 6. Aujourd'hui, les machines sont admirables et les visages fermés. Nous avons la technique, il nous manque le sourire. Fr. de Closets 7. Ce n'est pas le doute, c'est la certitude qui rend fou. Fr. Nietzsche 8. Ce n'est pas notre

recueillir. Il sait prononcer le om, une prière qui représente le monde entier en une syllabe et sait trouver en son fort intérieur l'Atman, c'est à dire le souffle de son âme, sa vraie personnalité, son véritable moi. Cependant, Siddharta n'est pas heureux : il sent qu'il lui manque quelque chose, dont il se sent parfois tout proche et qu'il a besoin d'atteindre pour connaître le bonheur véritable. Il a conscience d'être en possession de la sagesse mais il voudrait la vivre et comprend qu'il ne la trouvera

qu'elle a tout fait pour se faire détester de Perdican, et où elle affirme que ce dernier est au désespoir à cause de son refus de mariage. Au cours d’une dispute entre Dame Pluche et Maître Blazius, Perdican tombe sur cette lettre. Touché dans son amour-propre, il laisse l'orgueil et la vanité le dominer, et décide de la détromper en séduisant Rosette, une jeune paysanne, sœur de lait de Camille, espérant ainsi rendre sa cousine jalouse, lui donnant rendez-vous afin qu'elle assiste à la scène. Mais

Jeanne a les cheveux blonds et les yeux bleus. Elle était grande et mince. <<Comment serait-il? Elle ne le savait pas au juste et ne se le demandait même pas. Il serait lui, voilà tout>>( Maupassant,1988:12) Elle a estimé que son amour est à venir. Elle rêvait de lui. Jeanne a longtemps fantasmé sur lui. Elle a lu des livres, est entré, en appréciant la nature, la mer. Elle se promenait avec sa mère. Père de Pico est venu à travers le. Père a voulu présenter Julien