L Amour Rend T Il Aveugle

Symphonie pastorale -texte littéraire 1. André Gide au cinéma..................……………………..…....……………………. ..6 2. La Symphonie pastorale d’André Gide- approche historique et littéraire…......…. 8 3. Le mythe de Pygmalion chez Gide et l’éducation d’une aveugle……………..….. 11 4. Le sentiment amoureux sous différents angles dans l’oeuvre La Symphonie pastorale………………………………………………………………………………14 5. Compréhension et confusion de la Bible. La religion –entre vérité et mensonge.…18 5.1. La présence de Dieu dans

préparation que demande une entrevue est bien douloureuse. Elle se révèle finalement totalement inutile puisque c'est en général au moment où un tête à tête devenait nécessaire, qu'un peu éclairé par un ami, on se rend compte que l'autre est dans la même situation que nous et combien on a été aveugle. La porte de l'éternel bonheur est alors ouverte. Si par malheur la personne concernée n'a pas les même sentiments à notre égard, il ne nous reste plus qu'à nous enfermer dans notre désespoir et à attendre

secrets intimes de son atelier où il la fait poser pour lui. Alors le scandale éclate au grand jour et que la peste a décimé sa famille, Griet, victime de son innocence et de sa fascination pour l’œuvre du peintre, se réfugie dans un mariage sans amour avec le fils d’un commerçant boucher, Pieter. Quand elle recevra, après la mort de Vermeer, la boucle d’oreille en perle, elle n’aura comme seul regret de n’avoir jamais vu le tableau terminé. Grâce au talent de Tracy Chevalier, le lecteur pénètre

tragédie, Les contrainte de la passion. I. La passion : un ressort de la tragédie La passion de Phèdre Comment est née cette passion fatale chez Phèdre? Sinon d'un coup de foudre. Phèdre aima son beau-fils à la première vue. En réalité cet amour est extraordinaire : Vénus, la déesse de l'amour, dans son entreprise de vengeance sur la famille de Phèdre, inspire cette dernière à aimer incestueusement le fils de Thésée, son mari. Cette passion remonte d'ailleurs à sa mère Pasiphaé qui aima, sous

et attire sur son fils la malédiction divine, qu'il ne pourra ensuite enrayer.Hippolyte, farouche et rebelle à l'amour, est puni de son orgueil, même si ce ressort est moins développé chez Racine que chez Euripide. Quant à Oenone, son dévouement aveugle, excessif à sa maîtresse la conduit à la perdre en voulant la sauver. La notion de tragique fait également apparaître celle de fatalité. Les personnages sont entraînés dans une logique qui les dépasse. Pour Phèdre, la fatalité a le visage de Vénus

inspirant du dégout. Il s’agit d’un vieillard aveugle et mendiant, qui n’a visiblement que très peu de moyens. Sa tenue vestimentaire ne le met pas en valeur : «  un amas de guenilles lui recouvrait les épaules, et un vieux castor défoncé, s’arrondissant en cuvette, lui cachait la figure. » Nous voyons que sa manière de se vêtir est très négligée grâce à ces métaphores, qui accentuent d’avantage la critique du personnage. De plus, sa figure est cachée, cela rend le personnage encore plus inquiétant, et

5). Le langage qu'il utilise dans le monologue lorsqu'il apprend qu'Agnès l'a laissé pour un homme plus jeune le montre (Acte IV, scène 1) : "godelureau", "s’amourache". Chez Arnolphe, l’obsession de ne pas être « cocu » tourne à la monomanie, et le rend ridicule, par exemple quand il tombe dans l’excès en parodiant le tragique (Acte III, scène 5). Il est obligé de garder le silence, face à Horace. Le public, complice, rit alors des apartés, par exemple  «  Ah! Je crève… ». Quand il écoute le portrait

considéré comme inaccessible et il est grandement idéalisé. Il peut alors être blessant : « Aimer jusqu’à la déchirure ». Selon sa vision des choses, l’amour le rend malheureux car lui peut aimer mais il n’est jamais aimé en retour : « mais sûr qu’elle est trop bien pour moi » (Madeleine). Le sentiment d’amour peut également rendre aveugle. C’est avec ironie qu’il traite ce sentiment à travers les madeleines et les bonbons. Malgré cela, il éprouve une grande tristesse et prêt à tout donner (« Ne me

barque. Lors du moment d’action elle pouvait faire quoi sauter sur Laurent pour l’en empêcher ? il l’aurait repoussé d’une telle force qu’elle aurait pu se blesser. Après tout elle aimait Laurent et comme on dit l’amour rend aveugle. Aveugle des actes qu’on pourrait faire par amour. Après tout c’était pour elle une sorte de liberté. Thérèse n’a pas eu le choix de son destin , de son mariage. Elle était mariée à un homme comme je l’ai dit qu’elle n’aimait pas, elle le méprisait même. Cet homme à

cravache (« Ne frappe pas sur la tête. »). Marqué par ce milieu défavorisé, Camus porte toute son affection sur sa mère, qui le lui rend bien mais avec qui le dialogue est pour ainsi dire inexistant, tant elle est peu loquace et épuisée par son travail. On peut supposer que toute l’œuvre littéraire future sera une tentative de combler ce vide, cette absence, cet amour pressenti de part et d’autre mais non exprimé par des mots. Écrire sera donc une manière d’entrer enfin en contact avec les autres