L Amour Rend T Il Aveugle

en pouvoir de création, implique qu’elle demeure au-delà aussi de toute limite. Ce devoir d’aimer son prochain est devoir sans raison. Et il est exigence d’aimer jusqu’à en mourir. La raison est raisonnable par ses limites, cette absence de raison rend l’amour tout puissant et illimité. La beauté de la philosophie de Jankélévitch est de faire une confiance totale à l’amour. Il est de ce fait la clef de voûte de tout l’agir humain. Il transfigure tout ce qu’il touche, et même s’il ne fait que l’effleurer

que ses paroles sont dues à sa douleur, elle n'avoue pas son amour pour Britannicus car si elle le faisait, Néron tuerait Britannicus. 3°) Junie a de courtes répliques et ne répond pas à la tirade où Britannicus lui exprime sa douleur, ce qui montre que Junie l'aime. III°) Cette scène est tragique 1°) Junie doit faire face à un dilemne entre Néron et Britannicus, soit elle va avec Néron et sauve Britannicus soit elle montre son amour pour Britannicus et met la vie de Britannicus en danger. 2°)

UN AMOUR DE SWANN DE MARCEL PROUST L’auteur : Marcel Proust est né à Auteuil le 10 juillet 1871 et mort à Paris le 18 novembre 1922, est un écrivain français, dont l'œuvre principale est une suite romanesque qui s’appelle À la recherche du temps perdu, publiée entre 1913 et 1927. (Certaines parties de cette suite seront publiées après la mort de l’auteur.) Il obtient, en 1919, le Prix Goncourt avec A l’ombre des jeunes filles en fleurs. Son œuvre est qualifiée de réflexion majeure sur le temps

scène une passion sincère et juvénile. Cf scène de rencontre, coup de foudre : l’amour le transforme radicalement, amour comme valeur absolue. Controverse entre Tiberge et DG qui s’affrontent verbalement (morale chrétienne/morale naturelle fondée sur l’amour). Sa passion éteint son sens moral. Passion pas comme un vice mais comme valeur morale. A plusieurs reprises, apologie de son amour pour Manon. Un monde sans elle n’a pas de sens : « Manon était passionnée pour le plaisir ; je l’étais

tension entre amour de l’apparence et amour de soi, au vu de celle existant entre le corps et l’âme, le sensible et l’intelligible. La beauté empêche-t-elle la connaissance de soi ? Faut-il fermer les yeux pour voir véritablement ? L’art n’a-t-il pas ici une fonction unificatrice ? Tous ces questionnements convergent vers une problématique plus centrale : en quoi le regard porté sur soi est-il duel, convoquant un mouvement de l’âme qui oscille entre ascension et chute ? 2I. Amour de l’apparence

De plus le connecteur d'opposition « mais » rend Manon unique par opposition aux autres femmes. L'amour qui naît brusquement lui donne de la force et du courage, il prend tout à coup des initiatives surprenantes, impensables. La communication établie entre les deux personnages passe par le regard mais aussi par la parole : verbes de parole « demandait » ; « répondit ». Une rencontre placée sous le signe de la passion On peut dire que cet amour est sensuel, comme le montre l’hyperbole « coup

ces maux et elle la cache. Tout au long de la pièce, elle décrit son amour comme un désagrément physique et moral. Il est vrai que cette passion est une souffrance et son corps en subit les conséquences. Son « mal vient de plus loin » (v. 269), dès ce moment elle ne se «soutient plus » (v.154), ses forces la quittent, ses « genoux tremblants se dérobent » (v.156) sous elle. Elle se sent épuisée par ce lourd secret qui est son amour pour Hippolyte, « tout m’afflige et me nuit et conspire à me nuire

ses gloires. (Idem). Ne pas aimer, c’est ne pas vivre, c’est mourir au sein de la vie. (Idem). Rien n’est petit quand on aime beaucoup et rien n’est grand quand on aime peu. (DUGUET). Le travail le plus productif est celui qui est fait avec amour. (SMILES). Que le monde serait aimable si, plus que le cerveau, le coeur était cultivé. (PENTECOST). Celui qui aime ne vieillit jamais. (EMERSON) On se trompe en pensant mieux établir son autorité par la force que par l’affection. (TÉRENCE)

pastorale (roman) Résumé Gertrude, une jeune fille aveugle et orpheline de sa grand-mère qui vient de mourir, est recueillie par un pasteur qui lui offre de vivre avec sa femme, Amélie, et ses enfants dans une petite chaumière du Jura suisse. Dans son journal, le pasteur raconte l’éducation protestante qu’il offre à Gertrude, dont il finit par tomber amoureux. Son fils Jacques tombe également amoureux de Gertrude. Lorsque le pasteur s’en rend compte, il lui ordonne de partir. Une opération donne

contraintes de la passion. I) La passion amoureuse : Un ressort de la tragédie La passion de Phèdre comment est née cette passion amoureuse fatal chez Phèdre ? Sinon un coup de foudre Phèdre aima son beau fils a la première vue. En réalité cet amour est extraordinaire : Venus la déesse de l’amour dans son entreprise de vengeance sur la famille de Phèdre inspire ce dernier a aimer incestrieusement le fils Thésée son mari cet passion conte d’dalleur a sa mère Pasiphaé qui aime son inspiration