L'Ange des maudits

 Ils furent des poètes maudits… Le poète Paul Verlaine a écrit une série d’articles sur des poètes qu’il a baptisés « poètes maudits ». Il y nommait Tristan Corbière, Arthur Rimbaud, Stéphane Mallarmé, Marceline Desbordes-Valmore, Auguste de Villiers de L’Isle-Adam et lui-même. Par la suite, la tradition littéraire a ajouté Nerval, Baudelaire et Lautréamont. « Pourquoi ces poètes sont-ils maudits ? Parce qu’ils trouvent leur vie tragique : ils ont vécu une enfance malheureuse, ils manquent

de bien, dénonce la guerre et la tyrannie comme des fléaux (La source, la Statue) ou la peine de mort comme un scandale (L a nature) ; il s'élève à des vues philosophiques, explique le mal comme une épreuve (Explication), décrit le châtiment des maudits (Saturne) et glorifie ceux dont le génie déchiffre l'énigme universelle (Magnitudo Parvi). Aujourd'hui (1843 - 1855) IV.Pauca Meae : C'est le livre du deuil où le poète tente d'établir une forme de communication avec sa fille malgré la mort

décidèrent donc de faire appel à un prêtre, notre petit Vlad (Dracula) se trouvait déjà dans le ventre de sa mère, et le prêtre, en faisant un exorcisme sur une personne n’étant pas possédée, n’a non pas fait un rite bénéfique, mais a bel et bien maudit l’enfant en pleine évolution, et a créé le premier vampire de l’histoire de l’humanité. Le château du comte est toujours présent aujourd’hui en deux exemplaires : Le premier, le vrai, en ruines sur les flancs des collines de Transylvanie, le

Bernard. * Spin de Robert Charles Wilson. * Stardust de Neil Gaiman. * Strate-à-gemmes de Terry Pratchett. * Terminus 1 de Stefan Wul. * Veux-tu de moi? de Nathalie Bernard. * Waylander de David Gemmell. * Zarya et le crâne maudit de JP Goyette. * A la croisée des mondes de Philip Pullman. * Alice de Lewis Carroll. * Alien de Alan Dean Foster. * Artemis Fowl de Eoin Colfer. * Arthur et les Minimoys de Luc Besson. * Au-delà de l'Oraison de Samantha Bailly

tous les jours un ragoût de mouches, c’est ce que je réussis le mieux. PEPE : Je ne chanterai les saetas que pour toi et j’arriverai à faire faire un tour périlleux à mon cierge. On aura beaucoup d’enfants. PETRONILA : Non. Je viens d’une lignée maudite et je ne veux pas avoir d’enfants araignée-pénitents. J’avorterai sept fois par jour. PEPE : Non, le Pape ne serait pas content. PETRONILA : Qui est le Pape ? PEPE : Un monsieur qui vit à Rome. 7 PETRONILA : Et qu’est-ce que ça vient faire

aussi de son œuvre. Tout le recueil laisse l’impression au lecteur d’un homme double qui se cache derrière les vers. Il y a un perpétuel conflit entre Ciel et Enfer, spiritualité et animalité, désir de montrer et joie de descendre etc. Le poète est maudit. Il connaît sa nature, âme sensible, il sent et souffre pour toutes ces antithèses. La dualité est présente même dans le titre du recueil : Les Fleurs du Mal. En fait, il ne s’agit pas vraiment d’une antithèse, il s’agit de la beauté qui le poète

chiffre 7 se rapporte au cosmos….après chaque cataclysme naturel renait un monde, chaque apocalypse est suivie d’une reincarnation.il attribue ici à la déesse mère le pouvoir de régénérer le monde et de rétablir l’harmonie perdue ! * Le mystère de l’ange salvateur- Adrienne apparait sous cette image. Puis Aurélia, qui apporte la parole de la résurrection ! * Le miracle de la voix, du chant divin qui réconcilie en lui l’amour profane et l’amour divin !!! La création du monde selon Nerval : cosmogonie

commandements de votre Seigneur ; vous transgressez ses ordres, vous calomniez sa grandeur ; et votre bouche impie va prononcer des blasphèmes contre sa majesté ! 5. Pécheurs au coeur endurci, il n’y aura point de paix pour vous ! 6. Vos jours seront maudits, et les années de votre vie seront effacées du livre des vivants ; vous serez en exécration à toutes les créatures, et vous n’obtiendrez point de miséricorde. 7. Dans ce jour, votre paix sera troublée par l’éternelle malédiction de tous les justes

dans ses essais critiques sur les peintres des trajectoires ascendantes qui réservent l'acmé aux objets les plus admirés, qui sont aussi les plus significatifs : ainsi le texte sur Delacroix s'achève avec la description interprétative de Jacob et l'Ange du Seigneur et « Le quartier de Meryon » culmine sur un long commentaire de «Collège Henri IV ou Lycée Napoléon». On pourrait montrer en outre que la description du tableau « réel » reprend certains traits des Courbet commentés précédemment et se

d’avril / cadavres ensevelis— / vanité   !   » (Takahama Kyoshi)   ; «   Herbes folles de l’été— / où frémit encore / le rêve des guerriers ! » (Matsuo Bashô) ; mais aussi dans un poésie française qui lui était contemporaine, celle d’un autre « poète maudit », Tristan Corbière qui, dans la Pastorale de Conlie –une pièce de ses Amours Jaunes dans laquelle il fait parler un mobilisé du Morbihan-, écrit : « …Ceux dont les pieds verdis sortent à fleur de terre / Se taisent… — Trop vert pour vous, ça ! […]