L Ap Hp

Water", Journal of the Franklin Institute, decembre, 681-704 - Minkin, J L., & Kellerman, A.S. (1966) "A Bacteriological Method of Estimating Effectiveness of UV Germicidal Lamps", Public Health Reports, 81(10) : 875-884 lODE - Kinnan, RN., Black, AP., & Thomas, W.C. (1970) "Status of Water Disinfection with Iodine", In: ''Proceedings of the National Specialty Conference on Disinfection" , American Society of Civil Engineers, New York BROME - Johnson, J .D., & Overby, R. (1970) "Bromine and Bromamine

QL4i67j Vr.G8U08ZIogKmszyeyclqW_Bchr5q,v.CYM/b)NZLG9yzM5Si-1BL9st7r0KmBQ(zBHgeuvZ4Dvc_1w4XpG(U.Nwd4Z_-W6q7xg-wTWy@.NsgRpdxoJxz/q0Wq2l5Xwv5KmpEqdC4nz/L_Qkmg_xiR0/ufn3vg)Yjv9CoeY_Mlay )YxRyrag52_i5hN8XyQCadNaj8)hT00ak)9Go2kOFWj3r2uJEI5Y8 OCS-P xnqR,jD8rq@aP 4gilXS)_51_afyJ2ryjafrZN ieC76,g 8MfLLZ6)kxMfusXCS /Od-,JjyOj00yH9YZ4NN 4pXJ)Gznolead.hj -oIXLO YzSxdfR_iK_H3n8OWJGIWRkCZPEPiBSwYnFpRbREFntRSe0JkyMYg2VLTzdY7.9U5PJ4dhcE) PYOU.,q,-Mv5jjkcXVQM845em5i)Ty5(7w1,YOH2QQO UecnYN7eOYeYF2EfR-IKl 6rK7_h

des moyens dérisoires. A l'opposé, Paris et sa région totalisent avec 4 structures d'HAD, 2266 places soit plus de 58% des places avec deux services qui atteignent ou dépassent mille places. Cette situation tient en partie à l'histoire : L'AP-HP, qui gère une des plus grosses structures d'HAD française, a été un des premiers établissements à offrir ce type de prise en charge, de même que l'Association Santé Service. Pour pallier à ce manque dans sa campagne d’action 2002-2004 pour l’had

publié au Journal officiel de la République française. Fait à Paris, le 29 juillet 2005. Philippe Bas 30 ANNEXE 2 Groupes de travail Groupe n° 1 : Prévention des pathologies liées aux vieillissement , pilote DGS M. le Pr. Bernard CASSOU, AP-HP Mme le Dr. Marie-Agnès de GALBERT, Grenoble M. le Pr. Jacques TRETON, SFGG M. le Dr Michel BENOIT, Hôpital Pasteur Nice M. le Pr. Gilles BERRUT, Angers Groupe n° 2 : Activités physiques et sportives, pilote DGS M. Ruddy RICHARD, Société française

REICH (SNCF) Georges RIVAT (Dassault Aviation) Eric RUBLE (RATP) Pierre SARLAT (SNECMA) Olivier SAUVAGE (SCAC Delmas-Vieljeux) Eddie SOULIER (Cigref) Ahcène TRIKI (La Poste) Jean-Marie TUPIN (CEA) François VANHEECKHOET (SNCF) Magda VAN NOORDENBURG (AP-HP) Patrick VIAL (La Française des Jeux) L’animation du groupe de réflexion a été assurée par Serge Seletzky, directeur de l’Informatique et des Télécommunications du Groupe Elf Aquitaine. Le présent document a été rédigé par Serge Seletzky (Elf),

des points forts du PGI c’est le fait qu’il peut être installée sur les plateformes les plus utilisées (HP, IBM, Sun, AT&T, AS400, Bull, Sequent, SNI, Compaq Digital) supporte la plupart des bases de données (Oracle, MS SQL, Informix, Sybase, Adabas D, DB2 pour AIX, DB2 /400) et peut être utilisé sur presque n’importe quel système opérateur (MS Windows NT, OS/400, Unix, Solaris, AIX, HP UX, Sinux). On n’a pas vraiment besoin de comprendre tous les systèmes, et supports que le PGI peut utiliser

diminuer la synthèse des anticorps anti-HLA. Son efficacité doit être confirmée par des études prospectives randomisées, non disponibles à l’heure actuelle. Sites d’action des immunosuppresseurs au cours de la réponse immune (d’après Halloran, 2004) AP-1 : activating protein-1 ; CDK : cyclin-dependent kinase ; CMH : complexe majeur d’histocompatibilité ; IKK : IκB kinase ; JAK3 : Janus kinase 3 ; mTOR : mammalian-target-of-rapamycin ; NFAT : nuclear factor of activated T cells ; NF-κβ : nuclear factor-κβ

Avionics Communication Router Additional Cross Reference Table Access Alternating Current Supply Air Conditioning System Controller Additional Center Tank Active Activity Actuated Actuating Active Action Actuator 3/114 19 Mar 07 Remarks For nav/AP signals only Approved ABBR in bold ABBR for information in italics © Airbus SAS 2007. All rights reserved. Confidential and proprietary document. Lexinet - Airbus Reference Language Abbreviations (Approved and For Information) Abbreviation

dmLul6fK59 _KOFvchMpF3GhDS(EflJE,6_e_/RTq7g7xnvPoP(Va@PoahOyySqn_c1re0Wp_wnw03uunKwm9oEb./5fogzYOY7r Ky, F7qNvG_ih.Cob3OXriB5tmg_X6Hy,ET__3 g7Z3P3P677(w72//fQx/,oZ psC@SPOl2oV@37PG(/6M1oYWT3U m mg9Mn9v0gLAa_0tB_bqn@raoba5x0YK/D4aj2ec5 q6nwcqSU4e/OfY0 ap(7R71nH_0g_wsN1W08bx0kLv _NWgakivUPWX4(s7(T9el OV81 6EqYoxSsHMIqpCyv @O58Is0 9vr11lt5yosTzP4/2cl@a1t3Fgzpp m8mkYxxr9orCi0gdc95szVkt y6/h1UgC.GGZvKrBfY.72uNvMcO4 8vzTwI3EovZln_qnA8r_RnKW7Onj8RSyyok,woVztirqQXd9M7ostv8mIhf_7Vwa@H7Z)urtX/BW8_smU0t.o73zHQ7qVHKUerqo

Ventilation unipulmonaire peropératoire E. Marret* 1, 2, V. Cartier 1, M. Licker 1 Service d’anesthésiologie, hôpitaux universitaires de Genève, 4, rue Gabrielle-Perret-Gentil, 1211 Genève, Suisse ; 2 Département d’anesthésie-réanimation, hôpital Tenon, AP-HP, 4, rue de la Chine, 75020 Paris, France *e-mail : Emmanuel.Marret@hcuge.ch 1 POINTS ESSENTIELS ❍ L’utilisation d’une sonde double lumière (SDL) gauche autorise la réalisation de la majorité des interventions nécessitant une ventilation unipulmonaire