L Application De La Loi Par Le Juge

l’impôt ». Ces deux notions que sont l’impôt et la loi sont liées étant donné que seule la loi peut décider de l’assiette de l’impôt. La loi se définit par deux critères que sont l’organe qui la vote et par sa définition de fond. La constitution de 1958 définit la loi comme étant la décision votée par l’organe qui la vote, à savoir, l’assemblée nationale et le sénat, et enfin, l’article 34 définit les matières qui sont obligatoirement décidées par la loi. Il s’agit par exemple de l’assiette de l’impôt

pouvoir royal devient très forte à l’encontre du pouvoir judiciaire. Cette lutte va se traduire par la notion de « privilège  (loi privée, particulière) de juridiction » des autorités publiques, et donc le privilège du droit applicable. Ces privilèges ont pour but de garantir à l’Etat (supérieur) l’exercice de ses prérogatives (puissance publique). L’Etat ne peut pas être jugé comme les particuliers. Cette opposition conduit le roi à évoquer ce qu’on appelle « les décisions de justice » en son conseil ;

Chapitre I ANALYSE DE LA NOTION D’IMPOSITION Ces dernières années, afin d’y voir clair, le juge administratif et le juge constitutionnel ont créé des catégories juridiques en distinguant parmi les prélèvements de nature fiscale, la taxe et l'impôt et aux frontières de la fiscalité, la taxe parafiscale et la rémunération de services rendus. Les cotisations sociales ne constituent pas de véritables impositions de toute nature. Nous allons examiner successivement leur nature, leur régime juridique

juridique 2 techniques: - le syllogisme juridique: raisonnement appliqué par l'ensemble des juristes 1- majeure( proposition principale, ex: tous les hommes sont immortels), 2- mineure(proposition spéciale), 3- solution (application de la proposition principale à la proposition spéciale → conclusion, ex: mortel ou immortel) l'interprétation: 1- raisonnement ou interprétation par analogie: on applique à une situation voisine une règle juridique 2- raisonnement

critères, mais aucun d'eux n'arrive à lui seul à expliquer qu'il existe un droit administratif distinct du droit privé. Un certain nombre de ces critères tiennent au lien indiscutable que le droit administratif a avec l'Administration ainsi qu'avec le juge administratif. * Section 1 : Le lien entre droit administratif et administration On pourrait tenter de définir le droit administratif par son objet : c'est le droit de l'administration. Mais cette définition est incomplète, et elle ne fait

des accidents de la circulation soit entreprise. L’intérêt du plaideur fut alors sacrifié. Avec la loi n° 85-677 du 5 juillet 1985 tendant à l'amélioration de la situation des victimes d'accidents de la circulation et à l'accélération des procédures d'indemnisation, la Cour de cassation opéra un revirement en sens inverse. Le juge peut également rendre des décisions contre l’autorité de la loi (« arrêt contra legem* »). Ainsi, la théorie des troubles anormaux de voisinage fut introduite au XIXème

incertitudes liees a un systeme de controle par un organe politique expliquent sa rarete . on peut citer l'ex en france des scenats imperiaux qui ont jouer ce role . au liban le persident de la republique detient par voie de renvoie et de promulgation de la loi la competence de facto du controle de la constitutionnalitee des lois ( article 57 de la constitution) a savoire que le president de la republique est le principal responsable du respect de la Constitution ( article 50 ) 2) controle par un organe

 Dissertation: Le juge administratif et la hiérarchie des normes La hiérarchie des normes est une vision synthétique du droit mise au point par le juriste autrichien Hans Kelsen (1881-1973) dans son opuscule Théorie pure du droit. Il s'agit d'une vision hiérarchique des normes juridiques. Cette systématisation a notamment été introduite en France par Charles Eisenmann et s'envisage comme un enchainement pyramidal du sommet vers la base. Chaque norme trouve son fondement dans la norme

lege ». Cet adage signifiant littéralement « Nul crime, nulle peine sans loi » constitue le socle du droit pénal français. Il est consacré dans le Code pénal à travers le principe de légalité des délits et des peines. En vertu de ce principe, le juge pénal ne peut condamner une personne pour une infraction non expressément définie par un texte de loi. C’est ainsi que le législateur vient réglementer l’application de la loi pénale dans le temps. Les lois pénales de fond, qui définissent les incriminations

les termes de « lois », de « règlements » et de « bloc de constitutionnalité ». La notion de « loi » peut s'entendre de différentes manières. Elle n'a en effet pas qu'une seule définition. Ici, dans le sujet qui nous importe de traiter nous ne retiendrons qu'une des multiples définitions posées par le Vocabulaire juridique de Gérard Cornu selon laquelle «  la loi est un texte voté par le Parlement ; loi au sens organique et formel du terme par opposition à décret, règlement, ordonnance, arrêté mais