L Araignée Et L Ortie Hugo

Victor Hugo “J’aime l’araignée”, Les contemplations, 1856Victor Hugo “J’aime l’araignée”, Les contemplations, 1856 Introduction: Victor Hugo est l’une des grandes figures du romantisme au XIXème siècle. Auteur de pièces de théâtre (Hernani), romancier à succès (Les Misérables, Notre-Dame de Paris), écrivain engagé (contre la peine de mort, Dernier jour d’un condamné), il s’impose aussi comme un des plus grands poètes de son temps. Son recueil Les Contemplations est publié en 1856 pendant son exil

Introduction : → « J'aime l'araignée », Victor Hugo, en 1856. → chef de file du romantisme (XIXe siècle) = mvt litt. en rupture avec les règles, le goût et le beau classiques : expression sentiments (poésies lyriques) + expression désenchantement par rapport à la société qui les déçoit(poèmes engagés, expression de leur révolte) → extrait des Contemplations (1856), recueil très connu constitué de deux partie : « Autrefois »/«Aujourd'hui » autour d'une date : le 4 septembre 184 → livre III, 1ere

Analyse linéaire texte 3 : « J'aime l'araignée et j'aime l'ortie », Victor Hugo Introduction : Le poème « J'aime l'araignée et j'aime l'ortie » extrait recueil Les contemplations publié en 1842. L'auteur, VH=chef de fil romantisme et fig pol imp XIXe s. Il défend id socialistes en promouvant =ité, et combat contre pauvreté et ignorance. Ds poème qui ns occupe, VH choisit 2 fig mal-aimées, l'araignée et l'ortie, pour les réhabiliter. Nous allons voir cmt ce poème invite le lecteur à

n'hésitent pas à les ranger parmi les infiniment petits. = assonance en "i" 2) Sens du poème (Réfléchir ?, imaginer ?) Texte A: * Hugo   nous incite à travers de l'impératif "faites grâce..""Plaignez la laideur.." à changer d'opinion sur l'araignée et l'ortie qui sont tout deux connotées péjorativement. Par conséquent cette œuvre est romantique parce que Hugo incite le lecteur à aimer ("..rien n'exauce et ...tout châtie/Leur morne souhait.../La vilaine bête et la mauvaise herbe Murmurent : Amour

de Victor Hugo, célèbre poète du XIXe siècle, chef de file du mouvement romantique. Ce texte, J'aime l'araignée, composé de sept quatrains et de rimes croisées, est extrait d'un recueil, Les Contemplations, publié durant l'exil de l'écrivain en 1856. Le thème de ce poème est plutôt basé sur la métaphore de la faune et la flore ( araignée et orties ). Il semble qu’à travers cette œuvre, l'auteur tente de lutter contre les préjugés des hommes envers les êtres rejetés que sont les araignées et les orties

l’hyperbole, il réussit brillamment à nous faire apprécier son travail. Question : Ces textes sont provocateurs car pour l’époque, les sujets traités n’étaient pas bien vus. Oser écrire sur un pou, un peigne, un crapaud ou bien même sur une araignée montrait bien l’esprit de provocation car les auteurs parlent tous de quelque chose de répugnant tout en en faisant l’éloge. Tous les sujets choisis n’avait presque aucune chance de plaire. C’est ainsi que dans « le peigne », germain nouveau magnifie

Victor Hugo Charles Baudelaire Arthur Rimbaud Tristan Corbière Francis Ponge 1 Un animal et un végétal  Araignée = animal mal aimé / Ortie= plante urticante Animal en décomposition  mort de l’animal Venus / Une vieille femme.  Beauté, sensualité,amour Un crapaud  le prince charmant ( double sens : un crapaud est également un défaut sur une pierre précieuse) Huître  objet enfermé ( parfois perle cachée) 2 Dégout-peur-rejet Laideur physique et émotionnelle Laideur

Après avoir lu « J’aime l’araignée et j’aime l’ortie », expliquer comment vous comprenez un des slogans du Romantisme « Le laid c’est le beau. » Tout d’abord, le slogan « Le laid c’est le beau » n’est pas une citation de Victor Hugo. C’est une parodie de la préface de « Cromwell » : « Le laid y [la création] existe à côté du beau, le difforme près du gracieux, le grotesque au revers du sublime, le mal avec le bien, l’ombre avec la lumière. » créé par Benjamin Roudaud, auteur de la célèbre caricature

sort (« elles sont toutes deux victimes ») et qu’elles partagent le rejet, la relégation, l’assimilation à des images dévalorisantes : « elles ont l’ombre des abîmes » ; « on les fuit » ; une couleuvre ; un gueux. La stratégie argumentative de Victor Hugo repose donc dans un premier temps sur le renversement des valeurs appuyé sur l’emploi d’un registre pathétique. On a ensuite affaire à une gradation : une fois ce principe acquis, on monte d’un cran, dans un registre religieux – « Oh ! plaignez le

sur la capacité du poète à transformer ce qui semble laid, comme la boue, en une chose admirable, comme l’or, et donc à révéler la beauté du monde. Ce thème a été souvent repris, par exemple par Baudelaire ou Tristan Corbière, mais aussi par Victor Hugo, célèbre poète romantique du XIXe siècle. Dans son texte « J’aime l’araignée et j’aime l’ortie » issu des Contemplations publiées en 1856, l’auteur évoque son opinion au sujet de deux créatures mal aimées du peuple. Le poème, constitué de 7 quatrains