L Argent Au 17eme Siecle

femmes et de la haute bourgeois.la soumission féminine Au 17ème siecle les femmes sont dans un état permanent de soumission aux hommes. Sur le plan juridique elles passent de l'autorité de leur père à celle du mari. le contrat de mariage donne tout pouvoir au mari qui dispose des biens communs avec un pouvoir absolu. C'est lui qui décide du montant du "douaire" (= montant assigné `a sa femme) alors que cet argent vient de sa "dote" (= argent de sa famille qu'elle apporte en cadeau à son époux) Positions

L’Avare est un texte de Molière, dramaturge du 17ème siècle. L’extrait étudié est tiré de l’Acte VII, scène 7. Cet extrait est un monologue clamé par Harpagon. Dans cette scène, le personnage d’Harpagon vient de se faire dérober son trésor qui était enterré dans son jardin et dans lequel il y avait toute sa richesse. Suite à cela, le protagoniste se lance dans un monologue afin d’exprimer sa colère et son désarroi. Ce monologue est un extrait théâtral dans lequel molière nous montre la folie du

analyse de L'école des femmes La question du mariage au XVIIème siècle Comme dans toutes ses autres pièces, l'enjeu de L'école des femmes est le mariage. On ne trouve pas le thème du mariage dans les tragédies. C'est un sujet comique. car c'est un rire grinçant qui révèle les tensions, les refoulements, les contradictions de la société. c'est un lieu de conflit: entre les générations, entre les sexes, entre les classes sociales. (A l'acte 1 Arnolphe annonce son mariage avec sa pupille. A l'acte

romain. L’économie romaine s’appuie sur l’esclavage et sur les conquêtes, or Rome a une particularité : peu de progrès technique. Lorsqu’elle veut de l’expansion économique : elle l’a en demandent plus d’esclave pour produire plus. A partir du 2è siècle, Rome cesse les conquêtes donc plus d’esclave. Il faut donc acheter les esclaves et pour les acheter il faut de l’argent, Rome va alors lever les impôts. Mais en contrepartie elle ne va plus pouvoir offrir la gloire des conquêtes. Entraîne une destruction

Dissertation #2 L'Avare Montrez que l'avarice d'Harpagon le mène à tous les excès, voire à la folie. Introduction Au 17ème siècle, c'est la monarchie absolue qui s'impose avec le roi Louis XIV. Le courant classique a été marqué par un célèbre écrivain qui est Molière, mort en 1673. La pièce, l'Avare, a été publiée en 1668 et ensuite jouée à Paris, au Palai-Royal. Il est aussi l'auteur des pièces Les femmes savantes et Tartuffe. À cette époque, le système monétaire était assez complexe.

jamais traitée comme une discipline autonome mais elle est subordonnée à la morale, à la religion ou à la politique. La pensée économique s'émancipe peu à peu de la religion et de la morale à partir de la renaissance et surtout à partir du 16eme et 17eme siècles mais elle s'inscrit encore dans des préoccupations politiques. L'économie se constitue alors comme une économie politique, le développement des États met au premier plan la question du pouvoir des princes, la recherche de l'enrichissement cesse

comique : Il enchaîne des oxymores amusantes comme « mon pauvre argent » (L.6) ainsi que des métaphores comme cette suivante « C’en est fait, je n’en puis plus ; je me meurs, je suis mort, je suis enterré. N’y a-t-il personne qui veut me ressusciter […] » (L. 9/10) entraînant un rapprochement avec le personnage biblique de Jésus. Harpagon cherche le coupable de cet affreux crime et il mettra tout en œuvre pour le retrouver car « sans [son argent], il [lui] est impossible de vivre » (L.11). Il se prend lui-même

être illogique. Néanmoins, les faits ne sont-ils pas sujet à l’interprétation ? Aristote appelait interprétation tout discours qui dit « quelque chose de quelque chose », l’opposition des observations de la lune par Galilée et Thomas Harriot au 17ème siècle montrent bien la différence possible entre l’interprétation des faits et les faits eux-mêmes. Les faits ne peuvent-ils donc pas être l’objet d’une discussion ? Cela peut être dangereux. Vouloir discuter les faits, s’imposer contre eux semble revenir

I. Evolution des idéaux de beauté, des valeurs qu'ils transmettent, et du statut de la femme. L'apparence à travers les siècles renvoyait des valeurs essentielles valorisées lors de ces différentes époques mais elle témoignait aussi du statut de la femme dans la société. Nous étudierons l'influence que la religion a pu avoir sur la perception de la perfection féminine. Nous expliquerons aussi en quoi des changements sociaux grâce aux Lumières notamment, et technologiques, comme l'urbanisation

de Troïle rappelle-t-il en creux l’honnête homme ?Intro : Auteur  : Jean De La Bruyère est un moraliste écrivain classique français du 17ème siècle. Ayant été le précepteur du petit-fils du Grand Condé, LB a pu observer et étudier la cour et ses courtisans. Son œuvre la plus connue est Les Caractères ou Les Mœurs de ce siècle (publié en 1688) d’où est tiré l’extrait que nous allons étudier. Enjeu de l’œuvre : L.B présente ses