L'Art des bruits

L'ART POÉTIQUE DE PAUL VERLAINE par M. Albert SCHNEIDER Si j ' a i choisi Paul Verlaine comme sujet de cette communication, c'est que Verlaine est un poète mosellan. Il est né à Metz en 1844, rue Haute-Pierre, juste en face du Tribunal. Certains disent que Verlaine, fils d'officier, n'a été Messin et Lorrain que par accident. C'est vrai en partie. Mais lui-même n'a jamais oublié qu'il était né à Metz et qu'il y avait passé sa prime jeunesse et connu son premier amour, ou plutôt sa première amourette

du synthétiseur fabriquée par le groupe, avec notamment la présence de neuf oscillateurs, commandés à l'aide des mains, des pieds, des genoux… Le groupe génère des sons électroniques, rajoute des collages sonores en échantillonnant toute sorte de bruits (radio, circulation…), le tout sur des rythmes tribaux, le résultat étant incroyablement avant-gardiste (écouter le titre Program). En Allemagne, l'influence du rock anglo-saxon était très présente à cette époque, mais quelques artistes allemands

AIB Ambrine 3°3 L'art lors de la Première Guerre Mondiale Introduction : La Guerre a occupé une grande place dans l'histoire de l'art. Elle fut glorifié à travers l'histoire de combattants célèbres, comme les héros de la Guerre de Troie ou bien par des œuvres autobiographiques narrant la vie dans les tranchées. Lors de la Guerre, les peintres ( et autres artistes) prirent part au conflit et créèrent des œuvres qui représentaient les

soit entièrement matériel, entièrement sensoriel dans ce film qui se déroule entre deux sons de cloche, relayés par : un tic-tac obstiné d'horloge, une phrase inlassablement répétée par un ivrogne, le bruit des verres qu'on remplit et qu'on engloutit, l'accordéon, le rythme du tango et surtout le bruit quasiment ininterrompu de la pluie sur la plaine hongroise. Et l'exacerbation sensorielle ne fait pas ici ce qu'elle fait volontiers chez Tarkovski ou Sokourov : nous faire basculer dans l'univers spirituel

Cette ambiance stressante est accompagnée de bruits : « un affreux hurlement », « geindre », ces cris nous font penser à l’enfer. A la fin du poème tout est calme. Mais c’est un calme malsain : « et de longs corbillards sans tambour, ni musique » , c’est un silence de mort qui vient après la furie des bruits. Ce symbole des corbillards longs transmet l’idée du temps qui passe, ce temps qui mène à la mort. Pour échapper au mal, le poète s’adresse à l’art, à l’amour mais l’échec de ces deux tentatives

 Dossier Histoire des Arts Thème 4 : L'Art et la Ville. Pour ce thème j'ai choisi City Life de Steve Reich comme oeuvre principale car c'est une oeuvre descriptive de la ville de New-York, c'est un genre de musique assez particulier et c'est une musique angoissante, stressante. C'est une oeuvre qui représente bien le XXè siècle avec la "Révolution industrielle" suite à l'arrivée de la robotisation. Steve Reich composa cette oeuvre après le 1er attentat du

Métaphore (f) : transfert de sens entre mots ou groupes de mots (rapport d’analogie plus ou moins explicite). Les étincelles de ton rire dorent le fond de ta vie. Apollinaire, « Zone ». (=>rire comparé à du feu, éléments communs = mouvement vif et bruit saccadé. 1 Métaphore filée : qui s’étend sur une phrase ou un ensemble plus long en un réseau sémantiquement cohérent. Métonymie (f) : remplacer un terme par un autre rattaché au premier par un lien clair =>contenant/contenu : boire un verre ; instrument/utilisateur

Guenifi Sonia 1erL1 Camille Saint-Saens {draw:frame} « Si l'art n'a pas de patrie, les artistes en ont une. » I] Biographie Enfant prodige, Camille Saint-Saëns est né en 1835 à Paris et mort en 1921 à Alger, il fut un compositeur de l'époque romantique. On le compare souvent à Mozart pas sa précocité : en effet, à 5 ans, il maîtrise déjà parfaitement la technique du piano et compose sa première pièce. C'est à 11ans qu' il se produit pour la première fois en concert avec orchestre

têtes ? » (Racine) L’allitération consiste en la répétition de la même consonne. Les allitérations suggèrent généralement un bruit (par harmonie imitative, en l’occurrence le sifflement du serpent) ainsi qu’un sentiment (ici, le mépris, la moquerie).  L’assonance « Il pleure dans mon cœur Comme il pleut sur la ville. Quelle est cette langueur Qui pénètre mon cœur ? O bruit doux de la pluie Par terre et sur les toits ! Pour un cœur qui s’ennuie O le chant de la pluie ! » (Verlaine) « Je revis ces

utilisé, la composition des différentes familles en présence. A.6 Évaluez l’importance des éventuelles subdivisions de pupitres. A.7 Relevez les instruments inhabituels (par rapport à la tradition symphonique) ainsi que les objets utilisés pour leur « bruit ». A.8 Repérez et observez la fréquence des indications de modes de jeux et d’expression. A.9 Déterminez le « mode de fonctionnement » caractéristique des intensités sonores (indications de nuance) : continuité, ruptures, progression... B. LECTURE