L'Assomption

VOUET, Retable de Saint-Nicolas-des-Champs (1629)  assomption de la Vierge est visible, elle s’élève dans le ciel et en bas les apôtres découvrent stupéfiant le tombeau vide. Sujet classique et VOUET ici s’est souvenu d’un célèbre précédant « L’assomption de la Vierge » du Titien, retable de l’église des Frari. Ce registre implique de séparer compo en 2 parties (céleste, terrestre) ici le retable architecturé impose à Vouet de séparer sa compo en deux parties distinctes, tombe bien. Réalisme des

confronter crûment l'homme à sa possibilité mortelle, c'est-à-dire de réveiller brutalement le traumatisme d'existence. Si les traumatisés sont pris dans le conflit de l'oubli et de la mémoire, la sortie du vécu traumatique est ailleurs, elle est dans l'assomption de son existence comme vivante et mortelle( J'ai développé une telle conception du traumatisme dans Considérations sur le traumatisme, in "Victimes et violences", La Revue Nouvelle, n°3, mars 1995.). Il est certain que le refus de parler de la

mettait à genoux pour mieux labourer la terre. Mme Aubain, quand elle put y venir, en éprouva un soulagement, une espèce de consolation. Puis des années s’écoulèrent, toutes pareilles, et sans autres épisodes que le retour des grandes Fêtes, Pâques, l’Assomption, la Toussaint. Des événements intérieurs faisaient une date, où l’on se reportait plus tard. Ainsi, en 1825 deux vitriers badigeonnèrent le vestibule ; en 1827, une portion du toit, tombant dans la cour, faillit tuer un homme. L’été de 1828, ce

décrets (les formules magiques permettent de faire voler les balais comme de créer miraculeusement des classes attentives: "écoutez-moi, c'est important… "; concurrence entre les groupes et les personnes érigée en principe de fonctionnement jusqu'à l'assomption finale de la distribution des prix. Bref, une vision archaïque de la transmission des connaissances où tout échec est mis sur le compte de forces maléfiques qu'il faut éradiquer. (P. Meirieu, "A l'école des sorciers", Le Monde Mardi 3 septembre

mettait à genoux pour mieux labourer la terre. Mme Aubain, quand elle put y venir, en eprouva un soulagement, une espèce de consolation. Puis des années s'écoulèrent, toutes pareilles et sans autres épisodes que le retour des grandes fêtes : Paques, l'Assomption, la54 Toussaint. Des événements intérieurs faisaient une date, où l'on se reportait plus tard. Ainsi, en 1825, deux vitriers badigeonnèrent le vestibule ; en 1827, une portion du toit, tombant dans la cour, faillit tuer un homme. L'été de 1828

l'ordre des Chevaliers teutoniques, Clemens August de Wittelsbach, pour le maître-autel de l'église de Sachsenhausen, près de Francfort (Allemagne), ce tableau fut exposé avec grand succès à Venise après son achèvement. Le tableau relate l'épisode de l'Assomption de la Vierge. Après sa Dormition, Marie est appelée "corps et âme" au royaume des cieux, comme le stipule une tradition remontant au IVe s. Les apôtres assistent stupéfaits à l'ascension de la Vierge, hors de son tombeau, entraînée par une nuée

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architectes pour l’aménagement du Kremlin ; outre les fortifications, il faut citer le fameux « palais à façettes », une copie du palais des Diamants de Ferrare due à Marco Ruffio et Pietro Antonio Solari. Dans les églises Saint-Michel et de l’Assomption, le style florentin se combine avec les traditions locales (dômes en forme de bulbes, décor intérieur d’icônes « à la manière grecque »). Ces tentatives d’italianisation voulues par les souverains sont restées limitées dans le temps et dans l’espace

d’impuissance et d’incoordination motrice, anticipe imaginairement l’appréhension et la maitrise de son unité corporelle. Elle s’illustre et s’actualise par l’expérience concrète ou l’enfant perçoit sa propre image dans un miroir. Lacan insiste sur « l’assomption triomphante de l’image avec la mimique jubilatoire qui l’accompagne ». Le stade du miroir constituerait la matrice et l’ébauche de ce qui sera le moi. Le stade sadique anal C’est le deuxième stade de l’évolution libidinale, selon S. Freud

trois moments : 1) Spectateur de cinéma et personnage. Communauté des formes subjectives : perceptions internes et externes et expériences diverses de la pensée et de l’action (Cavell, Deleuze, Ishaghpour, Merleau-Ponty, Münsterberg, Rancière)– 2) L’assomption cinématographique de l’homme ordinaire, le « gros-plan-visage » et la problématique de l’aura (Aumont, Deleuze, Ishaghpour Didi-Huberman, Schefer)– 3) Taxinomie deleuzienne des images cinématographiques dans la prise en compte d’agencements sensibles