L Asymétrie De L Information

sens strict (le taux d’intermédiation au sens large est passé de 75 % en 1978 à environ 57 % en 2008). B. Les avantages de l’intermédiation financière - la réduction des coûts de transaction, - la réduction des risques, - la gestion des asymétries d’information. |La réduction des coûts de |Les coûts de transaction sont liés au temps passé et à l’argent dépensé pour réaliser les transactions | |transaction |financières. Ils recouvrent les frais de recherche de l’information

comportement des acteurs sur les marchés – La relation avec la banque 1- Le cadre général • La notion de responsabilité des opérateurs – L’exigence de vérité – Des préoccupations de long terme – L’intégrité des rémunérations – Transparence et asymétrie d’informations – Respect des règles du marché 1- Le cadre général • L’éxigence de véracité – Le client doit savoir avec le moins d’ambiguité possible avec quel type d’opérateur financier il négocie. • Banque traditionnelle ou filiale de

Asymétrie d'information : On parle d'asymétrie d'information lors d'un échange quand certains des participants disposent d'informations pertinentes que d'autres n'ont pas. Par exemple, les gestionnaires d'une société A savent s'ils sont honnêtes ou pas, s'ils disposent d'une meilleure information sur la solidité de leur affaire par rapport à l'information dont disposent les actionnaires de la société B. La présence d'asymétries d'information conduit à des problèmes d'anti-sélection et de risque

souhaite. Elle assure aussi à l’épargnant qu’il peut récupérer sans délai (à vue) le montant de cette épargne et cela sans qu’il soit exposé à un moment où à un autre au risque de contrepartie. La banque transforme les informations : en effet, elle est capable de traiter des informations privatives mais en même temps précises et actualisées sur chacun de ses clients. La banque est aussi un intermédiaire financier : en plus, de son activité standard de collecte d’épargne et d’octroi de crédit, elle propose

Traditionnellement, cette épargne est amenée par les ménages. Elle gère également les différents systèmes de paiements. Il s’agit d’un ensemble de systèmes électroniques aux caractéristiques complémentaires, permettant de véhiculer les capitaux et d’autres informations selon le système entre les différentes banques tant au niveau national que régional voir mondial. La surveillance des système de paiement est dévolue à la banque centrale de chaque pays mais sa mise en œuvre peut être publique ou privée (en France

respecte ou non ses engagements. En conclusion, les problèmes qu’étudie la théorie de l’agence n’apparaissent que dans la mesure où: §                    Les intérêts des deux parties peuvent diverger. §                    Il y’a information imparfaite et asymétrie d’information entre les parties ; il y a risque d’opportunisme. Notons que dés 1976, Jensen et Meckling généralisent la notion de la relation d’agence. Elle recouvre en faite toute relation de coopération et non seulement relation agent-principal

FIABILITE OU PERTINENCE : UN DILEMNE ? Fiabilité ou pertinence de l’information comptable relative à la R&D ? • L’incertitude inhérente à la R&D • Asymétries d’informations entre ingénieurs et investisseurs • Le normalisateur peut-il éditer des conventions comptables propres à réduire les asymétries d’information entre utilisateurs des documents juridico-financier ? • Choix du mode de comptabilisation : • En charges ou à l’actif (comme immobilisation incorporelle) • Evolutions 2005 (impact de

[pic] ROUIJEL TARIK WASSIM HANI LEBARRANI Année universitaire : 2010/2011 Plan : Introduction I. Problématique de la T.A A. Asymétrie de l’information B. Conflits d’intérêts II. Courants de la T.A A. Théorie normative de l’agence B. Théorie positive de l’agence III. Apports et contributions de la T.A

vérité sur ce que l’on sait et respecter les lois et les contrats (implicites et explicites), sans dissimulation ni manipulation de l’information. Si l’agent économique respecte les contrats et les lois mais ne dit pas la vérité, ou dissimule des informations et en tire parti, il s’agit de comportements opportunistes. Altruisme : c’est le fait d’agir de façon intentionnelle et coûteuse pour améliorer le sort d’autrui à travers ses propres comportements d’achat. Le comportement contraire c’est l’égoïsme

valeur des ressources mobilisés qu’on a utilisés pour réaliser la production. → Le prix = coeur du fonctionnement marchand : c’est un signal de qualité, partagé par tous et fiable. Le prix est une synthèse explicite et parfaite de toutes les informations dont on a besoin. - Néoclassiques: le prix ést déterminé par la valeur nécessaire pour réaliser un bien (notamment la valeur travail). - Analyse en termes de marché: les prix incorporent une valeur subjective: ce qui va déterminer en partie