L'Attrape-cœurs

sœurs. CORDÉLIA. – Bijoux de mon père, c’est avec des larmes dans les yeux que Cordélia vous quitte. Je sais ce que vous êtes ; et j’ai, comme sœur, une vive répugnance à appeler vos défauts par leurs noms. Aimez bien notre père : je le confie aux cœurs si bien vantés par vous. Mais, hélas ! si j’étais encore dans ses grâces, je lui offrirais un trône en meilleur lieu. Sur ce, adieu à toutes les deux ! GONERIL. – Ne nous prescris pas nos devoirs. RÉGANE. – Étudiez-vous à contenter votre mari, qui

tant, Que c'est grande pitié. Anselme Que tu me rends content ! Mascarille Peu s'en faut que d'amour la pauvrette ne meure : Scène V 74 Oeuvres complètes . 1 "Anselme, mon mignon, crie−t−elle à toute heure, Quand est−ce que l'hymen unira nos deux coeurs, Et que tu daigneras éteindre mes ardeurs ? " Anselme Mais pourquoi jusqu'ici me les avoir celées ? Les filles, par ma foi, sont bien dissimulées ! Mascarille, en effet, qu'en dis−tu ? quoique vieux, J'ai de la mine encore assez pour plaire aux yeux

Elle ressert sa main. - Venez, il faut aller acheter nos billets. Ils se lève, laisse un peu d’argent sur la table, prend sa veste sur le dossier de la chaise, la regarde avec toujours ce demi sourire énigmatique. Il tend la main, elle l’attrape. Il dit : - Allons à U.Town, maintenant. *** La ville Ils traversent la place, entrent dans la gare, Jeanne se dirige vers le guichet. Elle regarde à travers le grillage, le chef de gare est à

tant, Que c'est grande pitié. Anselme Que tu me rends content ! Mascarille Peu s'en faut que d'amour la pauvrette ne meure : Scène V 74 Oeuvres complètes . 1 "Anselme, mon mignon, crie−t−elle à toute heure, Quand est−ce que l'hymen unira nos deux coeurs, Et que tu daigneras éteindre mes ardeurs ? " Anselme Mais pourquoi jusqu'ici me les avoir celées ? Les filles, par ma foi, sont bien dissimulées ! Mascarille, en effet, qu'en dis−tu ? quoique vieux, J'ai de la mine encore assez pour plaire aux yeux

l'oreille. (les discutions sont en arabes) -Omar:Salem ukhya vous dormez encore? -adil: bah ouais il est 5h toi aussi! -omar:Azi va réveil la maison? -adil: quelle, va réveil la maison? -omar: ON VIENT 14h POUR LE HENNA!!!!! Adil l'attrape et le colle au mur -adil:-déja, t'a pas d'autres meufs avec qui tu veux te marié? T'venu niké la vie de ma soeur et ma famille? -omar:azi lache moi, je la veut ta soeur et je l'ai mtn, je vais la réveil !! -Adil:- ferme ta gueule, c'est

parfait(e) . « Une génération ratée : Des coeurs brisés. Un monde de crevards. Le monde qui change. Les femmes se prostituent. La télé nous encule. La drogue circule. Les jeunes s'la pètent. La vie est pourrie. Les gens sont cons. Les hommes sont rois. L'enfance est mal traitée. La mort nous viole. Les familles sont obscures. Les ados suicidaires. Les amitiés gachées . Les parents déçus . Trop d'amours infidèles mais quelques amours sincères . SOS des coeurs en détresse . L'espèce humaine nous crève

qu’un embarras sur terre et avaient été reléguées en ce coin perdu où nul œil humain ne devait plus les apercevoir. Mais que de manuscrits couverts, eux, non de la morne prose administrative, mais des pensées de cerveaux inventifs, des effusions de cœurs vibrants sont également tombés dans l’oubli ! Et sans avoir servi un but en leur temps comme l’avait fait cet amoncellement de paperasses. Sans même avoir, chose triste entre toutes, valu à leurs auteurs le bon gagnepain qu’avaient assuré aux employés

Les juges du fond ont les justiciables devant eux dans le prétoire alors que la CC c'est beaucoup plus abstrait, devant un écran avec un mémoire transmis par intranet et on réfléchit seulement par la règle de droit : les juges du fond sont aux cœurs des réalités et problèmes sociaux. Quand il y a un arrêt de résistance: une des parties va de nouveau faire un pourvoi de cassation car arrêt de la CA contraire à la CC donc nouveau pourvoi possible (déjà 8 à 10 ans de procédure). Si l'on pose

Tant de selles et tant de bâts, Tant de harnois pour les combats, Tant de chaises, tant de carrosses ; Comme aussi ne voyait-on pas Tant de festins et tant de noces. Or, un Cheval eut alors différent Avec un Cerf plein de vitesse, Et, ne pouvant l’attraper en courant, Il eut recours à l’homme, implora son adresse. L’homme lui mit un frein, lui sauta sur le dos, Ne lui donna point de repos Que le Cerf ne fût pris, et n’y laissât la vie. Et cela fait, le Cheval remercie L’Homme son bienfaiteur, disant

Tant de selles et tant de bâts, Tant de harnois pour les combats, Tant de chaises, tant de carrosses ; Comme aussi ne voyait-on pas Tant de festins et tant de noces. Or, un Cheval eut alors différent Avec un Cerf plein de vitesse, Et, ne pouvant l’attraper en courant, Il eut recours à l’homme, implora son adresse. L’homme lui mit un frein, lui sauta sur le dos, Ne lui donna point de repos Que le Cerf ne fût pris, et n’y laissât la vie. Et cela fait, le Cheval remercie L’Homme son bienfaiteur, disant