L Avenir Dure Longtemps De Gaulle

celle-ci passe désormais par l’école. A côté de cela, la grande réforme du système scolaire n’a pas eu lieu et lorsque le Général De Gaulle est élu à la Présidence de la République en 1958, se sera pour lui un des chantiers prioritaires. 1959-1972 : le poids des grandes décisions La réforme BERTHOIN C’est le 1er ministre de l’éducation national pendant De Gaulle. C’est une réforme de 1959 qui comporte plusieurs mesures importantes : L’obligation scolaire est protée de 14 à 16 ans La création

sociale n’est pas encore un enjeu décisif en Europe, ni dans le débat philosophique du XVIIIe siècle, ni lors des affrontements politiques de la Révolution de 1789. Mais la question de la pauvreté et de l’inégalité sociale est désormais posée et pour longtemps. L’exécution des « Enragés », un groupe de révolutionnaires radicaux qui revendiquent l'égalité civique et politique mais aussi sociale, préconisant la taxation des denrées, la réquisition des grains et des taxes sur les riches puis celles de Robespierre

qui ne croiseront jamais votre regard. Votre avenir ? C’est un mariage sans passion, deux ou trois enfants, vous crever à la tâche pour rembourser l’emprunt immobilier qui servira à acheter un pavillon que vous n’aimerez pas. Et vous continuerez à jouer au bowling, à boire des bières, à refaire le monde avec Jimmy sans y participer vraiment. Vous n’avez que vingt-trois ans et vous êtes déjà englué dans une vie qui ne vous correspond pas. Depuis longtemps, vous vous sentez différent du monde qui vous

voulu, réclamé, exigé. La nécessité de ce changement existe à l'état brut, impétueux et contraignant, dans la conscience et dans la vie des hommes et des femmes colonisés. Mais l'éventualité de ce changement est également vécue sous la forme d'un avenir terrifiant dans la conscience d'une autre « espèce » d'hommes et de femmes : les colons. Frantz Fanon, LES DAMNÉS DE LA TERRE. [1961] (2002) 3 La décolonisation, qui se propose de changer l'ordre du monde, est, on le voit, un programme

présent, c’est l’attitude qualitative, mais aussi la dimension temporelle par excellence. Etant essentiellement temporelle, la Vie est indissociable des trois « ek-stases » de la temporalité (Husserl) -« ex-stases » (Sartre)- que sont passé, présent et avenir : la Vie est continuité, elle nous vient d’un passé représenté par notre histoire et notre préhistoire individuelles et collectives, par notre corps (« cette pensée plus vieille que moi » Merleau-Ponty) et notre mémoire ; elle nous ouvre à la richesse

tapotent sur leur ordi, avec des collègues il y en a qui débranchent et d'autres non). ==> La culture de l'instantané, du direct a des aspects négatifs et positifs. Les médias modifient notre rapport à l'espace (grand changement). Pendant très longtemps la communication était fixe : les gens étaient à un endroit et pour se connecter ils avaient besoin d'une prise → forme de fixité. Ajd nous sommes dans le système de la mobilité médiatique ( obtention de vidéo, jeux à tout endroit car les outils

Montesquieu (De l’esprit des lois, 1748), l’État dispose de trois pouvoirs juridiques, législatif, exécutif et judiciaire. Il lui revient d’abord de légiférer, c’est-à-dire de poser des règles générales qui s’imposeront à tous (et à lui-même) aussi longtemps qu’il n’y aura pas mis fin. Il doit ensuite exécuter ces lois : plus largement, il a une fonction d’administration qui consiste à procurer à lui-même et aux citoyens les prestations d’organisation, de paix ou de sécurité intérieures et extérieures

puissance humaine ? « Le XXIe siècle sera spirituel ou ne sera pas », telle est la prophétie annonciatrice que l’on aime prêter à Malraux. Que la paternité de cette célèbre citation revienne ou non à l’ancien ministre de la Culture de De Gaulle, ou que le terme exact soit « spirituel » ou « religieux », la question à laquelle nous sommes confrontés aujourd’hui est peut-être celle, à la fois plus simple et plus radicale, de savoir si le XXIe siècle sera ou ne sera pas. Loin de tout effet

modernité n'a donc pas rencontré chez nous les échos habituels. Le fondateur du Monde, Hubert Beuve-Méry, expliquait il y a fort longtemps que « le journalisme, c'est le contact et la distance ». Il ne reste plus que le contact. Il a fallu attendre la fin du second septennat de François Mitterrand pour découvrir que l'ancien président de la République avait, sciemment et longtemps après la guerre, continué à fréquenter un haut dignitaire de Vichy impliqué dans les basses œuvres de ce régime, qu'il avait

console en me disant qu’après tout, ceux qui bafouillent, non plus, ne sont pas purs. Mais oui, reprenons du genièvre. Ferez-vous un long séjour à Amsterdam ? Belle ville, n’est-ce pas ? Fascinante ? Voilà un adjectif que je n’ai pas entendu depuis longtemps. Depuis que j’ai quitté Paris, justement, il y a des années de cela. Mais le cœur a sa mémoire et je n’ai rien oublié de notre belle capitale, ni de ses quais. Paris est un vrai trompe-l’œil, un superbe décor habité par quatre millions de silhouettes