L'Eau des collines

continent, d’une île ou d’une ville. L’indistinct, le viscéral se retrouvent dans une émotion déclenchée soudain par un nom fiché dans la mémoire : aller au Tibet, voir le fleuve Amour, gravir le mont Fuji, escalader l’Etna, cheminer sur les collines de N’Gong, nager dans l’océan Pacifique, aborder Guernesey, visiter Addis-Abeba, marcher dans les rues de Cyrène, naviguer dans la baie d’Along – chacun dispose d’une mythologie ancienne fabriquée avec des lectures d’enfance, des souvenirs

autres. On peut remarquer un voile sur ses cheveux assez transparent, ses vêtements sont assez sombres, elle porte comme une écharpe, ses manches sont jaunes. On aperçoit au second plan, un paysage, avec de l’eau, des routes, des arbres et à l’arrière plan, on pourrait dire qu’on aperçoit des collines. La femme qu’on aperçoit se prénomme Mona Lisa. Cette femme paraît avoir les yeux marron, avec un léger sourire qui paraît très bizarre. On dirait qu’elle est heureuse, énerver, triste tout en même temps

abassourdit du spectacle qui se déroule sous ses yeux, et ne peux exprimer aucun mot pour définir ce qui s’offre à lui. En contrebas de la colline où il se trouve, s’étend devant lui une autre forêt, tout aussi fascinante, une forêt de bambous. Un véritable paradis alimentaire pour des Pandasm. D’ailleurs, le coeur de cette forêt, visible du haut de la colline, est occupé par une multitude de familles d'espèces animales, tous remplient de vitalité grâce à cette abondance de nourriture. Tony Montana

La petite ville de Verrières peut passer pour l'une des plus jolies de la Franche-Comté. Ses maisons blanches avec leurs toits pointus de tuiles rouges, s'étendent sur la pente d'une colline, dont des touffes de vigoureux châtaigniers marquent les moindres sinuosités. Le Doubs coule à quelques centaines de pieds au-dessous de ses fortifications bâties jadis par les Espagnols, et maintenant ruinées. Verrières est abritée du côté du nord par une haute montagne, c'est une des branches du Jura. Les

 L’eau domine le monde où nous vivons : c'est la substance la plus abondante à la surface de notre planète. La plus grande partie de cette eau forme les océans, dont le rôle est considérable, puisqu'ils influent sur le climat planétaire et sur le temps qui règne dans toutes les régions du monde y compris au coeur des continents. C'est dans ce milieu océanique fécond que la vie, jadis, évolua, et les océans abritent aujourd'hui encore la plus grande variété d'organismes vivants, depuis les algues

d'un ensemble – une « chaîne de montagnes » – ou formant un relief isolé. L'appellation de « montagne » est un terme général utilisé comme toponyme (jusque des volumes parfois proches de ceux d'une colline), comme relief énergique (défini par l'altitude et l'énergie – dénivelé) et les termes de colline ou de plateau sont réservés à des formes de relief d'énergie plus faible et de mise en place différente (voir forme structurée par la tectonique). Il existe en effet une grande diversité de structures

d'anglais de la résidence… Coût : 55 euros par personne et par semaine pour 1 Chambre Appartement, 46 euros par personne et par semaine pour une colocation. (Ces tarifs sont pour les longues locations soit plus de 13 semaines). Le prix comprend l’eau, l’électricité et le ménage 1 fois par semaine. Appréciation : Résidence de qualité moyenne idéalement située. Les chambres sont correctes et le personnel accueillant. 2 • INFORMATIONS PRATIQUES SUR LA REGION OU LA VILLE DU PAYS D’ACCUEIL

des musées est aussi importante pour le spectateur que son contenu ? » Le mot musée vient du grec « mouseion », c'est-à-dire le temple des muses, consacré aux lettres, aux arts et aux sciences. Ce sanctuaire était à l’origine situé sur une colline d’Athènes. Il est ensuite devenu un endroit public où sont rassemblées des collections d’objets d’art, de sciences, ou présentant un intérêt historique voire technique. Or la conception des musées, qui était traditionnellement fondée sur la notion

annonça qu'il donnerait un banquet à son palais, au sommet de la colline. Tout le monde était invité à prendre part au festin et à venir écouter le chant de l'aède. Des esclaves se mirent à préparer le repas. C'étaient les habitants de villes conquises, ou les femmes et les enfants de soldats ennemis tués au combat. Ils firent rôtir la viande sur des broches, emplirent des corbeilles de pain, mélangèrent du vin avec de l'eau et des épices. Quand tout fut prêt, l'aède fut installé à la place

gouvernail, lorsque tout à coup entre deux collines, s’éleva un tourbillon de vent[1] qui, sans que rien ait pu le faire pressentir, s’abattit sur la voile, et fit brusquement chavirer le canot. Des paysans, sur la rive opposée, virent Charles reparaître sur l’eau et crier, puis plonger et disparaître puis monter et crier encore, et replonger et disparaître six fois. Ils crurent qu’il s’amusait alors qu’il plongeait et tâchait d’arracher sa femme, qui, sous l’eau, se cramponnait désespérément au canot