L'École des femmes

(III,2, 679-685) * Chrysale = c'est la voix de la raison. Il représente le point de vue de Molière. L'école des femmes est une satire de l'utilisation hypocrite de la religion. Moliere s'attaque à ceux qui invoque la dévotion à des buts personnels. Moliere a eu des problèmes avec les autorités religieuses à cause de cette pièce, mais ce sera pire avec Tartuffe et Don juan L’Ecole des femmes est construite sur un scénario de farce. On y retrouve en effet un personnel dramatique réduit, centré

Conclusion générale sur le comique théâtral. Les différentes sortes de comiques Comment créer ces comiques dans un texte ? Le comique de situation. Par exemple : Dans l'Ecole des Femmes de Molière, il est amusant de voir Horace confier son amour pour Agnès à Arnolphe qui a justement décidé de l'épouser en secret : ce dernier doit supporter d'entendre ces confidences qui attisent sa jalousie pour essayer de déjouer les plans d'Horace. Ce comique réside dans la situation incongrue ou paradoxale

Nous allons commenter la scène 4 de l'acte I de l'Ecole des Femmes, une comédie théatrale de Molière.. Nous montrerons que cette scène est l'élément perturbateur de cette pièce. Sans cette scène, il n'y aurai pas de pièce. En effet, c'est à ce moment précis que les problèmes commenceront, surtout pour Arnolphe. Arnolphe reconnait Horace, fils d'Oronte. C'est un ami, et aussi une très vieille connaissance. Horace lui raconte les nouvelles, en particuler la venue prochaine d'Oronte et un

tient sa place dans le panthéon des plus grands écrivains français de l’époque « classique », non seulement à cause de la beauté de ses vers, mais pour son humour traduit par ses pièces. Parmi ses œuvres, nous retrouvons la comédie tragédie « l’Ecole des femmes », dont nous avons l’extrait sous nos yeux. Dans cette pièce, Molière met en place trois personnages principaux pour dénoncer un caractère de société qui est la jalousie. Arnolphe élève Agnès dans l’ignorance pour sois disons la préservée

L’école des femmes (acte 2 ; scène 5) Molière Introduction Situation Thème : homme âgé qui prétend former une jeune fille à sa main de manière a ce qu’elle lui soit soumise et fidèle ; on assiste à l’échec de ce piège : c’est le piégeur piégé. Molière a su donner une vitalité à ce thème ; cela fit scandale à son époque. Cette pièce est toujours appréciée à notre époque en raison de sa charge féministe plutôt moderne : l’intrigue prouvera que même en enfermant une jeune fille loin du

Questionnaire de lecture L’Ecole des femmes, Molière I. Cochez la bonne réponse (15 points) a b c d e 1. Arnolphe est obsédé par la crainte :  a) de perdre sa fortune. b) d’être cocu. c) de tomber malade. d) de perdre ses amis. e) d’être ridicule. 2. L’éducation donnée à Agnès a pour but d’en faire une épouse : a) spirituelle. b) élégante. c) ignorante. d) sociable. e) qui sache cuisiner. 3. Agnès a été élevée jusqu’à dix-sept ans : a) par la

comme un héros romantique . Il en fait un héros grotesque et en même temps il arrive à faire un héros sublime. Don Ruy gomez est donc un héros romantique, jaloux et vieux, a-t-il les mêmes caractéristiques d’Arnolphe, le barbon jaloux dans l’Ecole des femmes?

de dire oui/non/mais) OU plan à thèmes QUESTION OUVERTE (chaque partie = un aspect de la question) ------Il existe deux autres types de plan mais qui sont moins importants, et bien moins courants. Ex de sujet pour plan dialectique: Dans l'Ecole des Femmes de Molière, Arnolphe est-il un personnage comique? Plan: I) Certes, Arnolphe possède toutes les qualités d'un personnage comique THESE II) Cependant, Arnolphe peut aussi se montrer tragique, pathétique ANTITHESE III) Cette ambiguité

personnages principaux : Arnolphe et la jeune Agnès. « Non » VS « Si ».• Scène de suspense (comique) : « Diantre ! que de mystère! Qu'est-ce qu'il vous a pris? ».=> Toute la scène va tourner autour de ce qu’Horace a pris à Agnès. Molière, L'École des femmes, Acte II, scène 5 AGNES Il m'a pris... Vous serez en colère. ARNOLPHE Non. AGNES Si. ARNOLPHE Non, non, non, non. Diantre! que de mystère! Qu'est-ce qu'il vous a pris? AGNES Il... ARNOLPHE, à part. Je souffre en damné. AGNES Il m'a pris le ruban

de la longue lignée de héros monomaniaques qu’il inaugure. En particulier, il est complètement ridicule, comme le voulait la tradition comique pour le personnage chargé de faire rire*; c’est ce que dira le pédant Lysidas dans La Critique de l’École des femmes: […] puisque c'est le personnage ridicule de la pièce, fallait-il lui faire faire l'action d'un honnête homme? (Sc. 6) Les successeurs de Sganarelle en effet seront ridicules en de certaines choses, et honnêtes hommes en d'autres, ce qui contribuera