L'Écriture ou la Vie

« L’écriture de soi » par Sergueï, Le Monde du 24 janvier 1997 : Sergueï est un dessinateur argentin né à Buenos Aires fils d’une famille de musiciens et de peintres d’origines russes. A l’âge de 20 ans, il fuit la dictature militaire dans son pays et s’installe à Paris. En France il collabore avec plusieurs journaux comme Le Monde ou l’Express en tant que dessinateur. Présentation du document : Ce document dessiné au crayon est une caricature

Murakami y décrit sa vie en tant que coureur. Il raconte comment lui est venu sa passion pour la course à pied qui est étroitement lié à sa vie de romancier. Il débute son compte rendu en 2005 et ne cesse de faire des sauts dans le temps afin de relater comment il a débuté, ce qui l'a motivé pour enfin arriver en 2005. Le registre est courant, Murakami est conscient de s'adresser au lecteur et s'exprime de manière claire et concise. Murakami s'inspire de faits réels, de sa vie, son expérience pour

d’ « essais déguisés », de « mémoires gâtés par l’effort de fabulation », les critiques en font tantôt une sorte de traité politique paré d’un masque fictif, tantôt le travail d’une volonté d’introspection de l’auteur lui-même qui serait non assumée. L’écriture de Drieu dans le Feu follet peut certes être en un sens l’occasion de superposer l’analyse de son moi, l’introspection, l’autobiographie et l’analyse de son temps. Mais il n’en reste pas moins que cette volonté se fait au travers du simple geste

pour le dessin des hiéroglyphes, les Égyptiens s'inspirèrent de leur environnement : objets de la vie quotidienne, animaux, plantes, parties du corps. À l'époque de l'Ancien, du Moyen et du Nouvel Empire, il existait environ sept cents signes hiéroglyphiques, alors qu'à l'époque gréco-romaine, on en dénombrait plus de six mille. Les hiéroglyphes furent gravés sur pierre ou bien, dans le cas de l'écriture hiératique, tracés au « calame » et à l'encre sur un support moins durable. Qu’est-ce qu’un Calame :

épistolaire, deux correspondances à sens unique, en lettres, parfois télégraphie Impressions de lecture : Vous serez plongée dès les premières lignes dans le vif du sujet. Chaque lettre vous dévoilera un peu plus de chaque personnage, sa vie passée et son présent, triste, la vie continue malgré les guerres, la maladie, il ne faut pas se laisser abattre Etude détaillée : Bref résumé : Deux correspondances à sens unique, puisque 30 ans séparent les lettres écrites par Louis, soldat durant la Grande Guerre

commentaires » dans le premier sonnet du recueil. On va ainsi retrouver dans son œuvre écho à tel ou tel détail de sa vie quotidienne en Italie. De plus, dans le recueil, Du Bellay revient de façon récurrente sur l’expérience de l’éloignement. Il s’agit d’un double éloignement : éloignement affectif par rapport à ses origines éloignement intellectuel des milieux qui pensent et qui font la vie intellectuelle de l’époque et éloignement professionnel par rapport à la cour Cette inspiration autobiographique

contrairement aux stupidités de la vie et les angoisses de la vie d'écrivain. Un bonheur qui trouve parfait, qu’il idéalise et qu'il souhaite écrire Passé idéalisé Dans cet extrait Rousseau, explique que son bonheur c’est construit grâce aux moments passés aux Charmettes avec Madame de Warens. En disant de ce « court bonheur de (sa) vie » l'image d'une réalité chagrinée par le malheur. Le bonheur comme il le perçoit est en relation avec une période bien marquée de sa vie celle durant laquelle il n'a

Réflexions : du sujet de l’écriture à l’écriture de soiJean Bellemin-Noëlp. 199-214J’espère que vous recevrez avec équanimité, comme un ensemble un peu artificiel de réflexions hétéroclites, cet exposé impromptu dont le point de départ, tout au moins, ne manquera pas de paraître provocateur : je ne pense pas grand chose, spontanément, sous un énoncé tel que « le sujet de l’écriture ». Une première raison, majeure, me semble être que le producteur du texte (comme on disait au plus fort des années

de la mise en scène de l’autre peut, à prime abord, paraître une démarche contradictoire. Cependant, il s’avère que la place accordée par Chessex à ses parents dans ses textes littéraires permet de mettre à jour la diversité et la complexité de l’écriture autobiographique d’un écrivain auquel on a souvent reproché d’être nombriliste. La figure du père – Pierre Chessex – traverse tous les écrits considérés comme « autobiographiques »[1] de Chessex. Ayant mis fin à ses jours à l’âge de quarante-huit

quitter son quotidien, cela change sa perception du monde : « [le] poète [échappe] à l’espace temps », « on oublie les coups durs de la vie, comme une trêve » v18. Cette comparaison nous montre que la vie de l’auteur est ressentie comme une guerre et l’écriture lui permet une pause, « une évasion » v2, 46. Grand Corps Malade cherche par l’écriture à sublimer sa vie grâce aux rares moments de transe poétique. Le slam lui permet une modernité et une réinvention du langage poétique. Ce slam emprunte