L Enfant D Hiroshima

sont quotidiennement rappelées aux civils, l’ennemi est stigmatisé, diabolisé même puisque de fausses légendes circulent sur son compte : les Allemands couperaient ainsi les mains des petites filles. Le « bourrage de crâne » implique également les enfants qui participent à la mobilisation par le biais de l’école notamment. L’état de guerre se répercute sur toutes les populations qui s’installent alors dans une véritable culture de guerre, permettant aux hommes de tenir au front comme à l’arrière.

les Justes à travers un rapide résumé et les grandes thématiques qui en ressortent. 3°) Résumé et thématiques des Justes Les justes est une pièce de théâtre écrite en 5 actes par Albert Camus. Écrite en 1949 au lendemain de la guerre et de Hiroshima, les justes consiste en une protestation contre la barbarie, elle fut représentée pour la première fois au théâtre de Hébertot le 15 décembre 1949, dans une mise en scène de Paul Oettly. La pièce fut plutot bien reçue, encore que Camus écrive à un

dans Voyages au Canada L’image du bon sauvage se lit dans le récit par Jacques Cartier de ses rencontres avec les autochtones d’Hochelaga. Selon Cartier, le sauvage n’est plus barbare, mais plutôt proche de la nature, « l’âme aussi pure que des enfants ». Leur façon de s’habiller et leur mode de vie montre à Cartier qu’ils ne sont pas effrayants ni dangereux, mais qu’ils sont des êtres humains. Innocents et purs, les « sauvages » qu’il rencontre pendant son voyage sont, selon Cartier, ouverts d’esprit

sont quotidiennement rappelées aux civils, l’ennemi est stigmatisé, diabolisé même puisque de fausses légendes circulent sur son compte : les Allemands couperaient ainsi les mains des petites filles. Le « bourrage de crâne » implique également les enfants qui participent à la mobilisation par le biais de l’école notamment. L’état de guerre se répercute sur toutes les populations qui s’installent alors dans une véritable culture de guerre, permettant aux hommes de tenir au front comme à l’arrière. Brutalisation

sixième partie s’appelle « Les hommes et les femmes : le retard allemand ». En effet la société allemande est très traditionnelle, les femmes sont vues dans la société comme devant respecter la règle des trois K (Kinder, Küche, Kirche) c’est à dire les enfants, la cuisine et l’église. Elles doivent souvent faire un choix entre travailler et devenir mère, et cette situation entretient un rapport étroit avec la très fable natalité allemande. Ainsi plus le taux d’emploi féminin augmente, plus le taux de natalité

a) L’ennemi a nos portes Parmi ces nombreux remakes, un sort du lot : « La Colline a des yeux », d’après l’original de Wes Craven (1977). Sorti en 2006, le film raconte l’histoire d’une famille coincée en plein désert. Très vite, parents et enfants deviennent la cible de dégénérés irradiés. Wes Craven produit le film, mais laisse la réalisation à Alexandre Aja, un jeune cinéaste français fraîchement débarqué à Hollywood. Alexandre Aja et Grégory Levasseur intègrent dans le scénario une réflexion

        l'exposition accidentelle (exemple : l'accident de la centrale atomique de Tchernobyl en Ukraine),         l'exposition aux bombes atomiques.   C’ est alors que l’exposition excessive à ces radiations augmente le risque de cancer. On a l’ exemple d’ Hiroshima et de Nagasaki au Japon ; après l’explosion les gens irradiés ont présenté un taux élevé de cancer tel que la leucémie,  des cancers de la thyroïde de l’estomac, du sein et du poumon.       B. Les rayons ultraviolets 1. Les différents rayonnement

au moins des cibles familières. Si on retient l’idée que la violence terroriste tue, et deux signifie inspirer la crainte alors se pose la question est-ce qu’on peut objectivement déterminer qui est terroriste ? Peut-on penser que Nagasaki et Hiroshima sont des actions terroristes ? Objectivement c’est est une avec une indistinction entre civil militaire, l’objectif avoué était de terroriser le Japon pour qu’il arrête la guerre. Le critère de la terreur est donc satisfait, pour autant, 2

personnes périrent. Les Alliés firent de même à la fin de la guerre, en bombardant des villes allemandes telles que Dresde (35 000 morts) voire en ayant recours à la bombe atomique pour les Américains. Truman envoya ainsi deux bombes atomiques sur Hiroshima et Nagasaki les 6 et 9 aout 1945 faisant 150 000 morts sans compter les victimes ultérieures de radiations notamment. Les civils étaient les otages de la terreur et victimes directes d’actes de représailles sanglantes. En Asie, les Japonais se rendirent

ces objectifs que répondent le Blitz, bombardement de Londres et d’autres villes anglaises qui fait 43 000 morts en 1940-1941, ou bien le bombardement allié sur Dresde en 1945 (35 000 morts), et bien sûr les bombes atomiques larguées sur Hiroshima et Nagasaki qui font 70 000 et 80 000 morts, destinées à précipiter la capitulation japonaise. - des représailles sur les populations accusées de commettre ou d’aider des actes de résistance. Par exemple, le village d’Oradour- sur-Glane