L Enfant Et La Rivière

ARTHUR RIMBAUD – LE DORMEUR DU VAL C'est un trou de verdure, où chante une rivière Accrochant follement aux herbes des haillons D'argent; où le soleil, de la montagne fière, Luit: c'est un petit val qui mousse de rayons. Un soldat jeune, bouche ouverte, tête nue, Et la nuque baignant dans le frais cresson bleu, Dort; il est étendu dans l'herbe, sous la nue, Pâle dans son lit vert ou la lumière pleut. Sonnet (deux tercets et deux quatrains) en alexandrins avec des rimes croisées, plates

A2-B1) Qui est Jules Verne? Jules Verne naît en 1828, à Nantes, port maritime au fond de l’estuaire de la Loire. Il voit de sa maison les bateaux et très jeune déjà il rêve de voyages, d’îles désertes et de naufrages. Jules est l’aîné de cinq enfants, son père est juriste comme son grand-père et son arrière-grand-père. À onze ans il fait une fugue sur un voilier partant pour l’Inde mais son père le retrouve peu après le départ. Après le bac, il décide de faire du droit comme désire son père

percevoir avec nos sens, l’ouïe (le chant de la rivière), l’odorat (les parfums), le toucher (la mousse) et la vue. Il y a aussi beaucoup de clarté, de lumière, « le soleil luit ». Reprise du mot « val », vers quatre rappelle « la rivière », vers un. L’évocation de la nature est paradoxale avec le titre. La nature, bien qu’elle puisse évoquer le calme et la tranquillité, n’est jamais endormie et inactive, d’où l’adverbe « follement », qualificatif de rivière, agitation de la nature, rien n’est inactif

« Morts les enfants » Chanson de RENAUD, sortie de l’album « Mistral Gagnant », 1985. Paroles de la chanson : Chiffon imbibé d´essence, Mort l´enfant qui vivait en moi, Un enfant meurt en silence Qui voyait en ce monde-là Sur le trottoir de Bogotá Un jardin, une rivière On ne s´arrête pas Et des hommes plutôt frères Dechiqu´tés aux champs de mines, Le jardin est une jungle, Décimés aux premières lignes Les hommes sont devenus dingues Morts les enfants de la

paysages magnifiques et un rebelle qui s’avance vers la rivière et finir par disparaitre dans celle-ci pendant qu’il est poursuivi par des soldats. Puis l’artiste nous montre des militaires dont les uniformes sont assez similaire de la nature qui les entoure cela m’a donné l’impression que la guerre est là depuis des années et cela est devenu un paysage comme celui qui les entoures. La musique, les bruits de la nature par exemple celle de la rivière J’ai ressenti un tourbillon d’émotions pendant les 40

| |ou procédés d’écriture | | | |Champs lexicaux |''chante une rivière'' (v. 1) |États opposés | |Nature |'' follement aux herbes'' (v. 2) |Dans la première strophe, la nature nous est

organisation dans l'espace grâce aux compléments circonstanciels de lieu(« où chante une rivière » v1, « où le soleil » v2, « dans le frais cresson bleu » v6, « dans l'herbe » v7 …), il y a une description par des verbes d'états (« est » v1,v4, « est étendu » v7..) par des expansions du nom: propositions subordonnées relatives (« qui mousse de rayons » v4), propositions subordonnées circonstancielles (« où chante une rivière » v1), adjectifs (« fière » v3, « jeune » v5, « ouverte », « nue », « frais », « bleu »

Fiche de révision pour l’oral du baccalauréat de Français : La rivière endormie Séquence : l’eau en poésie objet d’étude : l’écriture poétique et la quête de sens Auteur : Claude Roy Titre : La rivière endormie, Poésie, (1970) Date et siècle de l’auteur : 1915 – 1997 XXe siècle Eléments biographiques : poète, journaliste, écrivain contemporain français, il incarne la grande tradition française d’humanisme, de curiosité et de culture. Dans les années 40, Roy devient correspond de guerre et adhère

….…… N° : ……… TEXTE DE BASE :Une fausse rivière de diamant Or, un dimanche, comme elle était allée pour se promener, seule, aux jardins des Champs-Elysées pour se délasser des besognes de la semaine, elle aperçut tout à coup une femme qui promenait un enfant. C'était Mme Forestier jeune, belle, séduisante. Mme Loisel salua Mme Forestier mais cette dernière ne la reconnaissait pas car elle avait

Café des Amis tenu par Madame Jeanne, à qui il rend de nombreux services. Un jour, il découvre une femme et ses deux enfants cachés dans la cuisine de Madame Jeanne. Madame Jeanne agrippa le poignet de Louis. Il espéra vaguement qu’elle l’assiérait sur ses genoux. – Autant que je t’explique, dit-elle. Voilà… heu… Il me semble qu’à ton âge tu comprendras. Mme Boumiran et ses enfants, Marc et Robert, désirent passer en zone libre. Je… j’avais promis de m’en occuper mais le passeur est absent. Ne parle