L Enfer C Est La Solitude

de vivre mais du point de vue uniquement économique. Incapable intellectuellement de faire autre chose Czentovic joue aux échecs parce qu'ils le font vivre. Pour M. B les échecs sont aussi le seul moyen de survivre à cette enfer qu'il subit. Grâce au jeu il combat sa solitude, le poids du néant. Aussi fictif que puisse paraître cette activité, elle devient une véritable raison de vivre : sa vie reprend un sens, elle a un but. une arme merveilleuse contre l'étouffante monotonie de l'espace et du

meules (2) ; Ils vont, de l'aube au soir, faire éternellement Dans la même prison le même mouvement. Accroupis sous les dents d'une machine sombre, Monstre hideux qui mâche on ne sait quoi dans l'ombre, Innocents dans un bagne, anges dans un enfer, Ils travaillent. Tout est d'airain (3), tout est de fer. Jamais on ne s'arrête et jamais on ne joue. Aussi quelle pâleur ! La cendre est sur leur joue. Il fait à peine jour, ils sont déjà bien las. Ils ne comprennent rien à leur destin, hélas 

utilise les hyperboles, métaphores, antithèses. + la figure est recherchée, + elle frappe l’esprit Thèmes principaux -univers en mouvement : transformations incessantes modifient les apparences. Facination pour la puissance du devenir. -solitude : dans la solitude, l’auteur existe pour lui-même, en dehors de la cour et de ses contraintes. Lié aux forces qui animent l’univers. -éclats de la beauté : sensations sont exaltées par des métaphore qui en révèle la beauté (c’est un monde où les masques et

dernier qui correspondait à mesurer ta droiture envers Dieu. Si elle était parfaite on irait au paradis, si elle ne l’était pas, on irait en enfer. Les chrétiens du Moyen-âge avaient très peur, ils humiliaient et torturaient donc les chrétiens condamné (supplice de la roue). Hitler a évoqué cette notion en disant que les musulmans et que les juifs iraient en enfer, tel est le lien. La signification des mots et des formes : Le dadaïsme, aussi appelé Dada, est un mouvement intellectuel, artistique et

c’est passer d’une extrême faiblesse à l’effort créateur." Dans les Fleurs du mal, qui rassemble plus de cent vingts poèmes, Baudelaire évoque son expérience de la dualité entre divinité et enfer, le Spleen et l’Idéal, ses amours maudits ou platoniques, l’expérience douloureuse ou spirituelle de la solitude, les paradis artificiels, la débauche et les voluptés interdites. Baudelaire parle encore de ses rapports avec la religion, qu’il exècre, de la tentation qu’il éprouve envers la mort. Toutes

entourer. Tout ce que le monstre voulait c’est tenter de s'intégrer dans la communauté humaine dont il acquiert par imitation les habitudes des hommes. Cependant, son aspect terrifiant éloigne toutes les personnes qu'il rencontre. Enfermée par sa solitude forcée, rempli de haine par l'abandon dont il est l'objet, il cherche à se venger de son créateur et sème la terreur dans son entourage. Victor Lors de ses études à Ingolstadt, il découvre le secret de la vie et, dans un laboratoire il fabrique

permet à la Reine d’échapper au ridicule d’une situation… 3) Elle indique un temps d’arrêt, une lucidité, qui fait écho à « aujourd’hui je suis reine, autrefois, j’étais libre. » Première partie : Le paradoxe s’applique d’abord à la Reine : la solitude d’une reine sans pouvoir, exilée, à la merci du Roi et du protocole, jeune, sans amour, sans distraction, sans confident, mais pleine d’ardeur et de sensibilité : elle vit dans l’espérance d’une échappée à ses maux et se fabrique plus ou moins malgré

entre Atala et Chactas les deux indiens, n'est pas seulement le fait qu'ils sont de tribus ennemies mais des forces qu'ils les depassent. Atala doit survivre mais en respectant le fait de rester chaste toute sa vie sous peine que sa mère perisse en enfer. Aussi, comme son tourment s'exaspère à mesure que s'exaltent ses sentiments, la jeune fille préfère se donner la mort plutôt que de trahir celle qui l'a mise au monde. Atala et Chactas sont vus comme deux héros l'un féminin l'autre masculin. Personnages:

maîtresse d'un jeune homme et infanticide. Morte d'une pneumo- nie, elle n'a cessé et ne cesse de tricher avec la réalité.Résumé :Trois personnages, Garcin, Inès et Estelle, se retrouvent dans une salle d'attente, chacun d'eux pensant être dans un enfer bien spécifique. Ils réalisent rapidement qu'ils sont condamnés à passer l'éternité ensemble. Il n'y a pas de bourreaux, pas de tortures physiques, mais ils sont contraints de vivre ensemble dans une atmosphère étouffante et conflictuelle.Garcin est

comprennent rien à leur destin" v.14 (reflexion d'adulte mais pas d'enfants II-Dénaturation de l'enfance A) Perte des valeurs de l'enfance -plus de rire (hyperbole v. 1) -plus de jeux v. 11 ( allitération en [z] suggérant le bruit des machines) -solitude v.3 ("cheminer seul") -un monde de métal (froid): v.10 "tout est d'airain, tout est de fer" (parallélisme) B) Réïfication de l'enfant -même mouvement (==>machine) parallélismes v.6 et v.11 -outil (v.25 comparaison) -l'écrasement: "sous des