L Enfer C Est La Solitude

ses parents font tout pour la sortir de cet enfer, et l’internent dans un centre psychiatrique de désintoxication. Elle meurt trois semaines après avoir décidé d’arrêter d’écrire son journal. 6) Idée principale du livre et mot-clé : Ce livre raconte le monde réel de la drogue et ses conséquences à travers cette jeune toxicomane. Il n’apporte aucune solution à ce problème, c’est une chronique personnelle Mot-clé : drogue, déprime, famille, solitude 7) Références culturelles : Le titre original

fièvre, ils cheminent seuls. Cela nous décrit des enfants qui sont malheureux et peut être même malade « fièvre » « pâleur » et dont la solitude leur meurtrie l’âme. Deuxièmement, l’utilisation des figures de styles, l’auteur utilise beaucoup de métaphores, il compare les enfants à des innocents et à des anges (vers9) «Innocents dans un bagne, ange dans un enfer », (vers7 et 8) « Accroupis sous les dents d’une machine sombre », « monstre hideux qui mâche on ne sait quoi dans l’ombre » ici nous

|Second cycle | | | Thème Le groupement proposé s’organise autour de La représentation de la solitude du héros tragique dans le théâtre moderne. Attribuer à quelqu'un le titre de Héros, c'est voir en lui quelque chose de semi-divin, de lumineux et croire que cet être peut aisément se démarquer de la foule des hommes ordinaires. Le héros est

par son voyage en Asie. D’après son texte le voyage a été très éprouvant, il n’utilise presque que des adjectifs péjoratifs pour le qualifier. Il traite de la solitude et de la maladie attrapé pendant son voyage surement le paludisme ou chikungunya ainsi qu’une pauvreté apparente. On peut penser que son voyage n’a été qu’une descente en enfer. Nancy Huston elle, parle de la difficulté de s’intégrer dans un pays pendant un voyage à cause des moqueries dut à la langue. Elle critique le regard des locaux

 «bagne»  puis  «enfer»  +  répétition  de  «même»  insiste  sur  leur  sort  de  victime.   b.Souffrance  des  enfants   -­‐souffrance  physique  -­‐-­‐>  mise  en  valeur  par  champ  lexical  santé  maladive  :  «fatigue»,  «rachitisme»,   «fièvre»  +  structure  négative  sur  l’absence  d’enfance  «joie»  +  «jeu»   -­‐souffrance  morale  et  solitude  -­‐-­‐>  adjectif

avides, apeurés par l' »enfer vert » et aveuglés par l'appât du gain. Le vieux, Antonio José Bolivar, âgé de septante ans environ, vit à El Idilio, petit village au nom illusoire ou ironique au cœur de l'Amazonie, en Equateur. Il y mène une vie simple, faite de chasse, de sommeil et surtout de lecture. En effet, il lit les romans d'amour que lui apporte son ami le dentiste ambulant Loachamin, virulent opposant au gouvernement. Cette lecture lui permet d'oublier sa solitude et la réalité qui l'entoure

remarqué par son jeune âge, sa fragilité, son manque d’assurance et surtout parce qu’il reste en solitaire. Sauf qu’en prison la solitude n’existe pas soit on fait parti d’un clan soit on te fait vivre la misère. Malik va très vite le ressentir et avoir des ennuis. Mais un jour les prisonniers corses lui lance un dilemme et face à eux il n’a pas le choix. Pigé dans cet enfer, il va également être mené à faire des choses et prendre des décisions à contre cœur pour sa propre survie au sein de la prison

de Normandie. 6. Elle vit dans la peur et l'angoisse d'être découverte ou dénoncée et fusillée. Elle se sent incomprise par tous excepté avec Peter. Mais elle craint que certains aspects de sa personnalité ne déplaise Peter. Elle ressent de la solitude mais elle se sent aussi compressé de ne jamais pouvoir sortir de l'annexe. Elle évoque de la colère envers sa famille et les Van Dan (l'autre famille qui vit avec eux dans l'annexe). Elle ressent souvent de la peur mais aussi un peu d'espoir par

qu’Hernani perçoit comme une malédiction autour de lui, qui lui pèse sur le cœur. De plus, le personnage est solitaire, comme nous l’indique le vers 13 : « Je n’ai plus un ami qui de moi se souvienne ». Les champs lexicaux employés associés à la solitude du personnage contribuent au registre tragique de la scène. Par ce registre, on comprend qu’Hernani se voit et se décrit comme un martyr. Hernani se plaint de sa condition et s’épanche avec lyrisme. Ainsi, il déplore son statut de victime mis

enfants : "pas un seul ne rit" (+ antithèses "un/tous" et "rit/enfants"), "que la fièvre maigrit" (chp lx de la maladie) . Et sur leur fragilité : "doux êtres" v.2, "filles de huit ans" v.3 (innocence, vulnérabilité, jeunesse) . Il souligne leur solitude : "pensifs" v.2, "cheminer seules" v.3 . L'expression "on voit" implique le lecteur à la fois par l'usage du pronom indéfini et par le verbe de perception qui le prend à témoin. - v.4 à 11 : VH répond longuement à la question qu'il a posée.