L Enfer C Est Les Autres

Le sourire des gens, leur bonne humeur, je ne supportais pas. De la jalousie ? Non je n'irais pas jusque là, mais le bonheur des autres me rendait malade. Je vivais seule dans un petit pavillon blanc, du style année 50, dans une campagne isolée tout près de Paris. Ma vie de célibataire, associable me convenait amplement, j'étais heureuse, je construisais ma vie comme bon me semblait, personne n'était là pour me dire ce que j'avais à faire, c'était comme un petit paradis personnalisé. Tous les matins

Adieu (Une saison en enfer, 1873-1875)          "Adieu" ou l'impossible adieu   Je ne pourrai jamais envoyer l'Amour par la fenêtre. Arthur Rimbaud, Phrases.      Ce dernier chapitre d'Une saison en enfer est à la fois la fin d'une histoire et la conclusion d'une longue, intense, dramatique méditation.       L'histoire raconte la déchéance d'un jeune poète qui, ayant fait le choix de la révolte contre la société et de la négation enragée des valeurs traditionnelles, se trouve projeté aux

Pour commencer, dans le recueil Une saison en enfer d’Arthur Rimbaud, nous pouvons remarquer facilement quelle est la perception de l’écrivain par rapport aux différents métiers. Selon la manière dont Rimbaud écrit, il nous donne l’impression que la majorité des professions sont considérées plus importante qu’elles ne devraient l’être. De plus, d’une façon sarcastique tel que : « Ô, pour ces Ouvrier charmants / Sujets d’un roi de Babylone » (p.193) Ce poète nous montre qu’il a l’impression que son

FRANÇAIS : devoir certificatif Ecriture d’une critique théâtrale de la pièce de Sartre, « Huis clos » Une pièce de théâtre qui aurait mieux fait de rester en enfer… L’histoire est celle de trois personnes qui se retrouvent en enfer, dans un salon bourgeois, suite à des actes qu’ils ont commis lorsqu’ils étaient toujours en vie. Garcin, journaliste, Inès, employée de poste et Estelle, une riche mondaine ne se connaissaient pas et se voient donc contraints à cohabiter ensemble pour l’éternité

« effaré » lui était cher : il l’employa dans ‘’Ophélie’’, dans ‘’Accroupissements’’, dans ‘’Tête de faune’’, etc. ; il était employé aussi par Banville et était un des maîtres mots de Hugo Ce fut le seul poème qu’il a excepté de sa condamnation des autres poèmes de 1870 qu’il avait signifiée à Demeny ; il le fit recopier par Delahaye pour l’envoyer à Verlaine. ____________________________________________________________ _____________________ “Roman” (23 septembre 1870) Poème Pour une

Ils n'ont rien en commun, viennent de milieux différents et n'ont ni les mêmes goûts ni les mêmes convictions. Sartre nous délivre ici une définition personnelle de l'Enfer: « L'Enfer; c'est les autres ». Par cette phrase il veut faire comprendre que la vie se ressent et se perçoit à travers les autres; les individus nous font prendre conscience de nous mêmes, de notre condition d'humain. Les trois protagonistes se débattent sans cesse pour échapper à leur situation mais l'Enfer finit par reprendre

l’existentialisme de Sartre.  «L’enfer, c’est les autres», et réciproquement nous sommes un enfer pour les autres.  Ici, il n’y a plus de distinction claire entre «être» et «paraître» : les jugements sur les autres comme sur nous-mêmes sont toujours déformés et déformants – et puis, «qui» l’on «est» se trouve à être en perpétuelle redéfinition.  De là le caractère en partie aliénant des autres, de là l’origine de la culpabilité humaine.  Mais les autres ne sont pas qu’un enfer : Sartre affirme aussi que la joie

La vie à trois en enfer Travail présenté à monsieur Louis Bisson Par : Nazer Jean Cours FRA-601-102-MQ, Littérature et imaginaire, groupe17 Cégep de Saint-Laurent-le 25 mars 2011 En France, au lendemain de la Deuxième Guerre mondiale, un courant

des moments plus difficiles que d’autres, notamment lors des guerres, des milliers voir des millions de gens morts, des cadavres posés partout, dans les rues, dans les maisons faisaient partis du quotidien des gens. Certains pour se sortir de cet enfer, pour montrer ce qu’ils ressentaient, pour dénoncer ce qu’il se passait, pour montrer leur révolte et pour faire réagir les gens, certains ont écrit, ont composé, ont peint, ont produit, ont photographié. Tout ça dans un seul but : celui de dénoncer

qu’autrui a sur nous. Le désir d’être bien pour aux yeux des autres, amène aussi a se mentir et donc être de mauvaise foi : La réalité de ce qu’on pense être vraiment est fausse. Dans notre sujet Inès ne veut pas qu’on découvre qu’elle est une tueuse, la réalité lui fait peur et ne lui plait pas. Le mensonge la protège contre le regard d’autrui et elle se retrouve embrigader dans sa propre mauvaise foi. « L’enfer c’est les autres » : les autres sont, au fonds, se qu’il y de plus important en nous même