L'Espoir

étincelle qui m’inonda d’espoir, je caracolais, et ne cessais de gesticuler, m’empêchant ainsi d’ausculter cet endroit divin. Je savourais enfin ce revirement de situation. Tout sentiment d’insécurité s’était dissipé, laissant place à de l’espoir. L’espoir d’envisager de nouvelles perspectives. Ah. Je soupire. Je respire. J’inspire. J’expire. Inlassablement. Je consomme de cette liberté et je sens que cela commence à se consumer. À me consumer. Petit à petit. De manière sporadique. Je respire

Goya(1746-1828) est né à Fuendetodos, près de Saragosse, et est un peintre et graveur espagnol. Né l'année de la mort de Philippe V, Goya grandit pendant le règne de Ferdinand VI(1748-1759), mûrit pendant le règne de Charles III(1759-1788), et nourri par l'espoir des Lumières, atteignit la gloire avec l'avènement de Charles IV(1788-1808)qui en fit peintre de Chambre. Il prit conscience de la faiblesse du souverain, des turpitudes de la cour, des persécutions contre les intellectuels et politiciens éclairés

Je penche pour la première option, car certaines âmes errantes choisissent l’isolement, et non pas la compagnie. Néanmoins, il est permis de supposer que la jeune femme ne s’enferme pas dans sa tristesse, car ce regard élevé au ciel m’évoque l’espoir, l’espoir d’être capable de guérir de la noirceur de son cœur, de retrouver le bonheur qu’elle a pu éprouver auparavant, et qu’elle a peut-être perdu dans sa route vers la vie adulte. La jeune femme inspire, malgré sa mélancolie, de la sérénité, et je

tentatives veine de l’auteur à atteindre l’idéal. Il fait appel à l’Espérance (v.6) et à l’Espoir (v.18) mais cela échoue. L’allégorie de l’Espérance en une « chauve-souris » montre que l’idée ne reste pas en place, elle retombe vers le bas, le mal, l’angoisse, empêchée par les « murs » autours d’elle. Quand à l’Espoir, il est « vaincu » (v.19) et cette défaite est mise en valeur par l’enjambement de « l’Espoir » avec l’adjectif qualificatif « vaincu » (v. 18-29) et décourager : il « pleure » (v.19)

mais que nous serons toujours les Etats-Unis d'Amérique. Cette réponse conduit ceux à qui on a dit pendant si longtemps d'être cyniques, de craindre et de douter de ce que nous pouvions faire, à se saisir de l'arc de l'histoire et à le tendre dans l'espoir de jours meilleurs. Il a fallu longtemps. Mais ce soir, grâce à ce que nous avons accompli aujourd'hui et pendant cette élection, en ce moment historique, le changement est arrivé en Amérique. Je viens juste de recevoir un appel courtois du Sénateur

en plusieurs parties pour matérialiser un village, est une véritable boite au trésor renfermant toutes sortes de choses. Un placard s’ouvre et devient un banc, un autre renferme son matériel à embobiner, un autre sa collection de Dieux lui donnant l’espoir, un dernier découvre un circuit démontable qui lui sert à nous raconter sa prise de conscience que ces recherches ne pouvaient aboutir, puisqu’elle tournait littéralement en rond. Durant la narration de cet incident, un dernier genre apparait, que

et Barcelone constituent le cœur de la résistance républicaine. Guernica est une petite ville d’Espagne, de la province de Biscaye. Le jour du bombardement Guernica est particulièrement peuplé : de nombreux réfugiés des environs sont venus dans l’espoir de pouvoir fuir en train. Par ailleurs c’est le jour du marché. Le 26 avril 1937, les premières bombes explosent à 16h30. Les derniers avions quittent le ciel de Guernica vers 19h. Les 50 appareils de la région Condor ont lâché 50 tonnes de bombes

revenions précédemment sur le fait que certaines personnes se complaisent dans différentes croyances et que le savoir ne peut donc rien faire. Il est en effet un état que nous ne pouvons réfuter : l’homme est un être d’espoir. Tout homme vit dans l’espoir du futur, du bonheur etc. On comprend alors le rejet du savoir et de la vérité qui brise nos croyances d’espoir futur. Par conséquent, l’homme par essence rejette le fatalisme, défendu par les stoïciens, et ne veulent pas admettre que la vie est

passé et l’espoir. Or selon Épicure (thèse épicurienne), il faut désirer ce que l’on a, c’est-à-dire: les désirs naturels et nécessaires (plaisir de vivre) qui se différencient des plaisirs naturels et non nécessaires, les désirs vains (compenser l’être par l’avoir). En gros il n’est pas possible d’être heureux avec une représentation du bonheur car c’est une représentation qui n’est pas nous. On confond le bonheur véritable et l’image du bonheur car on est très souvent dans l’espoir, on désire

justice universelle, comme en témoigne son poème « La mort des Pauvres ». À travers son œuvre, il a su faire transparaitre son opinion en y tissant des liens entre le mal et la beauté de la mort. En effet, la délivrance aux souffrances, ainsi que l’espoir d’une vie meilleure le prouve. (148 mots) En premier lieux, « La mort des pauvres » est un poème où l’ont y retrouve le thème principal de la mort sous ses côtés favorables. Tout d’abord, il faut souligner le fait que la mort peut être considérée