L'Été où j'ai grandi

petits travaux qui rapportent un peu : Maurice en apprenti boulanger et Joseph en aide pour le berger dans les montagnes. Mais pour échapper au STO , tous doivent partir pour Nice , les parents aussi se sont échapper de Paris et y sont venus . C’est l’été et Joseph et Maurice font commerce du marché noir et du troc. Nice est occupée par l’Italie mais celle-ci ayant signer un traité de paix s’en va et laisse place à l’Allemagne. De suite les choses se corsent pour la Famille Joffo, ils doivent de nouveaux

populaires et surtout ceux sans diplôme se voient condamnés à une pauvreté durable. L’AVENIR RESSEMBLE AU PASSÉ, «EN PIRE» «L’avantage c’est qu’on est habitué depuis tout petit. On sait être pauvre» se moque Kevin, 23 ans, manutentionnaire. «J’ai grandi avec des parents plutôt chômeurs, pas forcé sur les études… et voilà, je galère depuis longtemps. Je donne 300 euros à ma mère, dès que je gagne un peu de sous. Je vis de petits plans. On sait comment s’habiller pas cher mais très classe.» sourit-il

Femme nue, femme noire Vétue de ta couleur qui est vie, de ta forme qui est beauté J'ai grandi à ton ombre; la douceur de tes mains bandait mes yeux Et voilà qu'au coeur de l'Eté et de Midi, Je te découvre, Terre promise, du haut d'un haut col calciné Et ta beauté me foudroie en plein coeur, comme l'éclair d'un aigle Femme nue, femme obscure Fruit mûr à la chair ferme, sombres extases du vin noir, bouche qui fais lyrique ma bouche Savane aux horizons purs, savane qui frémis aux caresses

travaillaient comme esclaves dans ces propriétés et servaient souvent d'esclaves sexuels», ajoute-t-elle. Alexis Wright se livre peu. Elle est chaleureuse, attentive, son visage est ouvert, mais le regard reste insondable sous des sourcils épais. Elle a grandi dans la ville aborigène de Cloncurry, dans le nord-ouest de l'Etat du Queensland, «où la démarcation était très claire entre les Noirs et les Blancs». Elle ne parle que quelques mots de naanyi, la langue de ses ancêtres. «Elle n'était pas enseignée

l'endroit où Johanna Mason m'a frappée avec la bobine de fil électrique. Les souvenirs se bousculent tandis que je m'efforce de démêler le vrai du faux. Quelle succession d'événements m'a conduite jusqu'ici, dans les ruines de mon ancienne ville ? J'ai du mal à la reconstituer, parce que les effets de ma commotion cérébrale ne sont pas entièrement dissipés et que mes pensées ont encore tendance à s'embrouiller. Et puis, le traitement qu'on m'administre pour contrôler la douleur et mon humeur me fait

roman. Après quelques recherches, quelle a été ma surprise lorsque j’ai découvert la polémique et le scandale derrière cette œuvre. J’ai aussi appris qu’il a été écrit en 1954, période durant laquelle la femme a très peu de droits et que forcément, une adolescente frivole et libertine choque.Bien évidemment, la question ne se posait pas et comme on peut le remarquer, j’ai choisis ce livre qui sort du lot. Dès les premières lignes, j’ai été subjuguée par le style et l’écriture de l’auteur, savourant

appellent aux contôle des armes" Je ne possède pas d’arme à feu car c’est strictement interdit à New York. Une fois en 1987, je me suis arrêté à Times Square et ai pris en stop vers 3h du matin ce que certains médisants appelleraient des « voyous ».  J’ai pris quatre passagers, trois à l’arrière et un à l’avant. La plupart des chauffeurs de taxi ne s’arrêteraient pas pour prendre quatre jeunes gens à cette heure-ci, ils ne s’arrêteraient tout simplement pas. Les chauffeurs de taxi sont les premiers

d'attendre Et la maison s'endort Vide au milieu du vent Là-haut un bruit de pas trotte de temps en temps Pierre Reverdy, La Lucarne ovale, 1916. Document B |Le front aux vitres| Le front aux vitres comme font les veilleurs de chagrin Ciel dont j'ai dépassé la nuit Plaines toutes petites dans mes mains ouvertes Dans leur double horizon inerte indifférent Le front aux vitres comme font les veilleurs de chagrin Je te cherche par-delà l'attente Par-delà moi-même Et je ne sais plus tant je t'aime

Chapitre 2 : Déménagement. Est-ce que vous savez à quel point c'est difficile de quitter sa famille, ses amis, son lycée, le village où vous avez grandi, vos habitudes et tout le reste ? Pour aller, en plus habiter dans une ville immense alors que vous veniez d'un tout petit village au fin fond de la campagne ? Certains doivent sûrement le savoir, et j'en fais parti. –> RETOUR EN ARRIERE On est le 02 juillet. C'est la fin des cours pour moi. Mes amis et moi, nous avons l'habitude de se

toucher encore cette merveille de nous, Entre visions et reflets mon amour. POEME N°3 (Pablo Neruda) J’ai faim de tes cheveux, de ta voix, de ta bouche, Sans manger je vais par les rues, et je me tais, Sans le soutien du pain, et dès l’aube hors de moi, Je cherche dans le jour le bruit d’eau de tes pas. Je suis affamé de ton rire de cascade, Et de tes mains couleur de grenier furieux, Oui, j’ai faim de la pâle pierre de tes ongles, Je veux manger ta peau comme une amande intacte, Et le rayon détruit