L Euthanasie En Belgique

 L’EUTHANASIE SOMMAIRE I. EUTHANASIE : DEFINITION , HISTOIRE, ET RELANCE DU DEBAT. 4 A- Euthanasie : définition 4 B- Euthanasie : histoire 5 C- Euthanasie : la relance du débat 6 II. L’EUTHANASIE FACE A LA LOI. 8 A- La France 8 B- Autres pays 8 III. EUTHANASIE ET RELIGIONS 12 A- Le bouddhisme 12 B- Le catholicisme 13 C- L’islam 14 D- Le judaïsme 14 E- L’orthodoxie 15 F- Le protestantisme 16 IV. FAUT-IL

« Chaque fois qu’il entendit dire que quelqu’un était mort rapidement et sans souffrance il demandait aux dieux pour lui et les siens une semblable euthanasie » (Suétone). Suétone est un polygraphe et historien de biographie ayant vécu au 1 entre 2 siècles. Il est principalement connu pour avoir écrit l’oeuvre « vie des douze César ». Dans un passage de son livre dédié à la vie d’auguste, Suétone parle d’euthanasie, il la décrit comme une mort simple et sans douleur. Il la souhaitait à ses proches

L’euthanasie : Faut-il autoriser le droit à la mort ? I. Qu’est ce que l’euthanasie ? Le mot euthanasie provient du grec "eu" (bonne) et "thanatos" (mort), c'est donc l'art de donner une bonne mort, c'est-à-dire une mort sans souffrance. De nos jours, l’euthanasie est donc le fait de provoquer ou de hâter la mort pour abréger les souffrances. Dans le contexte médical, le mot euthanasie désigne la mort choisie par opposition à la mort naturelle. On distingue deux types d’euthanasie :  L’euthanasie

problème physique majeur serait automatiquement refusée car son but premier serait de s’enlever la vie et non mettre fin a ses souffrances physiques. On doit cependant distinguer: euthanasie active (dysthanasie):consiste à donner intentionnellement la mort à un patient qui souffre dans un état désespéré. euthanasie passive (orthothanasie):un traitement est arrêté, ce qui a pour effet d'abréger la vie du patient en le laissant mourir. Elle consiste en l’arrêt de traitements qui prolongent la vie

qualité car respectueux de la dignité de chacun. La lecture de ce texte a fait émerger de nombreux questionnements quant à mon positionnement personnel et professionnel vis-à-vis de la fin de vie et de l’euthanasie. Je suis convaincue que le terme euthanasie fait « peur ». L'euthanasie, se traduisant étymologiquement par « la bonne mort », semble se définir aujourd'hui comme le fait de devancer la mort et renvoie à une connotation criminelle. La réalité est pourtant multiple car les textes distinguent

les débats, empêchant ainsi toutes les opinions de s’exprimer, le risque est grand d’aboutir à un texte imprécis et ne posant pas de balises claires. Considérant l’évolution dans l’application de la loi depuis 2001 aux Pays-Bas et depuis 2002 en Belgique, un auteur anglo-saxon (2) n’hésite pas à parler de “slippery slope”, de pente glissante; l’euthanasie qui au départ devait être considérée comme une option ultime dans des situations spécifiques a vu avec le temps ses indications s’élargir, tout

souffrances morales et physiques intolérables. On distingue deux types d’euthanasie : l’euthanasie active qui est le geste d’un tiers qui donne la mort et l’euthanasie passive qui est l’arrêt des traitements qui abrège la vie. Etymologiquement, « euthanasie » vient du grec Eu Thanatos qui signifie « bonne mort, mort douce sans souffrance ». Pour ou contre l’euthanasie ? Dans un premier temps nous analyserons la législation dans différents Etats face à l’euthanasie puis nous parlerons de la religion

2) Ethique médicale et euthanasie 7 a. L’homme et la vision de la mort 7 b. Un choix difficile 7 3) Arguments pour l’euthanasie 8 4) Arguments contre l’euthanasie 10 Conclusion 12 Introduction L’euthanasie n’est pas un problème nouveau et n’est pas autant lié à ce qu’on pourrait penser, au développement de la médecine moderne mais fait plutôt appel à un dilemme persistant dans lequel s’affrontent nos différentes idéologies. Le terme euthanasie tire son origine du grec «  »

-En Belgique, depuis 2002, l'euthanasie est autorisée, elle est donc considérée comme un droit. Séance 2 22/09/15 Quelles matières ? S.V.T. ????? Séance 3 29/09/15 Cas concrets : -En France : -Il y a eu beaucoup de cas de demande d'aide au suicide : Comme dans le cas de l'affaire de Jean Mercier qui a aidé sa femme à mourir « dignement » car elle souffrait d'arthrose sévère depuis 3 ans et avait tenté de se suicider à plusieurs reprise. -En Belgique : -1.807 Belges ont choisi

et des idées préconçues freinent encore le recours aux morphines et autres opïoides. Ces substances soulagent effectivement la souffrance, mais peuvent aussi abréger la vie. Il en va de même du refus ou de l'interruption de traitements de survie (euthanasie passive). Ce qui fait débat, c'est de savoir à quel stade de la maladie on peut envisager une suspension des traitements de survie : cela ne doit-il être possible qu'en phase terminale quand la mort devient inéluctable, ou plus tôt ? Depuis quelques