L Heroine Realisme

cercle-enseignement.com 1Un cœur simple / Gustave Flaubert SOMMAIRE Séance 1 › Un conte à part p. 2 Dominante : lecture-découverte de l'objet livre Séance 2 › Entrer dans un récit réaliste p. 3 Dominante : lecture analytique Séance 3 › Une héroïne toute simple p. 4 Dominante : lecture analytique Séance 4 › L’écriture du récit court p. 6 Dominante : langue Séance 5 › Les expansions du nom p. 7 Dominante : langue Fiche élève 1 p. 8 Séance 6 › Un personnage mis à l’épreuve p. 9

rappeler dans quel contexte littéraire est né le Roman comique. 1. Le Roman comique, comme quelques années avant lui l’Histoire comique de Francion, est né d’un rejet : celui de la fausseté et de la monotonie des romans héroïques, aux héros et héroïnes trop parfaits, au décor stéréotypé. 2. Il s’inscrit dans une tradition : a. Une tradition qui vient de l’Antiquité : au XVIIème siècle, on lit encore beaucoup Lucien, Apulée et Pétrone. b. Une tradition qui passe par les Fabliaux,

personnalité romantique ( « imagination », « exaltation », « prière », « voyages » ) → monde spirituel. Registre de langue soutenue. C/ Une héroïne fascinée par le romanesque Description des mots Point de vue interne Vision du duc Duc : → valorisation = Emma → dévalorisation > narrateur Vision romanesque mise à mal par la réalisme de l'auteur. Il veut nous montrer que la noblesse se montre exhibitionniste. => Le romantisme est ridiculisé parce qu'on a affaire à une accumulation

littéraire, le classicisme. Ce mouvement se qualifie par un ensemble de valeurs et de critères qui dessinent un idéal et qui développe un esthétique fondée sur la recherche de la perfection. L'écriture classique est fondée sur la raison. Les héros et héroïnes classiques ne sont en général pas rationnels mais leurs passions, souvent violentes, sont analysées par l'écriture qui les rend intelligibles. Le classicisme est donc davantage influencé par une volonté de soumettre le déraisonnable à l'ordre de

à l’aide d’un questionnaire. Séance 5 : Etude du chapitre I.6 à partir du site http://flaubert.univrouen.fr/bovary/atelier/roman_final/bov-a.html (folio 70) : les lectures d’Emma et son éducation au couvent. Le style de Flaubert : « En haine du réalisme » Objectif : Avoir une connaissance précise des trois mouvements littéraires et culturels du XIXe siècle. Séance 6 : Objectif : Comprendre la « géométrie » de l’œuvre. Annexe 3 : Questionnaire sur l’étude des brouillons de Flaubert. Les étapes

spatio-temporel est secondaire, peu décrit, le monde représenté est idéalisé. 2) Le XVIIe s. a. Le XVIIe s. croit encore à un monde stable aux valeurs immuables. Ainsi, Mme de Lafayette, avec La Princesse de Clèves, crée une grande héroïne qui, par sa qualité de princesse, renonce volontairement à l’amour. Le romanesque est dès lors mis à mal par l’esthétique classique et ses nécessités d’équilibre moral et social. b. Le roman se caractérise au XVIIe s. par une double singularité :

aisé. textes anonyme, des formes qui repose sur la farce et fabliaux (petit texte comique, calembours jeux de sonorités, quiproquos… plus ou moins une morale). Dans l'ensemble des textes thèmes: satire sociale, gros comique (lourd) moralisme et réalisme. Le théâtre populaire: Divisé en 2 parties: *le théâtre profane, on y trouve les farces (la farce du Cuvier, la farce de maitre Pathelin ) pièce courtes amusant, problème du quotidien, pas de résolutions claire. *Les soties: apparaissent

l'amour. Introduction ''Le Rouge et le Noir'', sous-titré chronique de 1830 et parût la même année, est une œuvre de Stendhal. Ce roman est un roman d'apprentissage qui s'inscrit dans le courant romantique mais dont certains aspects tirent vers le réalisme. Cette œuvre peut justement être considérée comme un roman d'apprentissage, d'ascension sociale, mais également comme un roman d'amour. Dans ''le Rouge et le Noir'', Stendhal met en scène trois personnages dont deux femmes de la haute société qui

telle une héroïne tragique, Nawal ne cesse d’être mise à l’épreuve et est à plusieurs reprises placée devant un choix insoutenable. Par sa construction, Incendies s’apparente aux films enquête dans lesquels on découvre peu à peu l’histoire et l’identité d’un personnage. Le récit et les par- tis pris de mise en scène ne cessent d’entretenir le suspense, de renforcer la tension et des indices peuvent être glanés au fil des plans et des dialogues. Enfin, le film véhicule un certain réalisme documentaire

roman Madame Bovary paru en 1857. Il appartient au mouvement du réalisme. Dans ce mouvement littéraire, il s’agit de reproduire le plus fidèlement la réalité. Le roman se tourne résolument vers le quotidien, l ‘insignifiant, le laid. C’est ainsi que dans Madame Bovary, Flaubert s’ingénie à exploiter un sujet médiocre et terne. Comment Flaubert parvient-il, à travers cette scène de repas, à dégager la personnalité de son héroïne et à porter un regard ironique sur le milieu aristocratique ?