L Homme De La Renaissance Quête Perfection

(La Peau de chagrin, Louis Lambert, Le Chef-d'œuvre inconnu…). La génération suivante amplifiera cette approche réaliste avec Gustave Flaubert (1821-1880) dont on doit mentionner au moins deux chefs-d’œuvre où apparaissent aussi son souci de la perfection du style et son ironie pessimiste : Madame Bovary (1857) et L’Éducation sentimentale (1869). Son « disciple », Guy de Maupassant(1850-1893), les observations psychologiques et sociologiques comme dans Pierre et Jean (1888), Une Vie (1883) et surtout Bel-Ami (1885)

son élément a) La misère a un visage La photo a le pouvoir de refléter la réalité sociale. La photo a le pouvoir de révéler toute une histoire. L'Homme peut être représenté de tant de manières possibles, entre autre, la représentation d'un Homme miséreux. La misère peut être mise en avant par certains photographes car une simple photo peut avoir un énorme impact, il s'agit d'une arme violente qui a le pouvoir de témoigner d'elle-même. Avec une simple photo, on dévoile au monde la situation

plus vibrante et obscure. Parfois appelé le « piétisme caravagesque », le peintre abandonne son ironie et son insolence, peut-être en rai- son de la culpabilité qui l’assaillit suite au meurtre de Tomasi. Cette période semble marquée par une certaine quête d’absolution divine. Les recherches les plus récentes ont cependant tendance à relati- viser cette tripartition, bien qu’on perçoive tout de même une évolu- tion vers l’obscurité, accentuant la dimension dramatique. Le génie du maître réside dans

et des descriptions de femmes, dont certains traits physiques ou mentaux sont mis en évidence, donne lieu à des représentations différentes de la séduction féminine. Pour les femmes des trois premiers textes perçues à travers le regard désirant d’un homme (le narrateur don José pour Carmen ; Robert de Tressignies pour la prostituée) ou de plusieurs, comme c’est le cas pour Nana, qui se produit sur scène face à un public essentiellement masculin, c’est surtout le pouvoir érotique de leur corps qui est

des descriptions de femmes, dont certains traits physiques ou mentaux sont mis en évidence, donne lieu à des représentations différentes de la séduction féminine. Pour les femmes des trois premiers textes perçues à travers le regard désirant d’un homme (le narrateur don José pour Carmen ; Robert de Tressignies pour la prostituée) ou de plusieurs, comme c’est le cas pour Nana, qui se produit sur scène face à un public essentiellement masculin, c’est surtout le pouvoir érotique de leur corps qui est

heureuse s'il ne se connait pas. Et par opposition aux sophistes qui se targuaient de tout savoir, il affiche son ignorance pour que tous les sophistes et leurs partisans ne se vantent plus. En se basant sur sa conception, nous pouvons dire que tout homme est ignorant, seul lui possède la sagesse (connaissance) parce qu’il est conscient de sa propre ignorance, c’est en ce sens qu’il dit : «  connais-toi toi-même ». La Philosophie c’est un savoir qui se différencie des autres, elle est un savoir qui

idole et être révérencé à la place du Dieu unique, on ne saurait s’élever au rang du créateur divin. Dans l’histoire occidentale, il y a toujours une idée de transgression qui accompagne la création de l’être artificielle. (II) Du Moyen-Âge à la Renaissance Les légendes, avec par exemple La Salle aux Images de Tristan, dans laquelle Tristan s’épenche auprès d’une statue, qui devient le simulacre de l’amour perdu. Avec la légende LeGolem également, l’un des légendes les plus anciennes mettant en scène

La Renaissance au 15e S : Quattrocento A) INTRODUCTION : On désigne par ce mot, la période du XVè et XVIè s. des temps Moderne. C’est un phénomène profond qui correspond à des changements de mentalité, des changements dans la conception du monde qui à commencer en Italie au début du 15e S et qui va se propager dans toute l’Europe au 16e S. Les marques de l’influence de l’art se remarquentà peu près avant le XVI en Allemagne, en France,… C’est un moment qui a une grande conscience de lui-même. Les

aspect crucial de la culture grecque : le summum de la beauté est incarné par le nu masculin (kouros). Mais à l’opposé, bien que le corps soit parfaitement humain, le visage reste quant à lui tout à fait impassible. L’art est donc caractérisé par la quête de fidélité mais aussi paradoxalement par une idéalisation : canons de proportions, impassibilité des traits… ce phénomène trouve son explication dans la pensée platonicienne : le monde sensible, des apparences, n’est qu’illusions et imperfections

..........................................................................................................4 Le Haut Moyen-Age (VIIIe — XIe siècle).............................................................................................4 La Renaissance du XIIe..........................................................................................................................5 L'apogée culturel du XIIIe.......................................................................................