L'Homme de la rue

Charles BaudelaireNotes et référencesAnnexesArticles connexesLiens externes Éléments biographiques Charles Baudelaire, autoportrait, 1860.Le général Aupick (1789-1857), beau-père de Charles Baudelaire.Charles Baudelaire naît le 9 avril 1821 au 13 rue Hautefeuille[4] à Paris. Sa mère,Caroline Dufaÿs, a vingt-sept ans. Son père, Joseph-François Baudelaire, né en1759 à La Neuville-au-Pont[5], en Champagne, est alors sexagénaire. Quand il meurt en 1827, Charles n'a que six ans. Cet homme lettré, épris

habitants voulaient participer à cette nuit ou nous avions le droit de tuer. Le premier nègre fut abattu une heure à peine après le début du couvre-feu. Plus tard, un autre fut bastonné par des paysans qui le trouvèrent recroquevillé dans un coin de la rue de la Pie-qui-Boit. Le troisième, je le ramenai vivant moi-même. Je le trouvai dans la cave d’un tonnelier, terrorisé et tremblant de faim. Tout le monde savait qu’il n’en restait qu’un seul à tuer et ils devinrent tous fou. Une nouvelle idée née en

prise par Dominique Houcment le vendredi 13 mars 2009 a la rue de Poule, à Liège, en Belgique sur la laquelle j'ai collé la photo d'un rat mort. J'ai choisi cette photo car pour moi elle représente au mieux la peste et son atmosphère. De par les couleurs sombres, ici le noir et le blanc. Caractérisant ainsi la tristesse et l'isolement dans laquelle la ville et ses habitantes se trouvent après l'annonce de l'épidémie. Par ailleurs, cette rue est presque déserte, nous apercevons seulement au loin trois

tant que taggueur vagabond dans les rues de New York et fonde le groupe de musique « Gray ».  Puis il devient très tôt un peintre d'avant-garde très populaire et pionnier de la mouvance « underground ».  Le mouvement « Underground » est un art de rue qui peut être caractérisé par des tags, graffitis et collage. Jean-Michel Basquiat devient populaire en attirant l’attention d’Andy Warhol, le fondateur du pop’art, devenant pour lui comme un parrain artistique ce qui lui permet par la suite d’exposer

toile », « pieds nus et écorchés dans des sabots avec des linges sanglants roulés autour des chevilles », « blouse courte, souillée de boue derrière le dos » → il dors sur le pavé = c'est un mendiant => portrait d'un homme très pauvre vivant dans la rue + vol pour survivre + habits rudimentaires 2- Une femme ( et son enfant) : un carrosse : → « berline noire », « couronne ducale » = nous renseigne que c'est une duchesse à l’intérieur, « deux chevaux gris, deux laquais », « tapissé de damas

L L'homme classique : C'est là que je l'ai vus pour la première fois, assis à la terrasse d'un café comme chaque matin, je me levait, je m'habillais et j'allez prendre mon petit déjeuner au coin de la rue dans ce fameux bar café. Un matin comme tout les autres je le vis arrivé, il se distinguer des autres tant par ça grandeur que par ça démarche lente et pleine de joie, c'est habits toujours très colorés et ça canne noir dont il ne se servait jamais. D'ailleurs il avait l'air jeune, d'une trentaine

décrit le cadre de l’action, en mettant l’accent sur le bruit de la rue (« assourdissante », « hurlait »). Le vers comporte des insistances phonétiques : allitération en /r/ (4), assonances en /u/ et /ou/ (2 fois chaque son) qui imitent par leur dureté (/r/) leur stridence (/u/) ou leur gravité (/ou/) l’atmosphère sonore agressive de la rue. L’effet est amplifié par le double hiatus symétrique du début et de la fin du vers : « rue-assourdissante » (hiatus /u-a/) et « autour de moi-hurlait » (hiatus

par le fait des lois et des mœurs, une damnation sociale créant artificiellement, en pleine civilisation, des enfers, et compliquant d'une fatalité humaine la fatalité, qui est divine ; tant que les trois problèmes du siècle : la dégradation de l'homme par le prolétariat, la déchéance de la femme par la faim, l'atrophie de l'enfant par la nuit, ne seront pas résolus ; tant que, dans certaines régions, l'asphyxie sociale sera possible ; en d'autres termes, et à un point de vue plus étendu encore

Présentation de l'oeuvre Titre : Pragerstrasse (la rue de Prague) Auteur : Otto Dix (1891-1969) Date de réalisation : 1920 Lieu de conservation : Stuttgart, Galerie der Stadt Peinture : Huile sur toile (101 x 81 cm) Genre : Peinture d’Histoire Courant artistique : expressionisme La rue de Prague est une rue commercante où a longtemps vécu Otto Dix. • Analyse de l'oeuvre Ce tableau nous montre la rue de Prague, qui est une grande rue commerçante de Dresde • Au premier plan, on apercoit

un rôle important dans la vie sociale et ont été incontournables dans les projets urbanistiques de nos villes, c’est pourquoi il est nécessaire de les étudier dans leur histoire et leur évolution. La place, du latin « platea » qui signifie « rue large » et public, du latin « publicus » qui signifie « ce qui concerne tout le monde » nous indiquent qu’il s’agit d’un endroit de circulation fréquemment emprunté par la population et capable d’accueillir un grand nombre de personnes. Quel que soit