L'Homme de la rue

Zazie. Elle croit que Gabriel est gardien de nuit. Zazie retourne finalement au lit, Turandot rentre et Gabriel part travailler. Chap 3 : Levé de Zazie, elle va aux toilettes, les apprécies car ils ne sont pas « à la turc ». Puis, elle sort dans la rue. Turandot la rattrape mais, elle crie et dit au gens qu'il voulait qu'elle lui fasse des « choses sales ». Polémique autour de Turandot sur sujet sexuel (satyre). Il en profites au final pour rentrer chez lui, boit trois verres de beaujolais, explique

vainqueur, Léon devient par son âme, le mâle dominé. Le jour du comice agricole, les idées de tout le monde sont endimanchées dans la bouche de Rodolphe et excitent rire, rêverie chez Emma : le trottoir de la rue, vu un jour férié ("la conversation de Charles était plate comme un trottoir de rue, et les idées de tout le monde y défilaient"). La scène du Comice est une symphonie en trois étages, le bétail mugissant et pacifique en bas, l'idée reçue dans sa tranquille innocence. Sur l'estrade, la cérémonie

décès de deux adolescents à Clichy-sous-Bois. La sécurité fait donc partie des préoccupations majeures des Français. La vidéosurveillance est de plus en plus présente dans nos vies, que ce soit dans le bus, le train, les magasins ou même dans la rue. Elle peut être utile pour lutter contre vols et agressions, voire contre la criminalité. Une mère ayant noyé sa fille en novembre 2013 a par exemple pu être retrouvée et pistée grâce à des caméras de surveillance. Des particuliers s’équipent également

Le monde d'aujourd'hui est tourné vers la communication et la consommation. Or, pour développer ces deux procédés, l'homme a créé la publicité comme moyen de diffusion. C'est pourquoi, il est à présent difficile d'y échapper puisqu'elle est visible sur de multiples supports et concerne tous les âges. Ce qui pourrait ressembler à une forme d'invasion dans les aspirations de l'homme. À ce sujet, un sociologue contemporain a écrit que « la publicité est l'ultime violence du monde moderne parce qu'elle

Le Club des Poètes fête son cinquantième anniversaire. Du 19 au 21 décembre, rendez vous au Club des Poètes, 30 rue de Bourgogne à Paris, pour fêter un demi-siècle de poésie, en écoutant les poètes de tous les temps et de tous les pays. 19 décembre 1961 : Jean-Pierre Rosnay, poète, animateur d'émissions de poésie à la télévision et sur France Inter, inaugure au cœur de Paris, à deux pas de l'Assemblée nationale, le Club des Poètes. Il s'agit de « rendre la poésie contagieuse et inévitable ». Depuis

particulier dans le poème : « A une passante » . Dans ce sonnet d’alexandrins à rimes embrassé dans les quatrains , croisé et suivi dans les tercet, le poète rencontre une femme dans la rue, nous dresse sont portrait, puis nous fait par de sa solitude quand elle est partie. Mais le poète ne reste pas extérieur au spectacle de la rue. Il y participe à la recherche de rencontres décisives en quête de symboles. En ce sens, chaque rencontre est importante. On pourrait étudier la rencontre avec la femme, observer

glacial, il se leva l'esprit pas très clair et eu la surprise se voir dépossédé de ses biens et perdu au milieu d'une rue de la ville. Il essaya en vain de se remémorer les évènement de la veille et finit par en conclure qu'il avait simplement du être la victime de quelques crapules de la ville et reprit son innocente déambulation. Tout était si beau, si grand, si illuminé, les rue de Marseille alignées dans une parfaite harmonie comme deux armée se faisant face, il arriva au vieux port et dans l'eau

parce qu’il n’a rien mais parce qu’il ne travail pas». Les nobles pourtant, ne travaillaient pas ; ils n’effectuaient pas d’effort par nécessité. Ils consacraient en revanche leur temps à l’oisiveté, au plaisir et le travail n’était pas une valeur. L’homme pauvre qui travaillait son métier pour subsister était, lui, démunis de toute richesse matérielle; son savoir faire était donc selon le philosophe sa seule richesse. Ceci peut nous emmener à réfléchir à qu’est ce qui fait la richesse d’un homme ?

Au milieu de la rue Saint-Denis, presque au coin de la rue du Petit-Lion, existait naguère une de ces maisons précieuses qui donnent aux historiens la facilité de reconstruire par analogie l’ancien Paris. Les murs menaçants de cette bicoque semblaient avoir été bariolés d’hiéroglyphes. Quel autre nom le flâneur pouvait-il donner aux X et aux V que traçaient sur la façade les pièces de bois transversales ou diagonales dessinées dans le badigeon par de petites lézardes parallèles ? Évidemment, au

Exposé : Doisneau & IzisIntroductionI. Présentation des artistes Robert Doisneau Né à Gentilly en 1912, Robert Doisneau grandit dans un univers petit-bourgeois. Très tôt, il préfère la rue, ses images, bruits et odeurs à son environnement familial. Il découvre en 1931 le milieu artistique chez André Vigneau, qui l’encourage à produire ses propres photos et à se détacher des carcans académiques. S’ensuit une expérience au service Publicité des usines Renault qui se soldera par un licenciement