L'Homme de la situation

physiologique complexe que l’on peut retrouver chez plusieurs mammifères. Il est cependant beaucoup plus développé chez l’homme. On entend ici par physiologie, l’étude des interactions des hommes entre eux et avec leur environnement. Molière dans « le bourgeois gentilhomme » acte 3 scène 2 (doc1), ainsi que Raymond Devos dans « Sans dessus dessous » (doc3) nous exposent des situations où le rire se manifeste. D’autre part le philosophe Emilie Chartier dit Alain dans « Propos » (doc2) et Georges Minois

définition, la condition humaine qualifie la vision que l’homme peut avoir sur sa propre existence par rapport au monde qui l’entoure. C’est-à-dire, comment l’homme perçoit sa place sur la terre. La guerre semble être un évènement particulier dans la vie d’un homme et ainsi change considérablement sa condition, ce qui nous mène à nous poser la question : en quoi la guerre révèle-t-elle, bouleverse-t-elle et modèle-t-elle l’existence de l’homme ? Nous étudierons dans un premier temps, le fait que la

rencontre, avaient chacun de leur côté une intention fondamentale : satisfaire leur faim. La situation qui s’est présentée cependant aurait pu avoir pour effet de les faire dévier de leur objectif de base. Tel ne fut pas le cas. L’issue de leur rencontre nous révèle que leur besoin a bel et bien été assouvi, parallèlement à un processus réel de communication. Cette histoire intéressante témoigne d’une situation particulière où beaucoup d’échanges se sont produits, toutefois sans une communication verbale

L’Homme qui vit en société est soumis à un certain nombre de contraintes qui permettent d’organiser la société dans laquelle il a pris place. Cependant dans quelques cas, certaines situations peuvent être vécues comme des injustices. Comment doit se comporter l’Homme face à ces situations délicates ? Doit-il se révolter ou se résigner ? Au-delà de cette question l’Homme libre peut-il être soumis à des limites ? La liberté de l’Homme peut-elle aller jusqu’à la révolte ou au contraire dans une

l’argumentation indirecte. Donnez le genre du texte. Texte Type d’argumentation Genre du texte Du pédantisme Argumentation directe Essai Esquisse d’un tableau Argumentation directe Essai De la vanité Argumentation directe Essai Disproportion de l’homme Argumentation directe Essai Le nègre de Surinam Argumentation indirecte Conte philosophique L’incipit Argumentation indirecte Conte philosophique L’excipit Argumentation indirecte Conte philosophique 2) Dites en quoi et comment chaque texte est efficace

Le travail n’est-il que servitude ? L’Homme, par nature, est fait pour travailler. En effet, son anatomie, par exemple la forme de ses mains, lui permet les manipulations les plus minutieuses. Ainsi, l’homme travaille depuis toujours, et plus encore de nos jours, du fait de la société capitaliste dans laquelle nous nous trouvons. Celle-ci, motivée par la recherche du profit et l’importance du capital, ne peut être assouvie que par le travail. C’est pourquoi, l’étymologie du mot travail est

qualifier un évènement douloureux, désespérant, dans lequel l’homme se trouve opprimé par une situation contre laquelle il ne peut rien. En littérature, le sens est le même mais est poussé à son paroxysme : « tragique » exprime le sentiment d’une impuissance humaine face à la force du destin. Les thèmes tragiques On parle de registre tragique dès lors que l’homme se trouve douloureusement confronté à une force, à une action, à une situation contre lesquelles il ne peut rien : - - - -

Principes de la Philosophie, Descartes ⇨ Pour lui, l’existence du libre-arbitre est une évidence qui n’a pas besoin d’être démontrée. Nous savons que nous sommes libres car nous le sentons. Descartes est ouvertement catholique et Dieu, ayant créé l’Homme à son image ex nihilo, lui a donné la capacité de choisir librement, soit le libre-arbitre. « Les hommes se croient libres car ils sont conscients de leurs désirs et ignorants des causes qui les déterminent. » Lettre à Schuller, Spinoza ⇨ Pour lui

« L'homme, étant condamné à être libre, porte le poids du monde tout entier sur ses épaules : il est responsable du monde et de lui-même en tant que manière d'être [...]. Ce qui m'arrive m'arrive par moi et je ne saurais ni m'en affecter ni me révolter ni m'y résigner. D'ailleurs, tout ce qui m'arrive est mien ; il faut entendre par là, tout d'abord que je suis toujours à la hauteur de ce qui m'arrive, en tant qu'homme, car ce qui arrive à un homme par d'autres hommes et par lui-même ne saurait

subjectivité Il est nécessaire de supposer la conscience pour rendre compte de l'être humain et de ses productions. La subjectivité est un dépassement (transcendance). Elle est créatrice de ses propres normes. L'homme n'est pas prédéfini. Il se définit par ses actes et ce qu'il fait de sa vie. L’homme n’est rien d’autre que son projet, il n’existe que dans la mesure où il se réalise, il n’est donc rien d’autre que l’ensemble de ses actes, rien d’autre que sa vie. Trop souvent, on se donne des excuses: