L'Homme de la situation

Introduction : Entre 1979 et 2011, la culture américaine change constamment. Chez l’Homme, la guerre, le capitalisme, la quête de soi et la religion transforment sa mentalité par l´illusionnisme des années 1970 puis l’asphyxie par le vide des années 2000. S’accommodant dans l’incertitude, l’Homme réfléchit, il reflète le passé et pressent le futur en ayant comme géhenne son rôle dans l’univers. S’inspirant de ces expériences et des mésaventures ayant bouleversé le monde lors de cette

de souligner l’abomination humaine c’est-à-dire de toujours voir le côté négatif, obscur et non lumineux : « selon Mlle Mercier, critique catholique, d’avoir oublié le sourire de l’enfant >>. Ensuite nous lui reprochons le manque de solidarité, l’homme a tendance à s’isoler car selon les communistes nous partons de la subjectivité pure. Enfin, les chrétiens reprochent de nier la réalité et le sérieux. Ils n’ont aucune philosophie mise à part la croyance de Dieu. Q.3 La vision technique du monde

* Est-ce l’homme qui fait l’histoire ou bien est-ce  l’inverse ? Faire l’histoire, c’est être la cause, l’auteur de ce qui arrive dans le temps, ne pas subir. Si l’homme ne peut échapper à la fuite du temps, à sa temporalité, il semble qu’il est à la différence des choses et des animaux, la maîtrise de ce qu’il fait dans le temps que ce soit au plan individuel ou collectif. C’est d’ailleurs pour cette raison que si tout est dans le temps, l’homme seul aurait une histoire, c’est-à-dire un devenir

sont tant de caractéristiques du monde dans lequel nous vivons et qui sont à atténuer, si ce n’est à faire disparaître, pour assurer le bonheur de l’humanité. Après tout, chacun souhaite être heureux, et c’est dans la quête continue de cet état que l’Homme cherche à progresser, qu’il s’élance frénétiquement sur la voie du Progrès, supposé résoudre tous ses problèmes. Ainsi l’humanité progresse sur le chemin de la science et des avancées technologiques, visant toujours plus loin, avec toujours plus d’ambitions

8B2 Dino Buzzati Ubiquité A. Schéma quinaire Portrait Personnage 1. Situation initiale : le décor est planté, le lieu et les personnages introduits et décrits 2. Complication : perturbation de la situation initiale 3. Action : moyens utilisés par les personnages pour résoudre la perturbation 4. Résolution : conséquence de l'action 5. Situation finale : résultante de la résolution, équilibre final Situation initiale (ligne1 à ligne16) : « Le journalisme une maudite passion » Complication

commencement est reliée à des divinités, à des êtres supérieurs qui auraient donné naissance à l'univers. Cependant, il est difficile pour l'homme de concevoir un être -ou une situation- éternel(le), ayant toujours été « en l'état », sans avoir jamais eu de commencement, car son expérience quotidienne lui présente peu de chance d'être confronté à un tel phénomène. En effet, l'homme considère les phénomènes en les situant dans le temps, en ce que chaque événement a un début, une durée et une fin. Or, raisonner

et pensons. Etant attachée à notre nature, l'opinion pense que cette faculté est innée et accompagne la moindre de nos actions. Or pour Alain, l'homme n'est pas toujours conscient de ce qu'il fait puisqu'il identifie la conscience à la réflexion. Ainsi nos attitudes impulsives comme nos actions habituelles sont-elles dépourvues de conscience. En cela, l'homme ressemble à l'animal. Pour nous amener à embrasser cette définition de la conscience, qui n'est jamais ouvertement déclarée mais simplement

philosophique- semestre I PHILOSOPHIE DE l’INTELLIGENCE ARTIFICIELLE Exposé de l’œuvre de Dreyfus H., « Intelligence artificielle : mythes et limites », Paris, Flammarion, 1984. Chapitre XI / La situation : fonction des besoins de l’être humain PRESENTE PAR PROFESSEUR SOMABE Kokou K. Mawusse kpakpo AKUE ADOTEVI

qu’il procure à nos sensibilités ? En effet, d’après la définition du Robert, l’art est, par les nombreuses œuvres de l’homme, l’expression d’un idéal esthétique ainsi que l’ensemble de ses activités créatrices visant cet idéal. La vérité quant à elle, est la connaissance conforme au réel, au caractère de ce qui s’accorde avec notre sentiment de la réalité. Pour Nietzsche, l’homme s’illusionne sur sa condition au travers de valeurs morales, notamment religieuses, qu’il s’est lui-même crées. Cela

deux personnages, ce qui nous pousse à les juger par rapport à leur situation et non par rapport à leur caractère. De plus, on ne connait pas les noms des personnages, ce qui nous mène à leur attribuer une valeur générale : l’homme représente les pauvres qui sont obliger de voler pour pouvoir manger tandis que la femme représente l’aristocratie indifférente à la misère qui l’entoure. Le narrateur choisit de décrire l’homme en premier, il dresse un portrait détaillé de son physique « maigre