L'Homme de sa vie

Le progrès technique : promesses ou menaces ? L’Homme, pour survivre et évoluer, travaille par l’intermédiaire d’outils artificiels. Des outils qu’il va perfectionner, améliorer. L’Homme crée alors un milieu technique. La technique est aujourd’hui son outil principal qu’il ne cesse de faire progresser. Le progrès a d'emblée une connotation positive, en tant qu'il se donne comme amélioration. Il est synonyme d’évolution, de développement et de croissance, appliqué ici à la technique

n’être que des produits de la capitalisation du monde, les désirs furent et sont un sujet de réflexion pour les philosophes. Le désir est-il la marque de la misère humaine ? Nous verrons d’abord que, source du malheur du monde, les désirs ne font de l’homme qu’un être aliéné. Mais c’est aussi par ces désirs, qui bien utilisés, que l’espèce humaine et chaque individu évoluent. Enfin, chaque individu est porteur de misère humaine car être humain et doté de conscience. La notion de désir s’est souvent

l’instrumentalisation de l’Homme. En effet, il va aller dans le sens de l’opinion publique. Il va ainsi être un pantin et donc instrumentalisé par la société. Le but de cette question est que si l’on voit cette conscience comme un poids, c’est parce qu’elle a une valeur morale. Comment la conscience morale est-elle un obstacle si la liberté est définie comme une absence de contrainte ? Pourquoi avons-nous le besoin d’avoir une conscience pour être libre ? Et pourquoi l’homme peut-il une vie animale et en

  L’homme, c’est l’animal humain, est-il affirmé ici. Ce qui le différencie des autres animaux est-il pour autant simplement naturel ? Voici deux ouvrages, l’un d’un philosophe écossais consacré, aujourd’hui âgé de plus de 90 ans, connu du public français pour un ouvrage d’éthique très commenté, Après la vertu, l’autre d’une jeune philosophe française tournée vers la philosophie analytique. Tous deux entendent reconsidérer nos concepts d’homme et d’animal à la lumière des recherches en éthologie

comparable la lutte pour la vie,une nécessité qui ne permet pas à l'homme d'accomplir son humanité. L'entrée dans le monde du travail, c'est donc la fin de la liberté sous sa forme légère, adolescente, tandis que tombent sur nos épaules poids écrasant de la nécessité économique. Ce genre d'opinion fataliste est très largement partagée par les élèves au lycée. Elle imprègne aussi la mentalité commune. Pourtant, cet argument ne suffit pas. Il laisse penser que la vie pourrait avoir un sens uniquement

se demander dans quelle mesure la conscience et les lois morales semblent offrir à l'homme une liberté alors ignorée? Pour cela nous verrons que Kant s'interroge tout d'abord sur la question de soumission de l'homme au déterminisme naturel où il met en scène un homme qui affirme être déterminé par son désir et qu'il confronte à la mort pour servir son argumentation. Kant, dans un second temps se demande si l'homme en ayant conscience du bien et du mal peut être libre ; pour cela il met en scène un

DISSERTATION «La philosophie prépare-­t­-elle bien à la mort?» Anticiper l'avenir, on se laisse dire que c'est le privilège de l'homme. Est­-ce ou non restrictif, toujours est­-il que de la créature que nous connaissons le mieux, c'est-­à­-dire nous-­mêmes, nous avons au moins le moyen de le constater: notre appréhension du temps nous octroie la conscience que l'ultérieur existe, et la faculté de lui prêter les contours que notre esprit déductif devine, ou que notre imagination dessine, selon

L’ODYSSÉE DE LA VIE D’où vient l’humanité? «La foi n’a pas besoin de preuve, elle doit même la regarder comme son ennemie.» Kierkegaard Comment est venue la vie sur Terre? D’où venons-nous? Où allons nous? Est-ce que ce sont les découvertes de la science, qui fait que des «anciens miracles» sortent à la chaîne des laboratoires, remettent en cause la condition humaine? La biologie moléculaire et l’irruption du clonage a amené aussi l’homme à se poser la question: qui sommes-nous? Le XIXe siècle

nature ou à cause de la vie sociale ? La violence trouve-t-elle ses causes en nous, dans la nature humaine ou se trouvent-elles en dehors de nous, dans l'organisation de la vie sociale ? On pourrait être tenté de dire qu'elle peut venir à la fois de l'une et de l'autre. Seulement, l'une ne provoque-t-elle pas l'autre ? L'une n'est-elle pas derrière l'autre ? Mais laquelle ? De deux choses l'une : ou bien l'homme est violent parce qu'il est disposé par nature à la violence, la vie sociale ne lui fournissant

Alors de quelle manière « apprend-t-on » à vivre ? La vie n’est-elle pas innée ?Tout dépend du sens que l’on lui donne. Il y a deux façon d’interpréter le mot « vivre » , le premier étant évidement le sens scientifique, la vie est le propre de l’être-vivant et elle est innée, on ne la choisit pas. Mais on peux aussi de parler de la vie comme l’acte de vivre en lui-même, la conscience d’être vivant et le sens que l’on veux donner à notre vie, aussi appelé le « savoir vivre ». Le savoir vivre s’apprend