L'Homme de sa vie

affirmait en son temps que «  la vie est l'ensemble des fonctions qui résistent à la mort « . Dans ce sens, on peut penser que la vie est pluriel, qu'il existe de ce fait, différentes manières de l'appréhender. Le sens le plus commun, reste celui de la vie biologique, le sens de 'ce qui est vivant '. Mais, de cette idée même de vie biologique, il apparaît autre chose. De cette science qui se veut exhaustive, il apparaît une part d'inconnue. Cette biologie qui donne à la vie humaine toute sa rationalité

l’agressivité de l’homme. Freud utilise une logique scientifique qui s’articule en trois parties : un raisonnement scientifique, une problématique et une conclusion. Du début jusqu’à la maxime « l’homme est un loup pour l’homme », Freud justifie son raisonnement par des références explicites sur la nature agressive de l’homme. « L’homme n’est pas un être doux, …, il compte parmi ses aptitudes pulsionnelles,…, (un) penchant à l’agression ». L’homme est une menace pour l’homme. L’homme est non seulement

L’homme a un penchant à s’associer, car dans un tel état, il se sent plus qu’homme par le développement de ses dispositions naturelles. Mais il manifeste aussi une grande propension à se détacher (s’isoler), car il trouve en même temps en lui le caractère d’insociabilité qui le pousse à vouloir tout diriger dans son sens ; et de ce fait, il s’attend à rencontrer des résistances de tout côté, de même qu’il se sait par lui-même enclin à résister aux autres. C’est cette résistance qui éveille toutes

L'homme, a-t-il besoin d'une religion?   L'homme peut croire en Dieu ou non, mais en tout cas il se considère comme un être spirituel et éthique qui a besoin d'enrichir sa vie de sens car l'existence seule ne lui suffit pas. Grâce à son envie de se surpasser tout le temps, on estime l'homme un être qui tend vers la transcendance. En effet, la religion se montre comme un chemin qui mène vers le transcendant cependant, pour la prendre il faut se soumettre aux certaines lois, règles et restrictions

Christianisme, Dieu a créé l'Homme à son image. Cela signifie que d'avant d'être créé, l'Homme existait dans la pensée de Dieu. L'essence (l'idée) a précédé l'existence (le fait d'être). De même, lorsqu'un architecte construit une maison, il a d'abord la maison dans sa tête et sait précisément ce qu'il construit: là encore l'essence précède l'existence. Mais pour l'existentialisme, courant philosophique né au XIXème siècle avec Kierkegaard, il n'y a pas de Dieu. L'Homme n'existe donc pas à l'état

idéologique : La renaissance met l’homme au centre des préoccupations, sans pour autant nier Dieu. ← Sur le plan artistique  Certains artistes sont autorisés par la loi ; Rubens et Michel-Ange. Toutes leurs peintures sont axées dans un esprit de beauté. ← Sur le plan des lettres Les humanistes mettent les esprits en contact avec les œuvres antiques qui prônent l’exaltation de la nature humaine, l’inexistence de Dieu et le bonheur terrestre de l’homme. Ils provoquent une remise en question

autrement dit, l’homme souffre de l’absence de quelque chose qui à ses yeux lui parait nécessaire, utile ou souhaitable. Or ce sentiment de manque peut le conduire à ressentir une frustration, car il imagine que sa vie serait meilleure si son désir se réalisait. Or cette frustration l’empêche d’être satisfait de son sort. Si l’on poursuit le raisonnement on finit donc par déduire que c’est la sensation de manque et la frustration qui en découle qui est à l’origine des tourments de l’homme, qu’il soit

La philosophie permet elle de mieux vivre, d’accéder plus facilement au bonheur ? On entend souvent dire qu’il faut être philosophe dans la vie, qu’il faut « prendre la vie avec philosophie ». Cette expression semble nous faire comprendre que la philosophie pourrait grâce à la sagesse et la sérénité qu’elle apporte nous permettre de mieux vivre. Cependant la philosophie reste parfois un simple discours et les philosophes n’ont pas pour premier objectif de mieux vivre. Nous pouvons donc

désirs? La question ouvre une réflexion essentielle sur l'homme puisque le désir est au cœur de celui-ci. Nos désirs seraient-ils quelque chose dont nous devrions avoir peur? Représenteraient-ils une sorte de monstre effrayant dont il faudrait se méfier? Dans l'opinion commune les désirs de chaque hommes sont plutôt dirigés vers un idéal que l'homme se fixe à atteindre pour son bien-être, autrement dit les désirs visent à rendre l'homme heureux .Mais ne serions-nous pas en droit de douter de l'entière

Note : 16/20 Le travail améliore-t-il la vie ? "Le travail [...] constitue surtout le but même de la vie, tel que Dieu l'a fixé. Le verset de saint Paul : « Si quelqu'un ne veut pas travailler, qu'il ne mange pas non plus» vaut pour chacun, et sans restriction» Max Weber dans cet extrait de L 'Éthique protestante et l'esprit du capitalisme (1904) énonce les différentes valeurs du protestantisme. En effet, au XVI ème siècle, la réforme de Calvin et Luther rejette l'Église Catholique et fonde