L'Homme de sa vie

I: La religion qui aliène l’homme Le rapprochement par Karl Marx du concept de croyance religieuse avec l’idée d’engourdissement exacerbé par l’opium laisse supposer que la religion peut être perçue comme une des formes d’aliénation de l’homme. L’aliénation se définit comme l’asservissement d’un individu suite à des contraintes extérieures et qui amènent à l’altération de ses capacités de réflexion. La religion serait donc un vecteur d’”abêtissement” de l’homme en ce sens où elle instaure par

nous ignorions ou dont nous n’avions pas pleinement conscience). Quelques précisions sur l’amitié selon Aristote : - Trois sortes d’amitié selon Aristote : 1. Selon le plaisir : amitié qui nous fait du bien dans le sens où elle nous rend la vie belle. Nos amis nous paraissent agréables et c’est pour cette raison que nous les fréquentons. 2. Selon l’utilité : Aristote prend l’exemple des jeunes et des vieillards. Les vieillards ont besoin des jeunes, ils vont donc développer de l’amitié

PHILOSOPHIE Le travail désigne cette activité spécifique, consciente et volontaire de l’homme par laquelle il met en mouvement les forces dont son corps est doué afin de s’assimiler des matières en leur donnant une force utile à la vie. Le travail n’a pas de finalité en soi, mais vise toujours un but hors de soi. Le travail est utile, la pénibilité du travail s’oppose à l’activité ludique qui n’a d’autre finalité que le plaisir que l’on y prend. D’après Voltaire « Le travail nous libère de trois

culture et de sa religion mais sont différentes sur l’espèce humaine que sur les autres vivants. La bioéthique limite ces interventions, mais elle n’est pas fixe, ni fiable. La connaissance limite aussi l’homme, cependant elle avance considérablement chaque jour, reculant de plus en plus la limite. L’homme réalise enfin un de ses rêves de l’antiquité, pourquoi se couperait-il l’herbe sous le pied ? La limite de l’intervention sur le vivant dépend de la manière dont la société juge celle-ci et si

science, en la différence entre les faits et les valeurs, nous avons la conscience d’être historiques, nous croyons au temps qui passe plutôt qu’à l’éternel retour cyclique. Nous séparons les choses : l’individu et la communauté politique, la vie privée et la vie publique, la religion et l’État, les représentants et les représentés, mais nous réunissons également les diversités. Pour finir, nous réfléchissons aux problèmes de notre temps. Voici les traits de la modernité. Toutefois, il existe différentes

les plantes par la culture, et les hommes par l'éducation. Si l'homme naissait grand et fort, sa taille et sa force lui seraient inutiles jusqu'à ce qu'il eût appris à s'en servir ; elles lui seraient préjudiciables, en empêchant les autres de songer à l'assister ; et, abandonné à lui même, il mourrait de misère avant d'avoir connu ses besoins. On se plaint de l'état de l'enfance ; on ne voit pas que la race humaine eût péri, si l'homme n'eût commencé par être enfant. Nous naissons faibles

PhilosophieRenotteTle 5 Selon la doctrine hédoniste, le but de la vie résiderait dans le plaisir. De plus, selon certains philosophes, le but de la vie pourrait être également dans la réalisation de nos désirs. L’accomplissement de ceux-ci et les plaisirs dont l’Homme pourrait jouir seraient donc des moyens d’accéder au bonheur. Cependant ce bonheur sera-t-il éternel ? Lorsque son désir est accompli, l’Homme est par la suite à la recherche d’un autre pour compenser le manque de l’ancien

entre Dieu(x) et les hommes revenir sur soi traduisant ainsi un sentiment de scrupule ou d’inquiétude La religion ne relie pas forcément l’homme à Dieu ou aux Dieux mais au sacré dans son ensemble Questionnement Comment l’idée de Dieu et de la religion a t-elle pu germer dans l’esprit des hommes ? Quelle en est leur généalogie ? Comment l’homme parvient-il à se fabriquer des Dieux ? La question de Dieu ne relève t-elle pas d’un pari ou d’un engagement ? Dieu existe t-il ? Peut on

dans les biens particuliers, bien qu'il puisse se réaliser à travers eux. Le bonheur est auto suffisant achevé et a un caractère fonctionnel. Il ne dépend pas que de l'homme mais aussi des circonstances extérieures. Aristote ne voit pas le bonheur comme une émotion ressentie pendant une courte durée mais plutôt comme un mode de vie rationnel et vertueux. De manière générale on estime qu'il y a du «bonheur» quand tous les désirs de l'individu sont comblés, et cela de manière continue dans le temps

non plus un point de départ mais bien un résultat, d’autre part en distinguant conscience et pensée et enfin en ramenant la conscience à une sorte de béquille sans laquelle l’homme n’aurait pu survivre. C’est ainsi qu’il soutient la thèse selon laquelle, le développement de la conscience n’a pour origine que la faiblesse de l’homme, faiblesse qui l’a contraint à se regrouper, à se rassembler. Et c’est dans ce rassemblement même pour la survie que la conscience a comme émergé et cela afin seulement de