L Homme En Tant Qu Homo Faber Arendt

de dissert) production de toute nature, et elles relèvent toujours d’un effort et d’une compétence, d’une habileté. Nous allons développer dans une société des compétences multiples qui vont donner les métiers et chaque homme s’intègre à la société en tant que travailleur, en tant qu’homme habile dans un domaine, reconnu par les autres. On voit apparaître une relation de double dépendance, le travailleur dépend de ceux pour lesquels il travail, mais nous (citoyens) nous dépendons de ce qui travaillent

________________11 Ce qu’on possède nous possède ____________________________________________11 L’aliénation par la nouvelle organisation du travail (Marx) ________________________ 12 5. Quand l’homme est enfin libre, il est devenu un esclave (Arendt) __________________ 13 6. Technique et politique _______________________________________________ 13 III. Technique, histoire et vérité ___________________________ 14 A. Histoire et progrès technique _______________________________ 14 B. Technique

ses réponses novatrices à l’organisation du pouvoir politique La nécessité d’une Constitution rigide. Pour Sieyès la Constitution est un ensemble de règles qui visent à matérialiser la volonté de la Nation, ce qui n’est rien d’autre que l’Etat en tant que personne morale. L'Etat est un établissement public selon Sieyès. L'Etat n’est que la matérialisation de la volonté de la Nation. l'Etat n’est qu’un ensemble de moyens ; il faut distinguer l’espace du pouvoir qui créé la Constitution de l’espace

l’être humain a la plus grande capacité possible, pour lui tout élargissement va être vécu comme un accroissement de ses possibilités de vie. Pour Marx l’idéal est de développer toutes les compétences dont il est potentiellement porteur, devenir un homme total. Pour Marx la spécialisation du travail est une amputation de leur possibilité de vie ; c’est un appauvrissement. Selon Aristote l’être humaine est le plus vivant des êtres, encore faut-il qu’on lui donne la possibilité d’exercer des activités

Sur l’antisémitisme[modifier] Hannah Arendt analyse dans ce livre l’émergence de l’antisémitisme politique, à la fin du xixe siècle, inédit par rapport aux sentiments antijuifs qui le précédaient. Elle détaille le rôle joué par l’émergence des États-nations modernes et l’émancipation des Juifs. Selon elle, l’assimilation des Juifs a exigé d’eux qu’ils soient « exceptionnels » : la fin de siècle a transformé le judaïsme, religion et nationalité, à caractères collectifs, en judéité, à caractère de

qu’il l’a éprouvé. Le bonheur est donc pour résumer : une activité, la fin la plus digne d’être poursuivie, en vue de laquelle tous nos actes sont accomplis, il n’est jamais désirable en vue d’autre chose. C’est pourquoi il est le « sommum bonum » en tant que réalité complète car l’ajout d’un autre bien ne saurait le rendre plus désirable, à moins que l’ensemble formé par le bonheur et cet autre bien ne paraisse encore plus désirable. « L’eudemonia » est le bonheur propre à l’homme, il est donc une

La production de l’autonomie Sociologie et politique Lectures par Jean Zin Individu et société, autonomie et démocratie de marché. Norbert Elias, La société des individus 1 Hannah, Arendt, Condition de l’homme moderne 5 Marcel Gauchet, Le désenchantement du monde 9 Marcel Gauchet, La religion dans la démocratie 13 Alain Ehrenberg, La fatigue d’être soi 17 Claude Lefort, La complication 23 Cornélius Castoriadis, Le projet d’autonomie 31 Michel

dans les mots et les choses. consacrés à l’éthique des affaires, à la responsabiL’homme moderne est avant tout homme d’ac- lité sociale des entreprises. Les sursauts éthiques tion, Homo faber, il vibre sur la brèche béante n’ont eu en effet de cesse de se multiplier dans la entre passé et avenir. Et pourtant, comme le sou- sphère économique. Qu’il s’agisse de lutter contre ligne Hannah Arendt (1959), l’homme moderne la corruption, de protéger l’environnement, de ne peut vivre de la seule présence du

pour source la production, elle caractérise avant tout les sociétés modernes. On peut en effet s'accorder pour estimer que ces sociétés sont celles qui reposent à la fois sur la double reconnaissance des droits de l'individu et de la production en tant que source de la richesse. Par un hasard de l'histoire, c'est sans doute l'année 1776 qui symbolise au mieux une telle rencontre. Elle a vu naître, à la faveur de l'indépendance des États-Unis, les premières déclarations des droits de l'homme, ces

permette de faire la distinction entre le naturel et le culturel, où passe la limite dans quelles mesures pouvons nous affirmer que l’homme ne vit pas intégré dans l’ordre naturel mais dans un environnement culturel fabriqué par lui-même ? Certes, en tant que vivant parmi les vivants, l’être humain appartient à la nature (il naît, il croît, il meure, il se nourrit, il se reproduit.) Mais le naturel chez l’homme semble toujours l’objet d’une élaboration seconde au sens où il est constamment transformé