L Homme Est Il Esclave Du Progres Technique

LE TRAVAIL, L’ART ET LA TECHNIQUE Par son travail l’homme produit des objets beaux ou utiles. On oppose souvent (depuis Aristote) la technique qui fabrique des objets utiles à l’art qui fabriquerait des objets beaux. Lors du procès Brancusi cette distinction est discutée. La première question qui sera posée sera celle de l’identification de la notion d’art. Un critère est nécessaire pour distinguer ce qui est de l’art de ce qui n’en n’est pas. La différence spécifique pourrait être esthétique

période moderne - développement du mercantilisme -la religion n’a plus d’influente sur la vie et la pensée écoq -l’influence de la pensée po se développe -richesse = puissance du souverain -progrès technique ( transports , imprimerie métallurgie) -apogée de l’Europe -les marchands utilisent des techniques commerciales ( compta, assurance, banques) -commerce extérieur=moyen d’enrichir le royaume -plus d’exportation et moins d’importation 3/L’école classique et les débuts de la pensée scientifique

Lumières a) L'unité de l'humanité et la raison b) Culture, civilisation et progrès 3) Les difficultés du modèle des Lumières  : logique évolutionniste et ethnocentrisme II) Le sens de la culture : Conception anthropologique et relativisme culturel 1) L'approche des sciences humaines a) Culture et société b) Puissance de la culture & diversité des cultures : Le relativisme culturel 2) Critique de l'idée de progrès 3) Les difficultés du relativisme culturel III) Le sens de la culture

en proposant une nouvelle lecture du temps. LA naissance de la République marque aussi le début d'une nouvelle ère, caractérisée par l'avènement des lumières, la valorisation du progrès. → la politique de déchristianisation vise à débarasser la société de la religion considérée comme obsucrantiste et hostile au progrès de l'humanité. → dans le même sens : la « révolution des prénoms », le succès étant limité puisque 10% des enfants seulement adoptent un prénom révolutionnaire. Dans cette volonté

bien que distincts ne sont pas néanmoins sans rapport. On parle tout autant de « puissance » à propos de quelque chose permettant une production d’énergie . C’est ce que l’on retrouve dans l’industrie et le savoir-faire technique. Par exemple, un moteur peut être qualifié de « puissant » si son rendement et l’énergie dégagée sont proportionnellement plus importants que ceux de ses concurrents . Ainsi, la puissance est toujours relative

La technique. Faut-il définir l’homme comme cet animal vulnérable et démuni qui n’a pu survivre que grâce à la fabrication « d’objets artificiels » ? La technique ne fait-elle qu’imiter la Nature ? Ou bien une technique fondée sur la connaissance rationnelle des lois de l’Univers peut-elle nous rendre « maîtres » du monde ? La technique de l’âge industriel est-elle, par essence, « aliénante » ? Ou manifeste-t-elle l’être caché de la Nature ? Est-elle un mode d’accès à la vérité ? Dans le mythe de

de passions, et se suffisant à lui-même, n’avait que les sentiments et les lumières propres à cet état, qu’il ne sentait que ses vrais besoins, ne regardait que ce qu’il croyait avoir intérêt à voir, et que son intelligence ne faisait pas plus de progrès que sa vanité. […] » L’homme à l’état naturel serait bien mieux que l’homme socialisé. La nature lui est donc bénéfique. L’homme à l’état naturel ne parle pas. Il vit individuellement sans dépendance aux autres par conséquent aucune guerre n’est faites

mythes fondateurs. Ces tribus ne construisent pas de frises chronologiques. Les tribus paléolithiques vivent selon ces mythes fondateurs. La société se renouvelle à chaque génération avec ces mythes : recommencement. Pas de notion d’évolution de progrès, elles ne réfléchissent pas selon ça. Sociétés qui ont un rapport au monde symbolique : religion animiste (tous les éléments de la nature ont un esprit). Ils ne considèrent pas la société comme un stock de ressources renouvelables, c’est un stock

l’agriculture, il y a quelque dix mille ans. Est-ce la nécessité, après une réduction de la faune et du gibier, qui l’oblige ainsi à cultiver pour se nourrir, donc à se sédentariser2 ? Ou bien s’agit-il d’un choix raisonné, d’un projet social pour cet homme du néolithique qui, affranchi de la terreur divine, aborde désormais la nature non plus en victime mais en producteur3 ? Quoi qu’il en soit, la sédentarité change tout : elle amorce une forte expansion démographique, la population mondiale passant

les conditions de travail à l'usine ainsi que le point de vue de Simone Weil qui essaie de trouver des solutions afin de résister et de vivre dans de meilleures conditions de travail. I Le sentiment d'esclavage des ouvriers Les ouvriers sont esclaves de leurs conditions de travail non seulement parce qu'elles sont insupportables car énormément pénibles, dangereuses et difficiles mais ce sentiment d'asservissement se ressent aussi par le fait qu'on les considère comme des machines et qu'ils n'ont