L Homme Est Il Un être Conscient

de juger nos propres actions. Il est vrais, en effets ,que nous sommes conscient de la plupart de nos actes, par exemple , lorsque l'on regarde un pilote ou un simple conducteur effectuer les mouvements de volant changer les vitesses on a l'impression qu'il est conscient de ces actions ou encore nous même pour allumer notre télévision , utiliser un telephone ou encore construire un meube IKEA. Mais, vous souvenez vous etre tomber volontairement du lit, un somnenbules a t'il conscience des actions

désirer serait une tendance consciente vers un objet jugé agréable. Tout désir apparaît donc a la conscience. Spinoza écrit même dans l’Ethique : ‘’ le désir est l’appétit avec conscience de lui-même’’. A la différence du désir , subjectif et conscient , le besoin est jugé objectivement nécessaire. Le besoin est donc généralisé chez tout les êtres vivants alors que le désir qui rattache à la conscience , à la pensée serait donc spécifique à l’homme. Du latin esse, « être » , l'essence d'une chose

peut bien fonder la conscience qu’a un être humain d’être, d’un bout à l’autre de sa vie, la même personne (une et même), d’être, pour reprendre les termes du texte, « le même que soi », d’être un « soi-même ». Qu’est-ce qui fonde l’identité personnelle et donc la personne ? A cette question, Locke répond : la conscience suffit à elle seule à fonder l’identité personnelle et donc la personne elle-même. Ce qui veut dire que la personne ne suppose pas un « être » caché au-delà des apparences, comme

ce qui peut bien fonder la conscience qu’a un être humain d’être, d’un bout à l’autre de sa vie, la même personne, d’être, pour reprendre les termes du texte, « le même que soi », d’être un « soi-même ». Qu’est-ce qui fonde l’identité personnelle et donc la personne ? A cette question, Locke répond : la conscience suffit à elle seule à fonder l’identité personnelle et donc la personne elle-même. Ce qui veut dire que la personne ne suppose pas un « être » caché au-delà des apparences, comme par exemple

Faut-il être sincère ? L’Homme exerce sur lui-même et sur ses semblables une contrainte constante, en effet celle-ci prend la forme d’un pouvoir indirect. Ce phénomène est régit par l’ensemble des normes et des valeurs présents dans notre société, nous pourrions donc parler du masque social que chaque être doit endosser pour devenir une personne rentrant dans ces « normes ». Ainsi se pose dans le domaine de la philosophie la question primordiale de la sincérité que nous pouvons définir de deux

« L’inconscient est ce chapitre de mon histoire qui est marqué par un blanc ou occupé par un mensonge. » de Jacques Lacan :Extrait du Fonction et champ de la parole et du langage en psychanalyse. Nous avons tous en nous, Homme, ce sentiment d'être en vie, nous avons la possibilité de faire les choses, d'en profiter, d'être heureux. Toutes ces choses seraient futiles si il nous était impossible de les capter, d'en profiter, de les ressentir au plus profond de soi. Sans ça, la vie n'aurait aucunes

au sens de vigilance psychique. L'inconscience met en évidence la baisse de la vigilance : c'est un état physique et mental lié au fonctionnement du corps. Ainsi le sommeil est un état inconscient. La conscience culmine chez l'homme : en effet, cet être vivant ne se borne pas à sentir, percevoir et agir ; il sait qu'il sent, perçoit et agit. L'être humain s'avère capable de réflexion sur soi. La conscience réfléchie n'appartient qu'au sujet pensant doté de raison. Dans cette perspective ne serait-il

avoir un impact considérable sur nos vies. Mais pourquoi l’ « homme charnel » décide-t-il de vivre sa vie dans l’excès ? L’ « homme charnel » comme le nomme KIERKEGAARD, est décrit comme l’homme qui profite, mais de façon trop extrême à la vie, la pensée de la mort le projette dans une optique de vie sans limites. Cette perspective le pousse a s’adonné à tous les désirs, naturels, comme vains, L’ « homme charnel » pourrait alors être considéré comme un bon vivant, en proie à l’hédonisme, recherchant

En quel sens peut-on dire que l’homme n’est pas un être naturel ? L’homme est un être naturel parmi les autres. Le terme de nature renvoie à ce qui existe spontanément, à ce qui est originel, ce qui préexiste à l’homme : elle n’est pas seulement un ensemble de choses, mais un principe de production des choses. L’homme appartient au règne du vivant et est soumis aux lois de ce règne, en effet, il doit répondre à des besoins biologique: manger, dormir, se reproduire tout comme les animaux. Cependant

Qu’est-ce que le moi ? La question semble suggérée que le « moi » possède un problème de définition. Quel type de réponse donnée à cette question ? Lorsque l’on rencontre une question de type « qu’est-ce que », la bonne réponse semble être de proposer une phrase qui explicite le terme en question, et définir signifie donner le genre de la chose, l’espèce et la différence ultime : cf Aristote et sa logique. En effet pour A. chaque chose a une espèce commune et celle-ci provient du genre par différence