L Homme Est Naturellement Bon

la mort, nous et nos œuvres », pareil pour les mots. -Toute forme de poèmes (métrique) a son genre. -« Que chaque sujet garde donc le ton qui naturellement lui convient. » -« Il ne suffit pas que l'œuvre poétique soit belle ; elle doit être émouvante et conduire où il lui plaît l'âme du spectateur ». Naturellement, le bon acteur doit dire des paroles qui s'accordent à l'air du visage ; « tristes dans l'affliction, menaçantes dans la colère, badines dans l'enjouement, sérieuses

néanmoins il sous-entend que cela peut risquer de rendre l'individu intempérant, mais au final c'est pour son bien, et donc il n'y a pas à en avoir peur. Freud adopte un point de vue assez proche quant à la crainte sur les désirs, en effet chaque homme a pour but d'être heureux, ils recherchent tous cela, cependant il existe deux façons d'y parvenir : la première consiste à éviter toute douleur et privation de joie, et la seconde s'effectue par une jouissance très brève. C'est dans son œuvre « malaise

Le sujet remet en question l’affirmation de Plaute, reprise notamment par Hobbes, selon laquelle l’homme est un loup pour l’homme. Il s’ensuit ainsi une remise en cause de la violence dite « naturelle » de l’homme. L’homme est-il naturellement bon ? Est-il naturellement mauvais ? Sa bonté et sa violence ne naissent-elles pas de sa vie en société ? PLAN : I / L’HOMME EST UN LOUP POUR L’HOMME : LE BESOIN DE SATISFAIRE SES INSTINCTS. -L’adage plautéen homo homini lupus a été repris par Hobbes

n’est jamais assez fort pour être toujours le maître, s’il ne transforme sa force en droit et l’obéissance en devoir »[25]. « Convenons donc que force ne fait pas droit, et qu’on n’est obligé d’obéir qu’aux puissances légitimes (...) Puisque aucun homme n’a une autorité naturelle sur son semblable, et puisque la force ne produit aucun droit, restent donc les conventions pour base de toute autorité légitime parmi les hommes »[26]. La fin de tout système de législation « Si l’on recherche en quoi

 Thomas More : - Humaniste anglais - avocat, homme politique ( conseiller du roi Henri VIII ) Utopia = « u » qui n’existe pas, bonheur « topos » lieu, l’endroit. Récit: de voyage sur une île - fait l’éloge de ce monde - blâme la société (critiquer) - les deux monde sont comparés Point méthode sur l’argumentation : - Les types de raisonnement: Inductif : (souvent utilisé) On part de l’observation et on aboutit à un loi générale Déductif : On part du général et on

paroles. En effet on peut être absolument bon, c’est-à-dire moral, tandis que la bonne foi est seulement relative à autrui. Le verbe pouvoir peut faire ressortir deux grands sens qui sont la capacité physique : on se demande si on a la possibilité, et la capacité morale : est-ce bien ou mal ?, en allemand les verbes können et sollen permettent de séparer ces deux interprétations du verbe pouvoir. D’un point de vue moral, il semble clair qu’être de bonne foi est bon : on ne cherche généralement pas le

biais du langage, de lhumanit de lhomme. Enfin, lhomme occupe une place particulire dans la nature, par le simple fait quil est conscient dtre soi, homme, occupant une place particulire dans la nature. Je suis homme, et rien de ce qui est humain ne mest tranger, crit Trence dans lHeautontimoroumenos. Nest-ce pas l un sentiment propre chaque homme que de dsirer se blottir dans une humanit bien douillette qui se voit comme le centre du monde, pour viter davoir imaginer les vides infinis dont lUnivers

tout cela, nous ne possédons pas la science médicale; car nous ne savons pas quel est le bon remède dans chaque cas particulier, comme le médecin qui sait à quel malade ce remède est bon, dans quelles dispositions du malade il doit l'administrer, et à quel moment, toutes connaissances qui constituent la vraie science de la médecine. Ainsi donc, tout en sachant d'une manière absolue et générale ce qui est bon pour la santé, nous n'avons pas cependant la science médicale ; et nous ne la portons pas

ne peuvent en déroger. En ce sens , la liberté de l'homme est elle accordée ? Si le souverain estime par exemple qu'une décision est juste, qu'en est il de l'avis des hommes ? Finalement, le « cogito ergo sum » de Descartes démontre bien que chaque homme a une pensée personnelle et donc différente d'autrui, ainsi la seule chose dont on sait c'est qu'on pense donc qu'en est : pas qu'on peut savoir ce que pense autrui; et donc comment serait il possible qu'un souverain puisse gouverner un État en pensant

besoins et aux aisances de la vie, d'une part bien plus grande que celle qu'aucun sauvage pour­rait jamais se procurer. Les causes qui perfectionnent ainsi le pouvoir productif du travail et l'ordre suivant lequel ses produits se distribuent naturellement entre les diverses classes de personnes dont se compose la société, feront la matière du premier livre de ces Recherches. Quel que soit, dans une nation, l'état actuel de son habileté, de sa dextérité et de son intelligence dans l'application