L Homme Est Un Animal Qui Kant

L’existence précède l’essence II. Le procès de civilisation A. La culture comme éducation de l’homme par la société 1. La perfectibilité, condition de toute culture (Rousseau) 2. Le conflit est le moteur du développement culturel (Kant) 3. Le développement culturel, progrès ou régression ? B. La culture est édifiée sur du renoncement pulsionnel 1. Le malaise dans la culture (Freud) 2. Répression et révolution (Marcuse) III. Culture particulière et culture universelle

l’inégalité, explique que sans pitié, l’homme ne serait plus là aujourd’hui. En effet, la pitié est un sentiment instinctif : on se met à la place de l’autre. C’est pourquoi il peut arriver qu’on porte secours sans réflexion. Par exemple, si je vois un homme se faire attaquer par un loup, je vais, par pitié, essayer de le défendre. Or l’humanité c’est aussi savoir éprouver de la pitié pour son semblable. Ainsi, sans pitié et donc sans humanité, l’homme ne serait plus là. On tend alors vers l’idée d’humanité

jeune homme commencera son éducation en apprenant ce que c’est que la culture, il n’apprendra pas ce que c’est que la vie, à plus forte raison, il ignorera l’expérience de la vie. Cette science de la culture sera infusée au jeune homme sous forme de science historique, c’est-à-dire que son cerveau sera rempli d’une quantité énorme de notions tirées de la connaissance très indirecte des époques passées et des peuples évanouis et non pas de l’expérience directe de la vie. Le désir du jeune homme d’apprendre

ramener à un état de nature. L'essentiel de l'homme chez Rousseau apparaît grâce au mythe, c'est comme ça que Rousseau pense l'homme de l'état de nature et va le décrire par contraste de l'homme de la société que Rousseau observe autour de lui. Cet homme dans l'état de nature vit de manière harmonieuse, il semble être sans vice et sans vertu, il vit seul, ne communique pas. Rousseau suppose que chacun exprime seulement son propre choix sans que les uns et les autres s'influencent mutuellement ce qui

. . . . . . . . . . 14.3.3 Y-a-t-il des inégalités justes ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . 15 L’Etat 15.1 Origine de la société et de l’État . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 15.1.1 Faut-il distinguer la société humaine de la société animale ? . 15.1.2 L’homme est-il naturellement sociable ? . . . . . . . . . . . . 15.1.3 La société est-elle une construction artificielle ? . . . . . . . . 15.2 Société et nécessité de l’Etat . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 15.2.1 Peut-il y avoir

* Pascal : * « le moi est haïssable » (amour propre) * Kant :  * « le mal est l’aiguillon de l’activité » (nécessaire à l’homme) * « le monde tend vers l’harmonie » * Ricœur : * « le mal : racine commune du péché et de la souffrance » * Aristote : * « l’homme est un animal politique » * Saint Augustin : * cité dépravé de l’homme / cité divine (harmonieuse) (homme condamné au mal) * « péché originel » (Femme et tentation ex :

nature". La culture au contraire : - est chronologiquement postérieure, - elle construit un monde de valeurs qui n'existent pas naturellement, valeurs éthiques et esthétiques, recherche de la vérité, et substitue à la simple survie animale, la notion d'une existence humaine qui tend à se construire elle-même sa propre signification; - se caractérise par son historicité, même quand elle comporte une prétention (ou une illusion ?) d'éternité; - elle est le résultat d'une élaboration

la notion – une première définition La notion de société désigne en premier lieu tout groupement d’individus, dépendant les uns des autres et agissant selon des schèmes communs. En ce sens, il est possible de parler de sociétés animales. Pourtant, le plus souvent, le terme de société désigne exclusivement les groupements humains caractérisés par leur dynamisme, leur capacité à changer, à évoluer, à se donner de nouvelles formes et de nouvelles règles, à se doter d’institutions,

Conscience et savoir En termes plus philosophiques que psychologiques, Hegel affirme qu’elle est identique au savoir, etSchopenhauer qu’elle « consiste dans la connaissance » – cette dernière pouvant être immédiate ou synthétique (comme l’affirmait déjà Kant : le moi résulte de la synthèse de ses représentations). Conscience et activité Chez Bergson, la conscience est toujours sélective, car elle ne considère que ce que demande l’action. De plus, elle « signifie avant tout mémoire », accompagnant nos

vision du bonheur ne se justifie pas. → chacun conçoit bonheur selon sa vie mais quelques grandes idées sur le bonheur vie de plaisirs, de jouissance (quelque soit plaisir) les honneurs (reconnaissance par autrui) la richesse ► TEXTE DE KANT : LE BONHEUR COMME IDÉAL DE L'IMAGINATION ● conception indéterminée, personne ne peut dire avec précision et en étant cohérent avec soi-même (idée bonheur évolue) ce en quoi consiste ce qu'il veut : comme désirs contradictoires). ● tous les éléments