L Homme Et L Animal

souci du vrai, d’autres soucis ( vitaux justement) 3. on peut emprunter d’autres voies pour réfléchir : art, religion, spiritualité, science…  ( même si chacun a ses limites, son domaine de prédilection et son mode de penser bien particulier; tout homme qui s’étonne, s’interroge, cherche un sens, à comprendre n’est pas un philosophe!)¹ 4. on peut penser que philosopher est même nuisible à la survie et aux actions nécessaires à celle-ci * c’est un exercice stérile: certes on se libère de l’opinion

de soi. Ainsi, qu’est-ce qui définit l’homme et le distingue des autres. Qu’est-ce qui fait qu’on est homme et pas autre chose. La condition humaine se définit par la conscience de soi, par le biais du « je » qui nous identifie aux autres, et de s’identifier à soi-même. Kant interprète cela comme étant une personne humaine, présente dans un milieu. Pour cela, nous aborderons la conscience d'un homme le caractérise lui, et l'isole des autres, qui attribue l'homme à une seule et même personne. Nous verrons

des hommes peu scrupuleux. Cela le rendra agressif et mauvais, jusqu‘à ce que deux hommes le sauvent et lui montrent la douceur et la patience. Il va alors apprendre que la vie peut être plus douce, et va porter de l’affection à un homme pour la première fois, homme qu’il considèrera comme un « dieu » : « Croc-Blanc n'était plus le louveteau, issu du Wild farouche, qui s'était donné Castor-Gris pour seigneur, et dont l'argile était prête à prendre la forme qu'on lui destinerait. Il avait été

/ 8 8https://www.franceculture.fr/emissions/le-cours-de-lhistoire/les-animaux-et-nous-histoire-dune-relation-24-licornes-dragons-et-manticores-morale-du-bestiairehttps://www.franceculture.fr/emissions/le-cours-de-lhistoire/les-animaux-et-nous-histoire-dune-relation-24-licornes-dragons-et-manticores-morale-du-bestiairehttps://www.franceculture.fr/emissions/les-animaux-ont-aussi-leur-histoire/lours-portrait-dun-roi-dechuhttps://www.franceinter.fr/emissions/autant-en-e

intimement liée à liberté car dès lors que l'on a conscience de ce que l'on est, on peut exercer une libre pensée et donc une opposition à la soumission du monde extérieur, nous permettant d'être ce que nous sommes des êtres humains à contrario des animaux qui eux n’ayant pas conscience de ce qu’ils sont ne sont que des figurants. D'après la thèse de Sartre L'être et le néant, pour avoir conscience de soi, il faut percevoir le regard d'autrui, il n'y a pas selon lui, de relation immédiate

également des métaphores animales pour parler des hommes, et inversement, il érige parfois la figure animale en modèle pour l’homme. « Vous êtes les animaux qui me vont, je vous aime » dit Zarathoustra à ses bêtes (p. 463) et il ajoute : « Mais il me manque encore les hommes qui me conviennent. ». Le surhomme semble donc plus proche des animaux que du reste des hommes et Zarathoustra recommande même au mendiant volontaire de « parler avec ses animaux du bonheur des animaux. » (Ainsi parlait Zarathoustra

un animal raisonnable. De ce fait sa différenciation d’avec l’animalité est première, il ne peut être défini que comme animal. Se pose alors la question de savoir sur quoi est fondée cette différenciation. Comment l’homme, alors même qu’il appartient au genre animal, se différencie des autres espèces animales ? Bataille répond, dans ce texte à ce problème, en exposant deux négations inhérentes à l’homme, qui permettent de justifier le fait que l’on ne puisse pas le réduire à un simple animal. Ces

Dans l'extrait du texte que nous propose Alain, l'auteur répond à la question «Qu'est ce qu'être conscient ? ». Le thème du texte est donc la conscience et son point d'enroulement apparaît à la première phrase : « Les animaux, autant que l'on peut deviner, n'ont point de passions. ». Alain nous apprend que c'est parce que l'animal ne possède pas de passions, qu'il n'a pas de conscience ; car il ne dispose pas cette « force de refus » dont Alain lui-même nous fait part dans les Définitions. A contrario

pensée) Le Désir (Spinoza : notre essence) Liberté (perfectibilité chez Rousseau) Le langage (siège de la pensée) Travail est-il une condition au développement de mon humanité ? Animal Hommes : besoin d’éducation  être inachevé Travail : nous modifie et modifie la nature Sans travail, l’homme serait un moindre animal Ce n’est pas le travail qui nous rend humain ou pas, mais la manière dont les hommes l’appréhendent I. Le travail fait de moi un h II. Le travail me prive de mon humanité III

nature un être destiné à vivre en cité (animal politique) ; celui qui est sans cité est, par nature et non par hasard, un être ou dégradé ou supérieur à l’homme : il est comme celui à qui Homère reproche de n’avoir « ni clan, ni lit, ni foyer » ; un homme tel par nature est en même temps avide de guerre : il est comme un pion isolé au jeu de dames. Ainsi la raison est évidente pour laquelle l’homme est un être civique plus que tout autres, abeilles ou animaux grégaires. Comme nous le disons en